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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Sophie Desmarets Léocadie Fanouillard Jean Richard Agénor Fenouillard Annie Sinigalia Cunégonde Marie-José Ruiz Artémise Bruno Balp Le docteur du second bateauLittle Bara Jean Bellanger Bébert Charles Bouillaud Le contrôleur S.N.C.F Madeleine Clervanne Mme de Bréauté-Beuzeville Gérard Darrieu Souris-Bibi Gilbert Denoyan Harris Hubert Deschamps Le maître d'école André Gille Follichon Roger Pelletier Yves Peneau Guy Piérauld Robert Rollis Le chef de gare Henri Virlojeux Le commandant du "Magellan" Jean-Claude Arnaud Georges Aubert Bordure André Badin Un conseiller municipal Bernard Blier Un voyageur Bernard Charlan Antoine Petit , le chef d'orchestre Marcel Charvey Un officier du bateau Magellan Henri Cote Philippe Desboeuf La Charcute Alain Dumoulin Polydore Pierre Duncan Un bourreau japonais Lucien Frégis Un voyageur Daniel Goldenberg Anatole André Pradel Claude Richard Yves Robert Le Coq/Un employé SNCF André Weber Nanca Louis Bugette L'homme de quart à la barre Jimmy Perrys Un client de la bonnetterie Martin Lartigue Le petit garçon René Hell Crochet de Valet Gib Grossac Un bourreau japonais
Document sans nom
Comédie burlesque qu’il faut bien sûr prendre au second degré, et dans ce cas on passe un agréable moment.
L’histoire d’une famille bien comme il faut, dont le père honnête commerçant, brigue le mandat de maire de sa charmante commune. On se moque même de lui, du fait qu’il ne veut jamais quitter sa petite boutique. Cependant, la visite du maire qui lui rend visite pour lui parler de son voyage à Paris, change brusquement notre homme qui décide enfin de plier bagages pour se rendre dans la capitale.
Seulement voilà, il ne comprend pas tout à la gare, il se lance au passage dans une étonnante bataille de jet de fromages blancs (qui ne constitue pas le meilleur gag du film) et se retrouve dans un train qui ne va pas à Paris mais au Havre. Qu’à cela ne tienne, la famille visite un navire du port, mais celui-ci se met en marche (si je puis dire) et emmène la famille à New-York.
Mais les pitreries de la famille ne sont pas du tout du gout du commandant qui déciden au bout d’un certain temps, de débarquer les Fenouillard manu-militari sur une côte perdue du Brésil.
C’est le début d’un tour du monde marqué d’invraisemblables aventures, mais qu’importe, la famille est sympathique, et on les suit avec plaisir.
Car au Brésil ils sont enlevés par des cannibales, délivrés par des bagnards en cavale, il s’enfuient du pays à bord d’un rafiot nommé le « Coule-à-pic », se retrouve au pôle nord, prenne la mer à nouveau, sont recueillis par un paquebot avec à son bord le même commandant que celui qui les avaient emmenés initialement aux Amériques, arrivent au Japon, manque une fois de plus de se faire tuer, mais reviennent finalement et triomphalement en France. Ouf.
J’ai bien aimé dans ce film le rôle du commandant désabusé tenu par un excellent Henri Virlojeux (notamment la scène où il demande à un collègue si c’est légal de jeter une famille par-dessus bord).
Il y a une scène du début du film assez étonnante où les deux jeunes filles de la famille se pochtronne (si je puis me permettre cette expression) en buvant à la bouteille je ne sais quel alcool, avant de répondre bien sagement à la demande de leur mère de venir rencontrer leurs prétendants !
Et enfin, vous allez-dire que je cherche la petit bête, mais je trouve des ressemblances entre ce film et le fameux Walt Disney « Mary Poppins » sorti 4 ans plus tard :
- 1 : Quand les Fenouillard font leurs valises pour partir à Paris, le père est confronté à une porte d’armoire qui s’ouvre et se ferme toute seule, et le tout en musique, ce qui bien sur fait penser à la fameuse séquence où les enfants Banks utilisent ou essayent d’utiliser la magie pour ranger leur chambre, mais où les armoires et les buffets font du zèle en s’amusant de s’ouvrir ou de se fermer au rythme de la musique
- 2 : Dans la jungle, Agénor Fenouillard veut franchir une rivière en sautant de nénuphars en nénuphars, çà me fait penser à la traversé de la rivière sur des tortues dans "Mary Poppins"...
Y a-t-il eu plagiat, non, bien sûr, les scènes sont très différentes, inspiration ? Peut-être…
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Daniel Goldenberg Madeleine Clervanne Alain Dumoulin
Jean Richard Henri Virlojeux Sophie Desmarets
Marie Jose Ruiz et Annie Sinigalia
Sophie Desmarets Léocadie Fanouillard Jean Richard Agénor Fenouillard Annie Sinigalia Cunégonde Marie-José Ruiz Artémise Bruno Balp Le docteur du second bateauLittle Bara Jean Bellanger Bébert Charles Bouillaud Le contrôleur S.N.C.F Madeleine Clervanne Mme de Bréauté-Beuzeville Gérard Darrieu Souris-Bibi Gilbert Denoyan Harris Hubert Deschamps Le maître d'école André Gille Follichon Roger Pelletier Yves Peneau Guy Piérauld Robert Rollis Le chef de gare Henri Virlojeux Le commandant du "Magellan" Jean-Claude Arnaud Georges Aubert Bordure André Badin Un conseiller municipal Bernard Blier Un voyageur Bernard Charlan Antoine Petit , le chef d'orchestre Marcel Charvey Un officier du bateau Magellan Henri Cote Philippe Desboeuf La Charcute Alain Dumoulin Polydore Pierre Duncan Un bourreau japonais Lucien Frégis Un voyageur Daniel Goldenberg Anatole André Pradel Claude Richard Yves Robert Le Coq/Un employé SNCF André Weber Nanca Louis Bugette L'homme de quart à la barre Jimmy Perrys Un client de la bonnetterie Martin Lartigue Le petit garçon René Hell Crochet de Valet Gib Grossac Un bourreau japonais
Comédie burlesque qu’il faut bien sûr prendre au second degré, et dans ce cas on passe un agréable moment.
L’histoire d’une famille bien comme il faut, dont le père honnête commerçant, brigue le mandat de maire de sa charmante commune. On se moque même de lui, du fait qu’il ne veut jamais quitter sa petite boutique. Cependant, la visite du maire qui lui rend visite pour lui parler de son voyage à Paris, change brusquement notre homme qui décide enfin de plier bagages pour se rendre dans la capitale.
Seulement voilà, il ne comprend pas tout à la gare, il se lance au passage dans une étonnante bataille de jet de fromages blancs (qui ne constitue pas le meilleur gag du film) et se retrouve dans un train qui ne va pas à Paris mais au Havre. Qu’à cela ne tienne, la famille visite un navire du port, mais celui-ci se met en marche (si je puis dire) et emmène la famille à New-York.
Mais les pitreries de la famille ne sont pas du tout du gout du commandant qui déciden au bout d’un certain temps, de débarquer les Fenouillard manu-militari sur une côte perdue du Brésil.
C’est le début d’un tour du monde marqué d’invraisemblables aventures, mais qu’importe, la famille est sympathique, et on les suit avec plaisir.
Car au Brésil ils sont enlevés par des cannibales, délivrés par des bagnards en cavale, il s’enfuient du pays à bord d’un rafiot nommé le « Coule-à-pic », se retrouve au pôle nord, prenne la mer à nouveau, sont recueillis par un paquebot avec à son bord le même commandant que celui qui les avaient emmenés initialement aux Amériques, arrivent au Japon, manque une fois de plus de se faire tuer, mais reviennent finalement et triomphalement en France. Ouf.
J’ai bien aimé dans ce film le rôle du commandant désabusé tenu par un excellent Henri Virlojeux (notamment la scène où il demande à un collègue si c’est légal de jeter une famille par-dessus bord).
Il y a une scène du début du film assez étonnante où les deux jeunes filles de la famille se pochtronne (si je puis me permettre cette expression) en buvant à la bouteille je ne sais quel alcool, avant de répondre bien sagement à la demande de leur mère de venir rencontrer leurs prétendants !
Et enfin, vous allez-dire que je cherche la petit bête, mais je trouve des ressemblances entre ce film et le fameux Walt Disney « Mary Poppins » sorti 4 ans plus tard :
- 1 : Quand les Fenouillard font leurs valises pour partir à Paris, le père est confronté à une porte d’armoire qui s’ouvre et se ferme toute seule, et le tout en musique, ce qui bien sur fait penser à la fameuse séquence où les enfants Banks utilisent ou essayent d’utiliser la magie pour ranger leur chambre, mais où les armoires et les buffets font du zèle en s’amusant de s’ouvrir ou de se fermer au rythme de la musique
- 2 : Dans la jungle, Agénor Fenouillard veut franchir une rivière en sautant de nénuphars en nénuphars, çà me fait penser à la traversé de la rivière sur des tortues dans "Mary Poppins"...
Y a-t-il eu plagiat, non, bien sûr, les scènes sont très différentes, inspiration ? Peut-être…
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