Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Pierre Destailles Kléber Demartin Jacques Mauclair Théophane, dit 'Capitaine' Aline Bertrand Mme Irma Julian Negulesco Roger Liliane Sorval Soeur Saint-Paul Jean Rougerie L'avocat Philippe Chauveau L'instituteur Jean-Michel Molé Michel Thomas Alexandre Rignault Robichon Jean Davy Le directeur général de la SNCF Bernard Pinet Le journaliste Mario Santini Le photographe Nadège Clair Dany Gaston Meunier Duval Georges Beauvilliers L’ophtalmologue Bernard Musson Meunier Raoul Curet Le directeur du cinéma Jean Winiger L’homme de cabinet du ministre Georges Lucas Un cheminot Jack Berard Un cheminot Jean-Louis Allibert Le vieux cheminot Joseph Falcucci Le guide de Verdun Marcel Gassouk Un cheminot Marcel Lupovici Le promoteur Nicole Desailly La cafetière René Renot Le quincaillier Antonin Baryel Bernard Catherine Dagand La voisine François Calvez Daniel François Castang L’employé de la quincaillerie Ginette D’Yd La restauratrice Jean Cousin Patrick enfant Joëlle Rouland La serveuse Mark Lesser Patrick adolescent Michel Lasorne Un photographe Thierry Bourdon Le jeune au flipper Tony Rödel Le soldat allemand
Document sans nom
Résumé :
Téléfilm En 3 parties de 90 min d’après le roman de Gilbert Cesbron.
Juillet 1944, en Normandie, les américains arrivent et les occupants de l’orphelinat fuient afin d’éviter les combats. Six orphelins se cachent pour ne pas rester avec les autres et se retrouver libres. Filippi et le plus jeune, Patrick, se séparent du reste du groupe. Filipi est tué et Patrick est recueilli par un soldat allemand qu’il prend pour un américain. Arrivé en banlieue parisienne, le convoi allemand s’arrête quelques minutes et Kléber Demartin, un ancien poilu qui regardait les allemands s’enfuir, est tout étonné de voir le petit garçon. Il le retire du camion allemand et le réfugie chez lui.
Kléber Demartin est un veuf sans enfant qui vivait tranquillement dans son pavillon de banlieue. Il trouve alors l’occasion de voir sa vie modifié et il prend la décision d’adopter cet enfant orphelin. Il prend conseil auprès de ses amis : Théophane, son ancien capitaine, et Mme Irma, une voisine. Avec un peu d’argent et l’aide de « L’avocat », il va réussir dans son entreprise.
Les premières années de l’union du père et de son fils se passent agréablement. Mais l’adolescent, sous l’influence de son ami Roger, que devient Patrick correspond de moins en moins à ce qu’attendait Kléber d’autant plus qu’il n’arrive plus à s’adapter à la vie moderne de l’après guerre…
Critique :
C’est un bon téléfilm (quoique un peu long) sur le temps qui passe d’autant plus que la différence d’âge entre les deux héros les fait s’éloigner de plus en plus l’un de l’autre. Ils s’aiment mais ils ne savent pas comment le dire.
Patrick regarde son ami Roger qui parti de rien au début du téléfilm ; s’élève dans la société où il s’adapte facilement alors que son père est de plus en plus dépassé et ne comprend rien à cette vie moderne des années 50 comme les bâtiments avec tout le confort qui prennent la place des pavillons.
Kléber va faire des erreurs allant jusqu’à ne pas comprendre qu’Irma était amoureuse de lui et surtout vouloir finir ses jours dans une maison de retraite parce que son fils ne l’aimait pas. Heureusement, son fils viendra le chercher.
Quelques maladresses dans le téléfilm : Pourquoi Patrick ne porte- t – il jamais de lunettes alors qu’il a une mauvaise vision ? Que devient Dany avec qui Patrick a une relation amoureuse ? Et puis l’instituteur, toujours le même, de la petite classe jusqu’en 3° ; cela est impossible !
Qui se souvient de Pierre Destailles et de sa chanson (très longue) « Tout ça parce qu’au bois de Chaville y’avait du muguet » ? C’était un grand comédien, très émouvant dans ce téléfilm en particulier lorsqu’il revêt sa tenue de poilu.
Alain Bourgeois, mai 2023
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Georges Beauvilliers Mark Lesser
Jean Rougerie Pierre Destailles
Pierre Destailles Francois Calvez
Pierre Destailles Jacques Mauclair
Pierre Destailles Kléber Demartin Jacques Mauclair Théophane, dit 'Capitaine' Aline Bertrand Mme Irma Julian Negulesco Roger Liliane Sorval Soeur Saint-Paul Jean Rougerie L'avocat Philippe Chauveau L'instituteur Jean-Michel Molé Michel Thomas Alexandre Rignault Robichon Jean Davy Le directeur général de la SNCF Bernard Pinet Le journaliste Mario Santini Le photographe Nadège Clair Dany Gaston Meunier Duval Georges Beauvilliers L’ophtalmologue Bernard Musson Meunier Raoul Curet Le directeur du cinéma Jean Winiger L’homme de cabinet du ministre Georges Lucas Un cheminot Jack Berard Un cheminot Jean-Louis Allibert Le vieux cheminot Joseph Falcucci Le guide de Verdun Marcel Gassouk Un cheminot Marcel Lupovici Le promoteur Nicole Desailly La cafetière René Renot Le quincaillier Antonin Baryel Bernard Catherine Dagand La voisine François Calvez Daniel François Castang L’employé de la quincaillerie Ginette D’Yd La restauratrice Jean Cousin Patrick enfant Joëlle Rouland La serveuse Mark Lesser Patrick adolescent Michel Lasorne Un photographe Thierry Bourdon Le jeune au flipper Tony Rödel Le soldat allemand
Résumé :
Téléfilm En 3 parties de 90 min d’après le roman de Gilbert Cesbron.
Juillet 1944, en Normandie, les américains arrivent et les occupants de l’orphelinat fuient afin d’éviter les combats. Six orphelins se cachent pour ne pas rester avec les autres et se retrouver libres. Filippi et le plus jeune, Patrick, se séparent du reste du groupe. Filipi est tué et Patrick est recueilli par un soldat allemand qu’il prend pour un américain. Arrivé en banlieue parisienne, le convoi allemand s’arrête quelques minutes et Kléber Demartin, un ancien poilu qui regardait les allemands s’enfuir, est tout étonné de voir le petit garçon. Il le retire du camion allemand et le réfugie chez lui.
Kléber Demartin est un veuf sans enfant qui vivait tranquillement dans son pavillon de banlieue. Il trouve alors l’occasion de voir sa vie modifié et il prend la décision d’adopter cet enfant orphelin. Il prend conseil auprès de ses amis : Théophane, son ancien capitaine, et Mme Irma, une voisine. Avec un peu d’argent et l’aide de « L’avocat », il va réussir dans son entreprise.
Les premières années de l’union du père et de son fils se passent agréablement. Mais l’adolescent, sous l’influence de son ami Roger, que devient Patrick correspond de moins en moins à ce qu’attendait Kléber d’autant plus qu’il n’arrive plus à s’adapter à la vie moderne de l’après guerre…
Critique :
C’est un bon téléfilm (quoique un peu long) sur le temps qui passe d’autant plus que la différence d’âge entre les deux héros les fait s’éloigner de plus en plus l’un de l’autre. Ils s’aiment mais ils ne savent pas comment le dire.
Patrick regarde son ami Roger qui parti de rien au début du téléfilm ; s’élève dans la société où il s’adapte facilement alors que son père est de plus en plus dépassé et ne comprend rien à cette vie moderne des années 50 comme les bâtiments avec tout le confort qui prennent la place des pavillons.
Kléber va faire des erreurs allant jusqu’à ne pas comprendre qu’Irma était amoureuse de lui et surtout vouloir finir ses jours dans une maison de retraite parce que son fils ne l’aimait pas. Heureusement, son fils viendra le chercher.
Quelques maladresses dans le téléfilm : Pourquoi Patrick ne porte- t – il jamais de lunettes alors qu’il a une mauvaise vision ? Que devient Dany avec qui Patrick a une relation amoureuse ? Et puis l’instituteur, toujours le même, de la petite classe jusqu’en 3° ; cela est impossible !
Qui se souvient de Pierre Destailles et de sa chanson (très longue) « Tout ça parce qu’au bois de Chaville y’avait du muguet » ? C’était un grand comédien, très émouvant dans ce téléfilm en particulier lorsqu’il revêt sa tenue de poilu.
Alain Bourgeois, mai 2023
Vous pouvez déposer un commentaire :