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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Lina Romay Célestine Howard Vernon Le duc de la Bringuette Olivier Mathot Le comte Fernand de la Bringuette Pamela Stanford Martine de la Bringuette Richard Bigotini Malou, le valet de chambre Lynn Monteil Comtesse Hermonie de la Bringuette Anna Gladysek Jeannine, la seconde bonne Henri Guégan Mathias, le souteneur Raymond Hardy Sebastien, le jardinier Jean-Pierre Granet Le vicomte Marc de la Bringuette Catherine Lafferière La cuisinière, épouse de Sébastien Monica Swinn Mademoiselle Ursule, la gouvernante Jean-Pierre Bouyxou Le policier à rouflaquettes Etienne Rosenfeld Le second policier Jesús Franco Le dormeur chez Loulou
Document sans nom
Un bon film érotique, et oui ça existe ! Ou plutôt çà existait, car ce genre de films « légers » ne seront plus jamais tournés, les producteurs abrutis n’ont pas compris que le sexe ce n’est pas le montrer de façon froide, et même la beauté des actrices « formatées » de nos jours n’a rien à voir avec le naturel de cette merveilleuse actrice qu’était Lina Romay. Et oui, l’érotisme ce n’est pas seulement la beauté (il en faut bien sûr) mais un petit quelque chose en plus d’indéfinissable. Bien qu’ici c’est plus simple, le film repose sur la « gentillesse » de Célestine, tout le monde est sous son charme, les dialogues sont parfois amusants, comme quand l’un de ses nombreux amants veut l’épouser et qu’elle débite tout un discours sur le fait qu’elle veut faire du bien à toute l’humanité, allant même jusqu’à intégrer les curés, les bourreaux , les condamnés… Lina Romay était tout simplement une grande actrice, elle nous le prouve dans le plan final, ou elle jette un regard plein de nostalgie sur la maison qu’elle quitte.
L’histoire est basée sur « Journal d’une femme de chambre », mais on est loin de l’univers d’Octave Mirbeau…
Suite à une descente de police, Célestine doit fuir la maison close où elle est une ravissante prostituée appréciée de tous.
Le hasard fait qu’elle se refugie dans un château, où elle est « prise en charge » par le jardinier, qui la recommande à ses patrons qui l’embauchent de suite. Là, elle « connaitra » tous les habitants sans exception. Ils étaient tous frustrés pour plusieurs raisons différentes. Elle décoincera la situation, fera même venir une de ses comparses, tant le « travail » était important. Et quand un de ses anciens proxénète l’obligera à commettre un vol et à s’enfuir avec, le comte saura comprendre qu’elle y a été contrainte et forcée. Lui, et toute sa troupe viendra la délivrer. Mais elle a tellement bien décoincé la maisonnée, que plusieurs couples se sont formé sans elle. Sa mission est accomplie, elle peut s’en aller tranquillement mais avec regret quand même…
François Duluc, Février 2021
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Lina Romay Célestine Howard Vernon Le duc de la Bringuette Olivier Mathot Le comte Fernand de la Bringuette Pamela Stanford Martine de la Bringuette Richard Bigotini Malou, le valet de chambre Lynn Monteil Comtesse Hermonie de la Bringuette Anna Gladysek Jeannine, la seconde bonne Henri Guégan Mathias, le souteneur Raymond Hardy Sebastien, le jardinier Jean-Pierre Granet Le vicomte Marc de la Bringuette Catherine Lafferière La cuisinière, épouse de Sébastien Monica Swinn Mademoiselle Ursule, la gouvernante Jean-Pierre Bouyxou Le policier à rouflaquettes Etienne Rosenfeld Le second policier Jesús Franco Le dormeur chez Loulou
Un bon film érotique, et oui ça existe ! Ou plutôt çà existait, car ce genre de films « légers » ne seront plus jamais tournés, les producteurs abrutis n’ont pas compris que le sexe ce n’est pas le montrer de façon froide, et même la beauté des actrices « formatées » de nos jours n’a rien à voir avec le naturel de cette merveilleuse actrice qu’était Lina Romay. Et oui, l’érotisme ce n’est pas seulement la beauté (il en faut bien sûr) mais un petit quelque chose en plus d’indéfinissable. Bien qu’ici c’est plus simple, le film repose sur la « gentillesse » de Célestine, tout le monde est sous son charme, les dialogues sont parfois amusants, comme quand l’un de ses nombreux amants veut l’épouser et qu’elle débite tout un discours sur le fait qu’elle veut faire du bien à toute l’humanité, allant même jusqu’à intégrer les curés, les bourreaux , les condamnés… Lina Romay était tout simplement une grande actrice, elle nous le prouve dans le plan final, ou elle jette un regard plein de nostalgie sur la maison qu’elle quitte.
L’histoire est basée sur « Journal d’une femme de chambre », mais on est loin de l’univers d’Octave Mirbeau…
Suite à une descente de police, Célestine doit fuir la maison close où elle est une ravissante prostituée appréciée de tous.
Le hasard fait qu’elle se refugie dans un château, où elle est « prise en charge » par le jardinier, qui la recommande à ses patrons qui l’embauchent de suite. Là, elle « connaitra » tous les habitants sans exception. Ils étaient tous frustrés pour plusieurs raisons différentes. Elle décoincera la situation, fera même venir une de ses comparses, tant le « travail » était important. Et quand un de ses anciens proxénète l’obligera à commettre un vol et à s’enfuir avec, le comte saura comprendre qu’elle y a été contrainte et forcée. Lui, et toute sa troupe viendra la délivrer. Mais elle a tellement bien décoincé la maisonnée, que plusieurs couples se sont formé sans elle. Sa mission est accomplie, elle peut s’en aller tranquillement mais avec regret quand même…
François Duluc, Février 2021
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