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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Jean Gabin Victor Ploubaz Ginette Leclerc Marie-Ange son épouse Jacques Marin André Simonet Micheline Luccioni Paulette Simonet Eric Damain Pierre Simonet Ginette Garcin Séverine Claude Pieplu M Volabruque Gilberte Géniat Mme Volabruque Michel Pilorgé Le bistrotier Jacqueline Doyen Léontine, femme du bistrotier Jean Carmet Staline, un cheminot André Pousse Balloche, un cheminot Raymond Meunier Tartinville, un cheminot Roger Lumont Counissard, un cheminot André Barsacq L'instituteur Henri Cogan Le camionneur Philippe Castelli Le chef de gare Jacques Hilling Yvan Chiffre
Document sans nom
Ce film signé Michel Audiard, se range dans la grande tradition des fictions taillées sur mesure pour Jean Gabin qui nous joue son numéro habituel de rouspéteur, de mégalomane, de vantard, mais on se laisse prendre à ce jeu que l'on connaît pourtant par coeur avec nostalgie.
Il est entouré d'une solide bande de seconds rôles ainsi que du jeune Eric Damain, que le public aura été ravi de retrouver dans un rôle plus léger que celui de Jacquou le Croquant.
L'intrigue
Albert Simonet (Jacques Marin) est un brave cheminot qui savoure une gentille gloire : celle d'avoir remporté un premier prix de maquette de bateau. Paulette son épouse (Micheline Luccioni) et Pierre son fils (Eric Damain), sont très fiers de lui. Il en est de même de tous ses collègues.
Son chef direct, Monsieur Volabruque, (Claude Piéplu) est tellement admiratif, qu'il lui demande de lui construire un vrai bateau. Il paiera mais il tient à son projet. Le brave Albert est flatté mais dépassé par les événements, il pense à "Tonton Victor" (Jean Gabin).
Tonton Victor est auréolé de tous les récits de ses aventures aux quatre points du monde et fait l'admiration du petit Pierre et de sa famille.
Voilà que ce fameux Tonton Victor arrive et fait construire un bateau, qui ira jusqu'au Cap Horn ! Ce n'est pas rien !
Tous les cheminots se mettent à l'ouvrage, et le bateau (plutôt petit) est enfin terminé ! Tonton Victor et Albert, sous les acclamations de tous, prennent timidement le large et Albert se rend très vite compte que son oncle n'a jamais navigué.
Ce dernier avoue que c'est pour le petit Pierre qu'il a fait croire tout ça. Les deux compères, pour ne pas perdre la face, invente une stratégie... Au matin le bateau a disparu ... C'est compter sans la ténacité des cheminots qui retrouvent le bateau dont les amarres avaient rompu, on se doute comment.
Monsieur Volubruque paie les réparations. Tout est à recommencer... voilà soudain que le bateau brûle... Ne cherchez pas ! c'est le petit Pierre, bien plus malin que les adultes, qui a tout compris et qui a fait le nécessaire. Mais le regard nostalgique et déçu de l'enfant tout à la fin est touchant... il dit adieu à un rêve.
Donatienne Roby, Janvier 2020
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Le drapeau noir flotte sur la marmite
Claude Pieplu Eric Damain et Michel Pilorge
Eric Damain et Philippe Castelli
Jacques marin avec Micheline Luccioni et Eric Damain
Micheline Luccioni Andre Pousse Jacques Marin
Jean Gabin Victor Ploubaz Ginette Leclerc Marie-Ange son épouse Jacques Marin André Simonet Micheline Luccioni Paulette Simonet Eric Damain Pierre Simonet Ginette Garcin Séverine Claude Pieplu M Volabruque Gilberte Géniat Mme Volabruque Michel Pilorgé Le bistrotier Jacqueline Doyen Léontine, femme du bistrotier Jean Carmet Staline, un cheminot André Pousse Balloche, un cheminot Raymond Meunier Tartinville, un cheminot Roger Lumont Counissard, un cheminot André Barsacq L'instituteur Henri Cogan Le camionneur Philippe Castelli Le chef de gare Jacques Hilling Yvan Chiffre
Ce film signé Michel Audiard, se range dans la grande tradition des fictions taillées sur mesure pour Jean Gabin qui nous joue son numéro habituel de rouspéteur, de mégalomane, de vantard, mais on se laisse prendre à ce jeu que l'on connaît pourtant par coeur avec nostalgie.
Il est entouré d'une solide bande de seconds rôles ainsi que du jeune Eric Damain, que le public aura été ravi de retrouver dans un rôle plus léger que celui de Jacquou le Croquant.
L'intrigue
Albert Simonet (Jacques Marin) est un brave cheminot qui savoure une gentille gloire : celle d'avoir remporté un premier prix de maquette de bateau. Paulette son épouse (Micheline Luccioni) et Pierre son fils (Eric Damain), sont très fiers de lui. Il en est de même de tous ses collègues.
Son chef direct, Monsieur Volabruque, (Claude Piéplu) est tellement admiratif, qu'il lui demande de lui construire un vrai bateau. Il paiera mais il tient à son projet. Le brave Albert est flatté mais dépassé par les événements, il pense à "Tonton Victor" (Jean Gabin).
Tonton Victor est auréolé de tous les récits de ses aventures aux quatre points du monde et fait l'admiration du petit Pierre et de sa famille.
Voilà que ce fameux Tonton Victor arrive et fait construire un bateau, qui ira jusqu'au Cap Horn ! Ce n'est pas rien !
Tous les cheminots se mettent à l'ouvrage, et le bateau (plutôt petit) est enfin terminé ! Tonton Victor et Albert, sous les acclamations de tous, prennent timidement le large et Albert se rend très vite compte que son oncle n'a jamais navigué.
Ce dernier avoue que c'est pour le petit Pierre qu'il a fait croire tout ça. Les deux compères, pour ne pas perdre la face, invente une stratégie... Au matin le bateau a disparu ... C'est compter sans la ténacité des cheminots qui retrouvent le bateau dont les amarres avaient rompu, on se doute comment.
Monsieur Volubruque paie les réparations. Tout est à recommencer... voilà soudain que le bateau brûle... Ne cherchez pas ! c'est le petit Pierre, bien plus malin que les adultes, qui a tout compris et qui a fait le nécessaire. Mais le regard nostalgique et déçu de l'enfant tout à la fin est touchant... il dit adieu à un rêve.
Donatienne Roby, Janvier 2020