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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Marie Dubois MADELEINE Lucien Baroux HIPPOLYTE GIRAUD Alain Quercy CAMILLE Marcel Carpentier BARBOUIN Camille Guerini GUERIN Mauricet LE SENATEUR CUCHAT Raymond Girard ALBERT Clément Thierry GERARD BRESSAC Valdy Valle LE GERANT LEON Orane Demazis ELISABETH GIRAUD Colette Fleury CHRISTIANE Yvonne Decade YVETTE Jean-Pierre Moutier Le barman Vallée Valdy Le gerant Leon
Document sans nom
La pièce est interprétée dans les décors et les costumes de l'époque de sa création (1933). Elle donne l'image d'une société des années 1920à travers le personnage d'un vieil instituteur retraité, brave homme modeste, à la fois rusé et maladroit, symbole des français qui avaient placé toutes leurs économies en 3% et, victimes de la dévaluation, restèrent pauvres.
- Monsieur Giraud vit donc médiocrement en province, avec sa femme, fier de ses deux fils sortis de polytechnique. L'un d'eux veut épouser la fille d'un homme d'affaires qui s'est enrichi pendant et après la guerre de 1914. M. Giraud s'efforce de contrecarrer ce projet, mais le mariage se fera malgré tout et la pièce s'achève dans un optimisme bon enfant.
Mots clés : pièce de théâtre (TROIS POUR CENT) ; instituteur ; retraite ; symbolisme (SYMBOLE) ; société ; Français (MOYEN) ; argent (PLACEMENT) ; épargne ; dévaluation ; télévision (première) ; Dubois, Marie
Critique :
La pièce de théâtre signée de Roger Ferdinand a été adaptée par Jacques Chabannes qui présente l’œuvre.
L’adaptation télévisuelle est en direct et a provoqué quelques incidents (voir les images de « Trois pour cent ») :
- Image 3 : un grand bruit de chute dans la partie gauche du décor fait réagir Orane Demazis et Lucien Baroux qui se mettent à regarder dans la direction du bruit laissant Camille Guerini poursuivre son jeu.
- Image 9 : la perche du son apparaît en haut à droite.
- Image 12 : au lieu de faire la mise au point, le technicien tourne le bouton dans le mauvais sens donc image flou.
La pièce de théâtre est très gentillette sur le fait de se marier avec quelqu’un d’une même condition sociale que la sienne. Cela a–t–il disparu à notre époque ? Pas évident d’être sûr. Comme c’est une comédie, cela se termine bien.
Deux grands noms pour les rôles principaux : Lucien Baroux et Orane Demazis (qui ne déclame pas comme souvent).
Cette œuvre montre surtout les débuts de Claudine Clement bien avant de se nommer Marie Dubois. Avec son large sourire, elle semble à l’aise mais quelques petits regards inquiets en direction de la caméra nous indiquent que son cœur doit battre bien vite.
Bien que non indiqué, le serveur me semble être Jean-Pierre Moutier (en tout début de carrière)
Alain Bourgeois, Novembre 2021
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Marie Dubois MADELEINE Lucien Baroux HIPPOLYTE GIRAUD Alain Quercy CAMILLE Marcel Carpentier BARBOUIN Camille Guerini GUERIN Mauricet LE SENATEUR CUCHAT Raymond Girard ALBERT Clément Thierry GERARD BRESSAC Valdy Valle LE GERANT LEON Orane Demazis ELISABETH GIRAUD Colette Fleury CHRISTIANE Yvonne Decade YVETTE Jean-Pierre Moutier Le barman Vallée Valdy Le gerant Leon
La pièce est interprétée dans les décors et les costumes de l'époque de sa création (1933). Elle donne l'image d'une société des années 1920à travers le personnage d'un vieil instituteur retraité, brave homme modeste, à la fois rusé et maladroit, symbole des français qui avaient placé toutes leurs économies en 3% et, victimes de la dévaluation, restèrent pauvres.
- Monsieur Giraud vit donc médiocrement en province, avec sa femme, fier de ses deux fils sortis de polytechnique. L'un d'eux veut épouser la fille d'un homme d'affaires qui s'est enrichi pendant et après la guerre de 1914. M. Giraud s'efforce de contrecarrer ce projet, mais le mariage se fera malgré tout et la pièce s'achève dans un optimisme bon enfant.
Mots clés : pièce de théâtre (TROIS POUR CENT) ; instituteur ; retraite ; symbolisme (SYMBOLE) ; société ; Français (MOYEN) ; argent (PLACEMENT) ; épargne ; dévaluation ; télévision (première) ; Dubois, Marie
Critique :
La pièce de théâtre signée de Roger Ferdinand a été adaptée par Jacques Chabannes qui présente l’œuvre.
L’adaptation télévisuelle est en direct et a provoqué quelques incidents (voir les images de « Trois pour cent ») :
- Image 3 : un grand bruit de chute dans la partie gauche du décor fait réagir Orane Demazis et Lucien Baroux qui se mettent à regarder dans la direction du bruit laissant Camille Guerini poursuivre son jeu.
- Image 9 : la perche du son apparaît en haut à droite.
- Image 12 : au lieu de faire la mise au point, le technicien tourne le bouton dans le mauvais sens donc image flou.
La pièce de théâtre est très gentillette sur le fait de se marier avec quelqu’un d’une même condition sociale que la sienne. Cela a–t–il disparu à notre époque ? Pas évident d’être sûr. Comme c’est une comédie, cela se termine bien.
Deux grands noms pour les rôles principaux : Lucien Baroux et Orane Demazis (qui ne déclame pas comme souvent).
Cette œuvre montre surtout les débuts de Claudine Clement bien avant de se nommer Marie Dubois. Avec son large sourire, elle semble à l’aise mais quelques petits regards inquiets en direction de la caméra nous indiquent que son cœur doit battre bien vite.
Bien que non indiqué, le serveur me semble être Jean-Pierre Moutier (en tout début de carrière)
Alain Bourgeois, Novembre 2021
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