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Lagardère
Lagardère
Michele Grellier 1967
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Bulle Ogier
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Bulle Ogier
Bulle Ogier Michel Vitold
Claude Ferna
Clement Thierry Sacha Pitoeff
Colette Gerard Dominique Paturel
Dominique Paturel Jean Piat
Dominique Paturel Josee Steiner
Dominique Paturel Michel Lariviere
Eric Vasberg
Francoise Giret Jean Pierre Darras
Francoise Giret Josee Steiner
Francoise Giret
Guy Pintat
Inconnu 1 a droite
Inconnu 5 a gauche
Inconnue 1
Inconnue 2
Inconnue 3
Inconnue 4 a gauche
Madeleine Bouchez et Inconnue 6
Inconnues 7 et 8
Inconnues 9 et 10
Jacques Dufilho Noelle Leiris
Jean Piat Claude Ferna
Jean Piat Ellen Bernsen
Jean Piat Michele Grellier
Jean Piat
Jean Pierre Carmona
Jean Pierre Darras Jacques Balutin
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Josee Steiner
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Josee Steiner
Josee Steiner Sacha Pitoeff
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Lagardere
Marco Perrin Jacques Dufilho
Michel Lariviere
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Michele Grellier
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Michele Grellier
Nadine Alari
Pierre Garin
Raymond Gerome Nadine Alari
Sacha Pitoeff Nadine Alari
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Eric Vasberg perd sa perruque
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Eric Vasberg perd sa perruque
Jacques Brecourt
Michel Rosenberg le petit a gauche
Jean Piat (Henri de Lagardère) Sacha Pitoëff (Le prince Philippe de Gonzague) Michèle Grellier (Aurore) Raymond Gérôme Jacques Balutin (Staupitz) Roland Armontel (L'armurier) Jacques Dufilho (Passepoil) Marco Perrin (Cocardasse) Dominique Paturel (Chaverny) Henri Attal (Un truand) Dominique Zardi (Un truand) Françoise Giret (Jacinta) Jean-Pierre Darras (Peyrolles) Bulle Ogier (Mariquita) Nadine Alari (Blanche de Caylus) Marcel Cuvelier (Philippe V) Michel Vitold (Pedro Y Gomez) Josée Steiner (Flor) Jean-Michel Dhermay (Philippe Duc de Nevers) Clément Thierry (Taranne) Raoul Billerey (Oriol) Michel Larivière (Batz) Jean-Pierre Carmona (Laho) Claude Ferna (Suzon Bernard) Colette Gérard (La Nivelle) Ellen Bernsen (La comtesse de Montboron) Marcelle Hainia (Dame Marthe) Noëlle Leiris (Martine) André Tomasi (Un gendarme) Carlo Nell (Le sous-officier) Claude Confortès (Le bateleur) Edmond Ardisson (Maître Fidelin) Eric Vasberg (Joël de Jugan / Saldagne / un sbire d'El Matador) Georges Douking (Caylus) Guy Fox (Perez) Guy Pintat (Un laquais) Hubert de Lapparent (Le maître d'armes) Jacques Boudet (Un laquais) Jacques Galland (Le marchand) Jean Rupert (Un ouvrier) Jean-Pierre Janic (El Matador) Lionel Vitrant (Faënza / un sbire d'El Matador) Pierre Garin (Escobar) René Berthier (D'Argenson) Rico Lopez (Saldagne / Sanchez le grêlé) Robert Darnel (Le chapelain) Roger Trapp (Un ouvrier) Christian Brocard le participant aux enchères qui offre 6.000 livres (non crédité) Gaston Meunier un participant aux enchères chez le prince de Gonzague (non crédité) Christine Aurel la servante de Flor (non crédité) Adrien Cayla-Legrand un homme de loi auprès du régent (non crédité) Jackie Blanchot un truand déguisé en laquais (non crédité) Jacques Brécourt un adversaire au gosier de Poncorbo / le 3ème héraut (non crédité) Michel Rosenberg un homme qui assiste à l’exécution de Lagardère (non crédité)
Résumé :
Feuilleton de 6 x 55 min :
Le petit Parisien
Aurore
Le bal du Régent
Les noces du bossu
Le défilé de Poncarbo
La vengeance de Lagardère
Premier épisode : A la fin du XVII° siècle, Henri, dit le petit parisien, travaille comme acrobate au théâtre des prestiges. Cocardasse et Passepoil, les maîtres d’armes lui enseignent l’escrime. Un jour, sa vieille nourrice, Suzon Bernard lui apprend qu’il s’apprend Henri de Lagardère, qu’il est noble et que ses parents ont été assassinés. Henri veut savoir son niveau et provoque en duel, Philippe de Nevers réputé comme le meilleur escrimeur. Il finit par obtenir ce duel et un rendez-vous à minuit dans les fossés de Caylus. Il apprend bientôt que l’on veut assassiner le duc de Nevers…
Le deuxième épisode se déroule quinze ans après en Espagne. Cocardasse et Passepoil traînent la savate. Aurore de nevers est élevée chez un vieil armurier et l'on découvre que son professeur n'est autre que Lagardère. Une suite de vengeances où tous les spadassins du guet-apens des fossés de Caylus disparaissent excède le duc de Gonzague, toujours en quête d'Aurore de Nevers. Il apprend où elle est et la fait enlever. Elle est emmenée dans une grotte de montagne où s'est établi un camp de gitans. Grâce à l'aide d'une gitane, Flor, elle peut s'échapper. Elle est poursuivie, mais Lagardère la sauve : il la cache dans un couvent. Par l'entremise de Passepoil et Cocardasse, qui jouent double jeu, Lagardère connaîtra le chef des spadassins : c'est déguisé en noble espagnol qu'il rencontrera le duc de Gonzague, lui annonçant la mort de Lagardère. Gonzague est tranquille : il tient la petite Nevers (qui est en fait la gitane Flor). Il va donc pouvoir s'octroyer l'héritage des Nevers. Malheureusement pour lui, on découvre le dernier des survivants de Caylus, mort, marqué au front de l'étoile de Lagardère. Celui-ci n'est donc pas mort...
Troisième épisode : Un homme étrange et bossu apparaît. Il se fait appeler Esope. En réalité, c’est Lagardère déguisé et méconnaissable. Pendant ce temps Gonzague veut faire passer, aux yeux de Blanche de Nevers (devenue la femme de Gonzague), Flor pour Aurore. Blanche ne reconnaît pas sa fille.
Gonzague a maintenant quelques gentilshommes attachés à lui ; les roués. Ceux-ci, avec à leur tête Chaverny, l’aident pour escroquer les riches bourgeois.
Chaverny tombe rapidement amoureux de Flor et Gonzague, grâce à un stratagème, fait enlever Aurore.
Quatrième épisode : Le bossu réussit à épouser Aurore. Celle-ci est reconnue par sa mère. Lagardère fait reconnaître sa bonne foi auprès du Régent mais Gonzague s’enfuit et fait enlever une nouvelle fois Aurore ainsi que Flor…
Cinquième épisode :Peyrolles paie des tueurs pour tuer Lagardère et ses amis dans le défilé de Poncarbo (passage entre la France et l’Espagne) …
Sixième épisode : Lagardère qui avait décidé de se faire passer pour mort, prend l'aspect d'une ombre. Il s'enveloppe de noir pour se confondre avec la nuit, parvient au Cabinet du roi et vole les sceaux du royaume.
Tous les hérauts d'armes recherchent le coupable, lorsque Lagardère se présente au roi et lui confesse qu'il est l'auteur du vol. Le roi est atterré : c'est un crime de lèse-majesté, puni de la peine de mort. Cependant le roi veut faire preuve de mansuétude, ce que refuse Lagardère qui veut à tout prix être condamné à mort., pour tromper Gonzague. Il sera donc pendu. Toutefois, la loi espagnole prévoit que si la corde casse, le supplicié sera gracié et remis entre les mains des moines...
L'analyse d'Alain B. :
Que voilà un bon feuilleton: le scénario était évidemment déjà fait par l'auteur Paul Féval auxquel on a ajouté la suite grâce àu fils de Paul Féval.
Ensuite on a placé quelques beaux comédiens et comédiennes; tout du moins en ce qui concerne les "gentils".
Jean Piat grand comédien de théâtre dont le rôle de Lagardère lui était destiné.
Dominique Paturel qui grâce à la télévision était devenu un jeune premier de tout premier ordre . On se souvient de ses rôles dans le chevalier de Maison-Rouge, le trompette de la Bérésina ou le très charmant Bonheur conjugal.
Michèle Grellier dans un rôle de "bien-aimée" où sa beauté et en particulier ses yeux bleus ne pouvait que rendre Lagardère fou d'amour.
Pour qu'une série soit réussie, il faut que les méchants soient parfaits et il faut dire que dans Lagardère ils le sont:
Sacha Pitoëff très méprisant et hautain dans son rôle.
Jean-Pierre Darras génialement fourbe.
Jacques Balutin très souvent du côté des gentils et qui cette fois campe avec talent un rôle de tueur.
Pour améliorer le tout, on a ajouté le côté comique de l'histoire (que Bourvil, au côté de Jean Marais, dans le film d'André Hunebelle avait sublimé) avec la présence de deux grands comédiens trop souvent cantonnés à de petits rôles: Marco Perrin et Jacques Dufilho.
La distribution est particulièrement riche avec Françoise Giret, Bulle Ogier, Nadine Alari, Michel Vitold ou Marcel Cuvelier sans parler de la jolie Josée Steiner.
Félicitons au directeur de la photographie avec une image de grande qualité avec des gros plans magnifiques (presque à la Sergio Leone)
L'analyse de Jean-Pierre Pecqueriaux :
C'est le type même de production ambitieuse mais plutôt fauchée, ce qui est complètement contradictoire.
Tout d'abord les décors. Lorsque l'on est attentif on s'aperçoit que le même décor a été utilisé pour la salle de l'école d'escrime, les différentes auberges et l'intérieur de la maison de l'armurier espagnol (Armontel). Seuls les accessoires changeaient, les décorations sur les murs, la porte d'entrée, les meubles, c'était bien fait mais c'était exactement la même pièce qui servait pour tout. Et puis bien sûr le décor peint qui tourne (et brille !) pour donner l'illusion que le carrosse avance en ville ou dans la campagne, en regardant bien on voyait passer et repasser les mêmes façades de maisons, les mêmes collines !
On remarque aussi de nombreux gros plans de cavaliers tournés en studio car ils sont juste sur une selle animée pour donner l'illusion du mouvement.
Par ailleurs il y a un doux mélange dans les noms des personnages. Dans le 1er épisode Jacques Balutin présente un par un les sbires qu'il a engagés pour tuer le duc de Nevers. Il s'appelle Staupitz et selon le roman il est bavarois mais il présente Eric Vasberg avec l'accent espagnol en disant "Yoël de Yugan". Or, toujours dans le roman, ce personnage est breton et s'appelle Joël de Jugan ! Il présente également Rico Lopez comme étant Saldagne. Et finalement au générique de fin Eric Vasberg est crédité du rôle de Saldagne et Rico Lopez n'est pas cité !!! Dans le 2ème épisode Eric Vasberg est devenu Saldagne et Rico Lopez change de nom et s'appelle Sanchez le grêlé. Quelle pagaille !
Enfin, une autre observation savoureuse. Dans le 2ème épisode, Eric Vasberg et Lionel Vitrant qui jouent respectivement Saldagne et Faënza sont tués par Lagardère mais nous les retrouvons un peu plus tard dans une auberge, en tant que sbires d'El Matador. Ils sont évidemment costumés, maquillés et perruqués autrement. Lors d'une bagarre Eric Vasberg qui est affublé d'une perruque blonde fait une chute, sa perruque se détache et tombe après lui et on le retrouve à terre les cheveux courts et bruns. Mais ils ont tout de même gardé la prise !
Bien que ce ne soit pas mentionné, Raoul Billerey double Jean Piat pour de nombreuses séquences de chevauchées et de duels.
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