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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Renée Falconetti Jeanne d'Arc Eugène Silvain l'Évêque Pierre Cauchon André Berley Jean d'Estivet Maurice Schutz Nicolas Loyseleur Antonin Artaud Jean Massieu Jean d'Yd Guillaume Erard Louis Ravet Jean Beaupère Armand Lurville un juge Léon Larive un juge Michel Simon un juge Alexandre Mihalesco un juge Jean Aymé un juge Jacques Arnna un juge Paul Delauzac Martin Ladvenu Gilbert Dalleu Jean Lemaître
Document sans nom
Scénario de Joseph Delteil et Cari Dreyer
Images de Rudolph Mate
Décors de Jean Hugo et Hermann Warm
L'EPOQUE ET LE LIEU : Le 30 mai 1431, à Rouen.
LE THEME : Jeanne d'Arc, prisonnière, seule avec Dieu, en conflit avec l'Eglise, affronte ses juges et marche à la mort. Le plus célèbre film de Carl Dreyer, mort en mars 1968, est aussi l'un des chefs-d'œuvre du cinéma muet. Depuis sa sortie, il a fait l'objet de nombreuses analyses. Repris au Cinéma d'essai à Paris, en 1952, i1 a suscité l'admiration des générations qui ne connaissent que le parlant. Cari Dreyer a fait, du gros plan, un emploi systématique. Les péripéties du procès se lisent sur les visages. Les acteurs ont été filmés sans maquillage et Falconetti fut réellement tondue. Le grand cinéaste danois a réalisé un admirable reportage historique où passe l'âme de Jeanne d'Arc.
LE DEBUT : Dans la grande salle du Palais de Justice de Rouen, Jeanne d'Arc paraît devant l'évoque Cauchon, Nicolas Loyseleur et les autres juges. Elle élude leurs questions embarrassantes. Ils veulent la confondre comme sorcière et décident de la prendre par ruse. Dans sa cellule, Jeanne est tourmentée par les soldats chargés de sa garde. Nicolas Loyseleur vient la voir, fait cesser les tracasseries des soldats et lui remet une lettre de Charles VII. Celle-ci est fausse. Il s'agit de gagner la confiance de Jeanne par cette tromperie. Les autres juges et Cauchon rejoignent Loyseleur. L'interrogatoire reprend. Mais Jeanne ne cède pas. On menace de la torturer. Les soldats reviennent la tourmenter...
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Paul Delauzac et Antonin Artaud
Armand Lurville et Louis Ravet
Maurice Schutz et Eugene Silvain
Renée Falconetti Jeanne d'Arc Eugène Silvain l'Évêque Pierre Cauchon André Berley Jean d'Estivet Maurice Schutz Nicolas Loyseleur Antonin Artaud Jean Massieu Jean d'Yd Guillaume Erard Louis Ravet Jean Beaupère Armand Lurville un juge Léon Larive un juge Michel Simon un juge Alexandre Mihalesco un juge Jean Aymé un juge Jacques Arnna un juge Paul Delauzac Martin Ladvenu Gilbert Dalleu Jean Lemaître
Scénario de Joseph Delteil et Cari Dreyer
Images de Rudolph Mate
Décors de Jean Hugo et Hermann Warm
L'EPOQUE ET LE LIEU : Le 30 mai 1431, à Rouen.
LE THEME : Jeanne d'Arc, prisonnière, seule avec Dieu, en conflit avec l'Eglise, affronte ses juges et marche à la mort. Le plus célèbre film de Carl Dreyer, mort en mars 1968, est aussi l'un des chefs-d'œuvre du cinéma muet. Depuis sa sortie, il a fait l'objet de nombreuses analyses. Repris au Cinéma d'essai à Paris, en 1952, i1 a suscité l'admiration des générations qui ne connaissent que le parlant. Cari Dreyer a fait, du gros plan, un emploi systématique. Les péripéties du procès se lisent sur les visages. Les acteurs ont été filmés sans maquillage et Falconetti fut réellement tondue. Le grand cinéaste danois a réalisé un admirable reportage historique où passe l'âme de Jeanne d'Arc.
LE DEBUT : Dans la grande salle du Palais de Justice de Rouen, Jeanne d'Arc paraît devant l'évoque Cauchon, Nicolas Loyseleur et les autres juges. Elle élude leurs questions embarrassantes. Ils veulent la confondre comme sorcière et décident de la prendre par ruse. Dans sa cellule, Jeanne est tourmentée par les soldats chargés de sa garde. Nicolas Loyseleur vient la voir, fait cesser les tracasseries des soldats et lui remet une lettre de Charles VII. Celle-ci est fausse. Il s'agit de gagner la confiance de Jeanne par cette tromperie. Les autres juges et Cauchon rejoignent Loyseleur. L'interrogatoire reprend. Mais Jeanne ne cède pas. On menace de la torturer. Les soldats reviennent la tourmenter...
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