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Benoit Brione completement a droite
Brigitte Lahaie qui en a trop vu
Brigitte Lahaie strip teaseuse
Henri Verneuil assis avec lunettes
Le procureur Volnay et ses assistants
Les 9 qui ont vu le vrai assassin
Pierre Belot en bas juste a gauche homme debout
Yves Montand le procureur Henri Volnay Michel Albertini Luigi Lacosta Roland Amstutz l’agent de police Pierre Grégory Jean-Pierre Bagot Max, assistant du procureur Volnay Georges Beller le photographe qui téléphone à son journal Maurice Bénichou Robert Sanio, le cinéaste amateur Edmond Bernard le présentateur de l’émission TV ‘’’Un homme un événement’’ Françoise Bette Jane Bellony Roland Blanche Garcia Santos, le cambrioleur Benoist Bryone (= Benoit Brione) l’interviewer du président Jary Jacques Bryland Nicolas Rosenko, journaliste Gabriel Cattand le président Marc Jary Nanette Corey la femme du procureur Volney, rôle coupé au montage Jacques Denis Despaul, le moniteur de l’expérience Erick Desmarestz Bob, assistant du procureur Volnay Thierry Dewavrin le collègue de Rosenko qui reçoit l’appel Etienne Dirand l’interne du Fleming Hopital qui s’occupe de Jimenez Henri Djanik Nicky Farnese, le faux témoin Michel Dussarat Robert Kosheba Michel Etcheverry Frédéric Heiniger, président de la Haute Cour de justice Joséphine Fresson Marianne Delila Jean-François Garreaud Vernont, assistant du procureur Volnay Jean-Claude Jay le sénateur Albert Philippe Brigitte Lahaie Monique alias Ursula Hoffman, la strip-teaseuse Bernard Larmande l’agent de police Lambard Daniel Léger Guillaume Géménos Jean Lescot Frank Bellony Jean Leuvrais Robert Picart, ministre de la justice Gérard Lorin le professeur Flavius Marcel Maréchal Rivoli, l’élève de l’expérience Gérard Moisan l’agent de police abordé par Nicky Farnese Louis Navarre maître Keller, l’avocat de Sanio Jean Négroni Carlos de Palma Jean Obé Hugues Adler, directeur des services secrets et de la sécurité de l’état Didier Obin-Labastrou Serge Lévis, le mannequin Alain Ollivier le directeur du laboratoire de développement des films Paco le régisseur du cabaret Robert Party le général Anthony Baryn, chargé de la défense du territoire Michel Pilorgé le reporter de la télévision Roger Planchon le professeur David Naggara Michel Raskine Ramon Kimenez, artiste peintre Christian Remer Charles Polodi Didier Sauvegrain Karl Eric Daslow Jacques Sereys Richard Mallory, chef du bureau des activités spéciales des services secrets Georges Staquet le gardien de l’immeuble d’où l’assassin a tiré sur le président Jacqueline Staup Mme Lapierre, la secrétaire de la Haute Cour de justice Georges Trillat le policier de la brigade des stupéfiants qui abat Kosheba au bar '’Manhattan’’ Pierre Vernier Charly, assistant du procureur Volnay Pierre Belot un journaliste dans le public, à l’émission TV Henri Verneuil un technicien en régie TV et la voix du présentateur du cabaret Gaston Meunier un passant qui se penche sur Jimenez Louis Lalanne (en photo) le général Cisco
Distributeur : A.M.L.F.
Scénario original : Henri Verneuil
Adaptation et dialogues : Henri Verneuil, Didier Decoin
Musique composée et dirigée par Ennio Morricone
Editions musicales : General Music – Interdemos Music
Directeur de la photographie : Jean-Louis Picavet
Décors : Jacques Saulnier
Son : Serge Deraison, Jacques Maumont
Montage : Henri Lanoë
Une co-production : V Films (Henri Verneuil)
Société Française de Production (S.F.P.)
Antenne 2
Administrateur de la production : SOGECINE
Directeur de la production : Jacques Juranville
Casting : Marguerite Capelier
Assistée de Françoise Combadière
Assistants à la mise en scène : Philippe Lopes, Reynald Lampert
Caméraman : Charles-Henri Montel
Script-girl : Lucile Costa
Les expériences sur ‘’La soumission à l’autorité’’ furent effectuées entre 1960 et 1963 à
l’Université de Yale – New Haven (U.S.A.) par le professeur Stanley Milgram (Editions Calmann-Lévy)
Photographe : Vincent Rossell
Assistants opérateurs : René Chabal, Dominique Courson)
Régisseur général : Ilya Claisse
Régisseurs adjoints : Claude Parnet, Alain Dominguez
Secrétaire de production : Josselyne Bucciali
Administrateur de production : Jacqueline Oblin
Chargé de production S.F.P. : Gérard Fréreau
Décorateurs : Georges Glon, Michel Breton, Michel Henique, Bernard Lançon, Jean-Michel Dambreville
Costumières : Isabelle Scandaletos, Brigitte Nathan
Effets sonores : Daniel Couteau, Gérard Manneveau
Ensemblier : Daniel Pierre
Régisseur d’extérieur : Jean Nossereau
Accessoiriste de plateau : René Albouze
Accessoiriste meubles : Bernard Sans
Monteuse : Isabelle Garcia de Herreros
Montage son : Renée Deschamps
Assistante son : Annick Menier
Chef coiffeuse : Jacqueline Juillard
Chef maquilleuse : Monique Archambault
Assistant du son : Dominique Pauvros
Chef habilleuse : Françoise Poulin
Habilleuse : Anne-Marie Percevault
Chef machiniste : Serge Vitry
Machinistes : Michel Chardon, Gérard Mienville, Sauveur Lentini, Jacques Bréon
Chef électricien : Jean-Claude Hamelin
Electriciens : Bernard Trocellier, Paul Rouillon, Claude Michel, Bernard Deschamps, Gilbert Lepleux
Directeur de la photographie 2ème équipe : André Dumaitre
Caméraman 2ème équipe : Michel Arburger
Avec la participation de : Les compagnies motocyclistes de la préfecture de police de Paris
Société A.D.P.T.
Cuisines Arthur Martin
La maison des bibliothèques
La société Ile de France USA – Bagneux
M.I.M. S.A. Française d’équipement
Société Thomson C.S.F. Téléphone
Smalto Diffusion
Nashua France S.A.
3 M.
Auditorium : Paris-Studios-Cinéma (Studios de Billancourt)
Extérieurs : La Défense (Hauts de Seine), Cergy (Val d’Oise), Paris
Laboratoire : Franay L.T.C. St. Cloud
Générique : Les Films Michel François
Caméras et objectifs : Panavision R
Visa de contrôle cinématographique n°51.002
Durée : 128 min.
Date de sortie à Paris : 19/12/1979
Nombre d’entrées à Paris : 485.562
Nombre d’entrées en France : 1.829.220
Titres en Allemagne de l’ouest : Der Spürhund
I wie Ikarus
Date de sortie : 25/04/1980
Titre en Argentine : I... como Icaro
Titre flamand en Belgique : 'I' als in Icaros
Date de sortie : 31/01/1980
Titre en Espagne : I, como Icaro
Titres en Grèce : Agria dolofonia
Aporritos fakelos 'Ikaros'
Titre en Hollande : I... van Icarus
Date de sortie : 12/06/1980
Titre en Hongrie : I, mint Ikarusz
Date de sortie : 15/10/1981
Titre en Italie : I... come Icaro
Titre aux Philippines : I for Icarus
Date de sortie : 21/07/1984
Titre en Pologne : I jak Ikar
Titre au Portugal : O Sorriso do Assassino
Date de sortie : 15/04/1981
Notes :
- Le nom de Nanette Corey figure au générique mais il n’est pas dans le press-book et elle n’apparait pas dans le film; selon certaines sources, elle jouait le rôle de la femme du procureur Volnay et sa participation a donc été coupée au montage.
- Certaines sources mentionnent :
. André Falcon dans le rôle de Darsell, personnage qui n’est ni dans le press-book, ni dans le film ; il se peut qu’il ait été lui aussi victime du montage, sous réserves.
. Gilles Détroit comme étant un des hommes montré en photo à Bellony, mais il n’y est pas.
- Le press book indique des noms de personnages et de lieux provenant sans doute de l’imagination des auteurs, mais n’étant ni prononcés ni écrits dans le film, ils ne sont pas repris dans cette fiche.
- Lors d’une scène le procureur Volnay feuillette le livre écrit par la femme de Karl Eric Daslow sur son mari ; en y regardant bien on s’aperçoit que toutes les pages sont absolument identiques, l’attention du spectateur devant être attirée par les annotations du
journaliste auquel appartenait le livre et qui a été assassiné. Une petite ruse du cinéma …
Résumé : Le président Jary est assassiné lors d’une cérémonie officielle. Un témoin prétend avoir vu quelqu’un tirer depuis la terrasse
d’un immeuble. La police se précipite et trouve dans l’ascenseur un homme mort – Karl Eric Daslow - qui semble s’être suicidé. Sur la
terrasse, un fusil avec 3 douilles. Immédiatement une commission d’enquête composée de 6 personnages importants de l’état est constituée.
Au bout d’un an elle doit rendre son rapport mais l’un des membres, le procureur Volnay, refuse de le signer, arguant qu’il reste trop de
points non éclaircis. Il est donc chargé de reprendre toute l’enquête à zéro aidé par 4 assistants. En visionnant les scènes tournées par
les caméras de télévision Volnay remarque un cinéaste amateur et propose de faire passer une annonce dans les journaux afin de le retrouver.
L’intéressé se fait connaître et accepte de donner le film qu’il a tourné ce jour là contre une forte récompense. Alors qu’il filmait, il
s’est retrouvé à côté de 9 personnes qui toutes regardaient dans la même direction juste après l’attentat. Un examen minutieux du film
permet de distinguer une silhouette armée au 2ème étage de l’immeuble où se tenait Daslow et quelques recherches supplémentaires laissent
à penser qu’il s’agissait du vrai tueur et que Daslow était un homme de paille. Volnay décide de rechercher les 9 personnes en question.
Son équipe ne tarde pas à retrouver leurs traces : 7 se sont faits connaître auprès de la commission d’enquête mais leur témoignage n’a pas
été retenu et ils ont tous connu une mort brutale, le 8ème, un journaliste qui enquêtait pour son propre compte a lui aussi trouvé une fin
tragique, quant au dernier il est introuvable. Il répond à un appel de Volnay et se présente à son bureau. On lui montre des photos de
suspects mais il ne reconnait pas le tueur du 2ème étage. Par contre il affirme que l’un d’entre eux est un homme qu’il a clairement
remarqué sur le lieu de l’attentat car il avait une conduite bizarre, ouvrant un parapluie alors qu’il faisait beau, ce qui semblait être
un signal. Il s’agit d’un certain Carlos de Palma, réfugié politique, soupçonné d’être un des patrons de l’organisation du crime, condamné
pour fraude fiscale, il a été libéré par anticipation sur ordre de Richard Mallory, chef du bureau des activités spéciales des services
secrets. Tandis que le vrai tueur est abattu lors d’un entretien avec de Palma, Volnay s’arrange pour accaparer Mallory pendant qu’un de
ses équipiers s’introduit dans l’appartement de ce dernier grâce à l’aide d’un cambrioleur. Ils trouvent une cassette audio qui contient
des passages codés. Après avoir fait part à Mallory de ses craintes quant à la puissance d’organismes internes qui échapperaient à tout
contrôle de l’état, ce qui était une préoccupation du président Jary, Volnay retourne à son bureau et parvient à décoder les différents
messages de la cassette. Ils parlent de plusieurs opérations menées afin d’éliminer des chefs d’état et déstabiliser leur pays. Le dernier
message écouté évoque le déclenchement imminent de l’opération ‘’I … comme Icare’. Volnay adresse au nouveau président un message dans
lequel il fait part de ses conclusions : l’assassinat du président Jary a été préparé par un groupe de pression en collusion avec
l’organisation du crime et le service de Richard Mallory. Immédiatement après, il s’écroule, frappé d’une balle en pleine tête tirée d'un
immeuble voisin. Selon le mythe d’Icare, il s’était fabriqué des ailes qu’il avait attachées avec de la cire, mais, volant trop près du
soleil, la cire se mit à fondre, il perdit ses ailes, tomba et se noya dans la mer. Depuis, cette légende est utilisée symboliquement pour
parler de quelqu’un qui paie de sa vie le fait de s’approcher trop près de la vérité …
Compléments photos et texte par Jean-Pierre Pecqueriaux, Mai 2017.