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Charles Blavette et Charles Moulin
Charles Blavette et Marcel Maupi
Ginette Leclerc et Charles Moulin
Robert Bassac et Robert Vattier
Julien Maffre et Robert Bassac
le chien Duc et Charles Moulin
le chien souffrance Blavette et Raimu
Raimu Aimable Castanier, le boulanger Ginette Leclerc Aurélie Fernand Charpin le marquis Castan de Venelles Robert Vattier le curé Robert Bassac l'instituteur Charles Blavette Antonin Marcel Maupi Barnabé Charles Moulin Dominique, le berger Alida Rouffe Céleste Odette Roger Miette, la bonne du curé Edouard Delmont Maillefer Paul Dullac Casmir Julien Maffre Pétugue Jean Castan Esprit, un berger Maximilienne Mlle Angèle Charblay Arsène, le boucher José Tyrand un villageois Yvette Fournier Hermine Gustave Merle le Papet Adrien Legros Barthelemy Marius Roux un messager Clément Duhour voix sérénade
Réalisation : Marcel Pagnol
Scénario et dialogue : Marcel Pagnol, d'après un épisode de Jean le Bleu de Jean Giono
Image : Georges Benoit
Second opérateur : Roger Ledru
Assistant opérateur : Henri Daries
Son : Marcel Lavoignat
Assistants son : Etienne Fabre, R. Privat
Montage : Suzanne de Troeye
Assistantes montage : Marguerite Renoir, Suzanne Cambon
Musique : Vincent Scotto
Direction orchestre : Georges Sellers
Conseiller technique boulangerie : Albert Assouad
Script : Suzanne de Troeye
Photographe de plateau : Roger Corbeau
Régie: Henri Garzia
Directeur de production : Charles Pons, assisté de Léon Bourrely
Production : Marcel Pagnol - Les films Marcel Pagnol
Tournage : Studios Marcel Pagnol, Marseille
Enregistrement : Philips
Tirage dirigé par Albert Assouad, assisté de C. Maure, Le Van Kim
Durée : 2 h 10
Première publique : 7 septembre 1938, cinéma Marivaux, Paris
On ne raconte plus ce film, il est à classer parmi les chefs-d’œuvre du cinéma français.
80 ans après sa sortie, laissez une fois de plus entrer Pomponette dans votre télévision, la magie opérera comme la première fois que vous avez vu ce film.
Raimu est un des plus grands acteurs qu’ait connu l’hexagone, quiconque voulant reprendre ce rôle de mari cocu est un salaud (pardon pour Galabru que j’adore).
La scène finale est évidemment à mettre au panthéon de notre cinéma, personnellement j’ai même eu une larme à l’œil quand elle commence, alors que ce n’est pas exactement une scène triste, mais c’est du grand cinéma tout simplement, c’est émouvant en soit.
Profitez de la restauration du film, pour le re-re-regarder encore une fois…
Alain S, décembre 2017