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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Christiane Minazzoli Fanny Evelyne Dandry Jane André Oumansky Farou Pierre François Pistorio Jean Françoise Burgi Inès Jacqueline Duc Clara Célérier Françoise Arnaud Marguerite Jacques Aimante photographe Philippe Baumann Augustin de Fontanges Jean Lepage Julien Jean Claude Robbe Max Sentenac
Document sans nom
Description de l'extrait : D'après le roman de COLETTE. En 1930, éprises du même homme, despotique, charmant et léger, deux femmes, d'abord rivales, deviennent amies et complices. - Au coeur de l'été, dans une maison de campagne, un déjeuner réunit trois personnes : Fanny, la maîtresse de maison, épouse de Farou, auteur dramatique en renom qui assiste à Paris aux répétitions de sa dernière pièce, Jean le fils de Farou et Jane, la secrétaire et amie de la famille dont Jean est secrètement épris. Les deux femmes ne parlent que de l'absent, Farou. Alors que Fanny, habituée aux caprices de son mari, semble amusée de l'intérêt qu'il porte à une jeune comédienne, Jane a l'air agacée. Elle dissimule à grand-peine son attachement pour Farou... Présence à l'écran de tableaux de Robert BIAGIOLI et d'André MONTAUDY. Mots clés : campagne ; libertinage ; couple ; conjoint ; femme ; amour ; comportement psychologique (rivalité) ; amitié ; Paris
Critique post-diffusion :
En adaptant et en réalisant « La Seconde », d'après le roman de Colette, Hervé Bromberger avait l'occasion de pouvoir nous offrir une véritable dramatique. Nous n'avons vu qu'une pièce filmée. Malgré les efforts des techniciens, qui avaient dessiné de jolis costumes, brossé d'agréables décors, réussi des éclairages intéressants, l'ensemble souffrait pourtant d'un manque de moyens évident. On ne fera jamais cent sous avec trois francs cinquante. Cette œuvre, qui se veut intimiste, est une tempête dans un verre d'eau tiède. Deux femmes aiment un auteur dramatique célèbre. Rivales d'abord, elles deviendront enfin complices. On peut se demander si ce thème, du moins dans la manière dont il est traité, est suffisamment étoffé pour soutenir l'intérêt. Pratiquement désœuvrées, échangeant des propos puérils, prosaïques et insignifiants, elles vivent à la dévotion de leur grand homme. Il faut tout le talent consommé de Christiane Minazzoli — qui a des moments véritablement touchants — et d'Evelyne Dandry pour nous attacher à cette bluette un peu trop longue. André Oumansky, lui, est tout à fait remarquable dans le personnage de l'auteur à succès, uniquement préoccupé de lui-même. Les fausses notes : des scènes inutiles, stéréotypées et caricaturales sur les rapports de l'auteur avec une comédienne débutante et un journaliste mondain. C'est un travers assez habituel chez les professionnels du cinéma ou du théâtre quand ils décrivent leur milieu : pourquoi cette mythologie éculée et totalement imaginaire ? C'est un mystère que je n'ai jamais pu arriver à résoudre.
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Christiane Minazzoli Fanny Evelyne Dandry Jane André Oumansky Farou Pierre François Pistorio Jean Françoise Burgi Inès Jacqueline Duc Clara Célérier Françoise Arnaud Marguerite Jacques Aimante photographe Philippe Baumann Augustin de Fontanges Jean Lepage Julien Jean Claude Robbe Max Sentenac
Description de l'extrait : D'après le roman de COLETTE. En 1930, éprises du même homme, despotique, charmant et léger, deux femmes, d'abord rivales, deviennent amies et complices. - Au coeur de l'été, dans une maison de campagne, un déjeuner réunit trois personnes : Fanny, la maîtresse de maison, épouse de Farou, auteur dramatique en renom qui assiste à Paris aux répétitions de sa dernière pièce, Jean le fils de Farou et Jane, la secrétaire et amie de la famille dont Jean est secrètement épris. Les deux femmes ne parlent que de l'absent, Farou. Alors que Fanny, habituée aux caprices de son mari, semble amusée de l'intérêt qu'il porte à une jeune comédienne, Jane a l'air agacée. Elle dissimule à grand-peine son attachement pour Farou... Présence à l'écran de tableaux de Robert BIAGIOLI et d'André MONTAUDY. Mots clés : campagne ; libertinage ; couple ; conjoint ; femme ; amour ; comportement psychologique (rivalité) ; amitié ; Paris
Critique post-diffusion :
En adaptant et en réalisant « La Seconde », d'après le roman de Colette, Hervé Bromberger avait l'occasion de pouvoir nous offrir une véritable dramatique. Nous n'avons vu qu'une pièce filmée. Malgré les efforts des techniciens, qui avaient dessiné de jolis costumes, brossé d'agréables décors, réussi des éclairages intéressants, l'ensemble souffrait pourtant d'un manque de moyens évident. On ne fera jamais cent sous avec trois francs cinquante. Cette œuvre, qui se veut intimiste, est une tempête dans un verre d'eau tiède. Deux femmes aiment un auteur dramatique célèbre. Rivales d'abord, elles deviendront enfin complices. On peut se demander si ce thème, du moins dans la manière dont il est traité, est suffisamment étoffé pour soutenir l'intérêt. Pratiquement désœuvrées, échangeant des propos puérils, prosaïques et insignifiants, elles vivent à la dévotion de leur grand homme. Il faut tout le talent consommé de Christiane Minazzoli — qui a des moments véritablement touchants — et d'Evelyne Dandry pour nous attacher à cette bluette un peu trop longue. André Oumansky, lui, est tout à fait remarquable dans le personnage de l'auteur à succès, uniquement préoccupé de lui-même. Les fausses notes : des scènes inutiles, stéréotypées et caricaturales sur les rapports de l'auteur avec une comédienne débutante et un journaliste mondain. C'est un travers assez habituel chez les professionnels du cinéma ou du théâtre quand ils décrivent leur milieu : pourquoi cette mythologie éculée et totalement imaginaire ? C'est un mystère que je n'ai jamais pu arriver à résoudre.
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