Erreurs judiciaires : Un mystère insoluble dans l'alcool
Jean Laviron - 1976
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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Claire Maurier (Maité Legrand) Henri Poirier (Le juge d’instruction) Claude Bertrand (Le journaliste) Jean Berger (Le professeur Languillaume) Jean-Marie Arnoux (Le neveu) Jean-Simon Prévost (Me Fresnay) Marcelle Barreau (La nièce) Pierre Destailles (Le commissaire) Roger Trapp (Auguste) René Floriot (Lui-même)
Document sans nom
Marcel Pons a cinquante ans. Il est riche et jouit d'une excellente santé. Un matin, sa maîtresse Maïté LEGRAND le retrouve mort. Son décès paraît suspect dans sa petite ville du sud de la France. Le médecin refuse le permis d'inhumer et l'autopsie établit que Marcel Pons a succombé à l'absorption d'une forte dose de gardénal. Pour Maïté LEGRAND, son ami s'est certainement suicidé.
La veille de sa mort, la victime, qui se trouvait seule chez elle avec la jeune femme, avait rédigé un testament lui léguant tous ses biens.
Deux hypothèses sont donc possibles : Marcel Pons s'est suicidé ou sa maîtresse l'a empoisonné.
Le médecin qui a pratiqué l'autopsie précise au juge que le gardénal n'est soluble que dans l'alcool : le poison n'a donc pu être administré qu'à l'insu de la victime dans une boisson alcoolisée. Or Maïté est formelle, Marcel ne buvait jamais d'alcool.
Le rapport du laboratoire de la police criminelle révèle que la victime, avant de mourir, avait dû absorber un demi-litre d'alccol à 45°. Maïté est inculpée d'homicide volontaire. Elle maintient pourtant ses déclarations. Le plus grand avocat de Montpellier, Maître FRESNAY, irrité par l'attitude de sa cliente, finit par être impressionné. Il lui faut revoir l'affaire dans les moindres détails. Qui croire ? Maïté ou le rapport d'expertise ?
C'est curieux la mémoire: Je me souvenais parfaitement de cet épisode avec la faute du laborantin alors que pour les autres épisodes ...
Tout est évidemment bien pensé: il faut dire que l'histoire est tiré d'un véritable fait divers.
Alain B.
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Erreurs judiciaires : Un mystère insoluble dans l'alcool
Un mystere insoluble dans l alcool
Claire Maurier (Maité Legrand) Henri Poirier (Le juge d’instruction) Claude Bertrand (Le journaliste) Jean Berger (Le professeur Languillaume) Jean-Marie Arnoux (Le neveu) Jean-Simon Prévost (Me Fresnay) Marcelle Barreau (La nièce) Pierre Destailles (Le commissaire) Roger Trapp (Auguste) René Floriot (Lui-même)
Marcel Pons a cinquante ans. Il est riche et jouit d'une excellente santé. Un matin, sa maîtresse Maïté LEGRAND le retrouve mort. Son décès paraît suspect dans sa petite ville du sud de la France. Le médecin refuse le permis d'inhumer et l'autopsie établit que Marcel Pons a succombé à l'absorption d'une forte dose de gardénal. Pour Maïté LEGRAND, son ami s'est certainement suicidé.
La veille de sa mort, la victime, qui se trouvait seule chez elle avec la jeune femme, avait rédigé un testament lui léguant tous ses biens.
Deux hypothèses sont donc possibles : Marcel Pons s'est suicidé ou sa maîtresse l'a empoisonné.
Le médecin qui a pratiqué l'autopsie précise au juge que le gardénal n'est soluble que dans l'alcool : le poison n'a donc pu être administré qu'à l'insu de la victime dans une boisson alcoolisée. Or Maïté est formelle, Marcel ne buvait jamais d'alcool.
Le rapport du laboratoire de la police criminelle révèle que la victime, avant de mourir, avait dû absorber un demi-litre d'alccol à 45°. Maïté est inculpée d'homicide volontaire. Elle maintient pourtant ses déclarations. Le plus grand avocat de Montpellier, Maître FRESNAY, irrité par l'attitude de sa cliente, finit par être impressionné. Il lui faut revoir l'affaire dans les moindres détails. Qui croire ? Maïté ou le rapport d'expertise ?
C'est curieux la mémoire: Je me souvenais parfaitement de cet épisode avec la faute du laborantin alors que pour les autres épisodes ...
Tout est évidemment bien pensé: il faut dire que l'histoire est tiré d'un véritable fait divers.
Alain B.
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