Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Henri Garat Jacques Meg Lemonnier Jacqueline Dranem Emile Barbarin, le clerc du vieil oncle Moussia Gaby, une amie parmi la bande de Jacques Suzette O'Nil La dactylo du clerc Pierre Moreno Ludovic de la Tremblade Marthe Derminy Madame de la Tremblade Armande Cassive La présidente Jean Mercanton Le petit groom Rachel Carlez La capitaine des girls
Document sans nom
Voici une gentille histoire tirée de l'opérette d'Albert Willemetz. Autant dire que l'intrigue est très légère, donnant prétexte à des airs repris en choeur, dont le fameux « En parlant un peu de Paris » que Zizi Jeanmaire aura plaisir à ajouter à son répertoire.
Nous sommes en 1932, et cette oeuvrette a surtout l'intérêt de nous montrer une époque que nous n'avons pas connue, celle des années folles, celle de l'entre-deux guerres, où l'on chante jusque dans les rues, une époque joyeuse. Sur le générique, deux immenses vedettes de l'époque, le chanteur de charme Henri Garat, et le truculent Dranem (qui restera dans les mémoires comme l'interprète de « ah les ptits pois c'est un légume bien tendre) et qui apparaît ici aux côtés de Suzette O'Nil, son épouse à la ville.
Henri Garat, en costume, même quand il est avec sa bande d'amis étudiants, élégant, charmeur, était le jeune premier de l'époque. Meg Lemonnier était quant à elle, le type même de la jolie jeune femme de ces années 30. Louis Mercanton, le réalisateur, aura fait une petite place à son fils que l'on repère en petit groom charmant.
L'intrigue
Jacques est inscrit à la faculté de droit, sur l'incitation de son vieil oncle, notaire qui désire lui laisser son étude. Mais Jacques est d'abord un fêtard qui avec toute sa bande d'amis, fait la java, danse, chante, chahute ; il n'étudie guère. En allant passer son examen que logiquement il ne décrochera pas, il fait la connaissance de la gracieuse Jacqueline dont il tombe amoureux. Jacqueline, elle, est sérieuse et réussit son concours.
Jacques apprend la mort de son oncle et hérite donc de l'étude. Il signe un contrat à Jacqueline comme clerc principale. Mais cette dernière, elle aussi amoureuse, s'aperçoit de la légèreté de Jacques et doute de ses sentiments, d'autant que l'étude prend des allures de music-hall. On lui présente Ludovic de la Tremblade et résignée, elle envisage le mariage avec lui. C'est l'étude de Jacques qui s'occupe du contrat. Le nouveau notaire, malin, change les noms et ainsi établit le contrat entre lui et la demoiselle de son cœur. Tout se termine par un beau mariage, et en chansons.
Comme on le comprend, l'histoire n'est qu'un sympathique support pour entendre des refrains joyeux de cette époque.
Donatienne Roby, Juillet 2021
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Henri Garat Jacques Meg Lemonnier Jacqueline Dranem Emile Barbarin, le clerc du vieil oncle Moussia Gaby, une amie parmi la bande de Jacques Suzette O'Nil La dactylo du clerc Pierre Moreno Ludovic de la Tremblade Marthe Derminy Madame de la Tremblade Armande Cassive La présidente Jean Mercanton Le petit groom Rachel Carlez La capitaine des girls
Voici une gentille histoire tirée de l'opérette d'Albert Willemetz. Autant dire que l'intrigue est très légère, donnant prétexte à des airs repris en choeur, dont le fameux « En parlant un peu de Paris » que Zizi Jeanmaire aura plaisir à ajouter à son répertoire.
Nous sommes en 1932, et cette oeuvrette a surtout l'intérêt de nous montrer une époque que nous n'avons pas connue, celle des années folles, celle de l'entre-deux guerres, où l'on chante jusque dans les rues, une époque joyeuse. Sur le générique, deux immenses vedettes de l'époque, le chanteur de charme Henri Garat, et le truculent Dranem (qui restera dans les mémoires comme l'interprète de « ah les ptits pois c'est un légume bien tendre) et qui apparaît ici aux côtés de Suzette O'Nil, son épouse à la ville.
Henri Garat, en costume, même quand il est avec sa bande d'amis étudiants, élégant, charmeur, était le jeune premier de l'époque. Meg Lemonnier était quant à elle, le type même de la jolie jeune femme de ces années 30. Louis Mercanton, le réalisateur, aura fait une petite place à son fils que l'on repère en petit groom charmant.
L'intrigue
Jacques est inscrit à la faculté de droit, sur l'incitation de son vieil oncle, notaire qui désire lui laisser son étude. Mais Jacques est d'abord un fêtard qui avec toute sa bande d'amis, fait la java, danse, chante, chahute ; il n'étudie guère. En allant passer son examen que logiquement il ne décrochera pas, il fait la connaissance de la gracieuse Jacqueline dont il tombe amoureux. Jacqueline, elle, est sérieuse et réussit son concours.
Jacques apprend la mort de son oncle et hérite donc de l'étude. Il signe un contrat à Jacqueline comme clerc principale. Mais cette dernière, elle aussi amoureuse, s'aperçoit de la légèreté de Jacques et doute de ses sentiments, d'autant que l'étude prend des allures de music-hall. On lui présente Ludovic de la Tremblade et résignée, elle envisage le mariage avec lui. C'est l'étude de Jacques qui s'occupe du contrat. Le nouveau notaire, malin, change les noms et ainsi établit le contrat entre lui et la demoiselle de son cœur. Tout se termine par un beau mariage, et en chansons.
Comme on le comprend, l'histoire n'est qu'un sympathique support pour entendre des refrains joyeux de cette époque.
Donatienne Roby, Juillet 2021
Vous pouvez déposer un commentaire :