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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Alexandre Rignault Stavros, le roi des montagnes Noëlle Noblecourt La fille de Stavios Félix Marten Capitaine Péricles, filleul de Stavios Jean Lefèbvre Basile, sbire de Stavios Claude Rollet Casimir, un jeune botaniste Lucile Saint-Simon Mary Ann Suzet Maïs La mère de Mary Ann Jean Droze Dimitri Robert Berri Le bourreau Albert Simono Un sbire du roi Fernand Rauzéna Un invitéRobert Chevrigny Philippe Audrey Mickey Marin Henri Houry
Document sans nom
Voici une oeuvrette qui ne laissera pas un grand souvenir ! Pour parler franchement, c’est un pur navet et pourtant, sans qu’il y ait à l’affiche de grandes vedettes, on y retrouve des seconds rôles qui avaient heureusement pour eux, déjà fait leur preuve avant de participer à cette navrante entreprise, et qui nous avaient prouvé leur talent ; ainsi Alexandre Rignault, Félix Marten, Robert Berri pour ne citer que ces trois là ; mais, pas une seconde, on ne croit à cette histoire très décousue, dont les décors et costumes font penser à un spectacle d’amateurs. Les acteurs sont mal ou pas du tout dirigés, et non crédibles. Ainsi le jeune Claude Rollet, et Jean Lefèbvre qui sombrent tous les deux dans le ridicule. A aucun moment, on a envie de rire … pourtant un peu d’humour aurait pu sauver en partie l’histoire.
L’intrigue
L’action se déroule en Albanie et le Roi des Montagnes, c’est Stavios (Alexandre Rignault) ! Il a l’air d’un contrebandier, habillé de vieilles nippes dont on ne sait si elles sont folkloriques ou usées. Il est entouré d’une bande de pauvres acolytes à sa solde.
Stavios a instauré un système de rançon qu’il pratique avec ses sbires, sur les touristes qui s’aventurent dans ce coin pourtant peu attractif.
Justement, voilà qu’arrivent un jeune botaniste français, Casimir, (Claude Rollet) et deux femmes, Mme Simons (Suzet Maïs) et sa fille Mary Ann (Lucile Saint Simon). Elles appartiennent à une famille de riches banquiers anglais. Stavios voit tout de suite le gain qu’il peut tirer de leur présence et les kidnappe.
On fait alors la connaissance du Capitaine Périclès, filleul du roi, (Félix Marten), mais son rôle dans l’histoire n’est pas très clair, pas plus que celui de la fille de Stavios (Noëlle Noblecourt) ;
Casimir, le jeune botaniste réalise que le roi des montagnes a un compte dans la banque de la famille de ses deux charmantes co-détenues ; il tente de berner Stavios qui le condamne à mort… tout ce passage est tellement exagéré, mal joué que, bien évidemment, on n’y croit pas une seule seconde… la seule crainte que l’on a, c’est qu’avec tant de maladresse, le bourreau (Robert Berri) finisse par blesser avec son grand sabre, le jeune Claude Rollet.
Mais des amis des prisonniers interviennent à temps ! Ouf !! Ces derniers sont libérés et Casimir épouse Mary Ann… Une fin bâclée, inutile…
De ce film, à oublier très vite, nous reste le joli visage de Lucile Saint Simon (Madame Philippe Rivière à la ville) et celui de Noëlle Noblecourt.
Donatienne Roby, Novembre 2023
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Suzet Mais Lucile Saint Simon et Claude Rollet
Alexandre Rignault Stavros, le roi des montagnes Noëlle Noblecourt La fille de Stavios Félix Marten Capitaine Péricles, filleul de Stavios Jean Lefèbvre Basile, sbire de Stavios Claude Rollet Casimir, un jeune botaniste Lucile Saint-Simon Mary Ann Suzet Maïs La mère de Mary Ann Jean Droze Dimitri Robert Berri Le bourreau Albert Simono Un sbire du roi Fernand Rauzéna Un invitéRobert Chevrigny Philippe Audrey Mickey Marin Henri Houry
Voici une oeuvrette qui ne laissera pas un grand souvenir ! Pour parler franchement, c’est un pur navet et pourtant, sans qu’il y ait à l’affiche de grandes vedettes, on y retrouve des seconds rôles qui avaient heureusement pour eux, déjà fait leur preuve avant de participer à cette navrante entreprise, et qui nous avaient prouvé leur talent ; ainsi Alexandre Rignault, Félix Marten, Robert Berri pour ne citer que ces trois là ; mais, pas une seconde, on ne croit à cette histoire très décousue, dont les décors et costumes font penser à un spectacle d’amateurs. Les acteurs sont mal ou pas du tout dirigés, et non crédibles. Ainsi le jeune Claude Rollet, et Jean Lefèbvre qui sombrent tous les deux dans le ridicule. A aucun moment, on a envie de rire … pourtant un peu d’humour aurait pu sauver en partie l’histoire.
L’intrigue
L’action se déroule en Albanie et le Roi des Montagnes, c’est Stavios (Alexandre Rignault) ! Il a l’air d’un contrebandier, habillé de vieilles nippes dont on ne sait si elles sont folkloriques ou usées. Il est entouré d’une bande de pauvres acolytes à sa solde.
Stavios a instauré un système de rançon qu’il pratique avec ses sbires, sur les touristes qui s’aventurent dans ce coin pourtant peu attractif.
Justement, voilà qu’arrivent un jeune botaniste français, Casimir, (Claude Rollet) et deux femmes, Mme Simons (Suzet Maïs) et sa fille Mary Ann (Lucile Saint Simon). Elles appartiennent à une famille de riches banquiers anglais. Stavios voit tout de suite le gain qu’il peut tirer de leur présence et les kidnappe.
On fait alors la connaissance du Capitaine Périclès, filleul du roi, (Félix Marten), mais son rôle dans l’histoire n’est pas très clair, pas plus que celui de la fille de Stavios (Noëlle Noblecourt) ;
Casimir, le jeune botaniste réalise que le roi des montagnes a un compte dans la banque de la famille de ses deux charmantes co-détenues ; il tente de berner Stavios qui le condamne à mort… tout ce passage est tellement exagéré, mal joué que, bien évidemment, on n’y croit pas une seule seconde… la seule crainte que l’on a, c’est qu’avec tant de maladresse, le bourreau (Robert Berri) finisse par blesser avec son grand sabre, le jeune Claude Rollet.
Mais des amis des prisonniers interviennent à temps ! Ouf !! Ces derniers sont libérés et Casimir épouse Mary Ann… Une fin bâclée, inutile…
De ce film, à oublier très vite, nous reste le joli visage de Lucile Saint Simon (Madame Philippe Rivière à la ville) et celui de Noëlle Noblecourt.
Donatienne Roby, Novembre 2023
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