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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Édith Jéhanne Sophie Worowska Charles Dullin Baron von Kempelen Pierre Blanchar Boleslas Worowsky Pierre Batcheff Serge Oblomoff Jackie Monnier Wanda Camille Bert Major Nicolaieff Marcelle Dullin Catherine II Alexiane la Folie Olga Armand Bernard Roubenko Fridette Fatton Pola Pierre Hot Roi Stanislas Poniatowsky James Devesa Prince Orloff Albert Préjean le courrier du Tsar Pierre de Canolle Boris de Fast Laurent Morléas Pierre Mindaist
Document sans nom
SCENARIO Raymond Bernard et Jean-José Frappa d‘après le roman de Henri Dupuy-Mazuel ; IMAGES Marc Bujard, Joseph-Louis Mundwiller et Willy Faktorovitch ; DECORS Jean Perrier et Eugène Carré ; COSTUMES Lily Jumel ; MUSIQUE Henri Rabaud ; ASSISTANTS REALISATEURS Jean Hémard et Lily Jumel ; PRODUCTION Société des Films Historiques ; Tournage aux studios de Joinville, à Ostroleka (Pologne), à Saint-Moritz (Suisse) et à Fontainebleau de mars à octobre 1926 ; Sortie le 6 janvier 1927 au cinéma Le Marivaux ; Durée 136 min.
Boleslas et Sophie ont été élevés comme frère et sœur par le baron von Kempelen, un fabricant d’automate renommé dans toute l’Europe. Les deux jeunes gens sont aussi parmi les plus fervents partisans de l’indépendance de la Pologne, alors partagée entre la Prusse et l’Empire Russe. La situation n’empêche cependant pas Boleslas de se lier d’amitié avec Serge Oblomoff, un officier russe qui gagne aussi le cœur de Sophie. Après une tentative de révolte écrasée par l’armée impériale, Boleslas, gravement blessé, doit fuir le pays. Kempelen imagine alors un stratagème : cacher Boleslav à l’intérieur d’un automate qu’il animera et auquel il apportera sa science du jeu. L’automate devant à la fois apporter la gloire à son créateur tout en donnant à Boleslav le moyen d’échapper à ses poursuivants. Mais le succès de la création de Kempelen est tel qu’il finit par suscité la curiosité de Catherine II. Férue du jeu d’échec, l’impératrice convie l’automate à venir l’affronter devant toute la cour de Russie…
NOTE(S) :
Raymond Bernard écrit dans Échos de naguère : « En Pologne, nous filmions une charge de cavalerie. Nos appareils étaient disposés dans une plaine. Un détail m‘avait échappé : le sol, par endroits, était sablonneux. Et un escadron fonçant ventre à terre en frôlant les appareils souleva un tel nuage de poussière que l‘escadron suivant ne put les voir. Poussant leurs montures, hurlant, lance au poing, les cavaliers, sans même s‘en rendre compte, piétinèrent opérateurs, assistants et matériel. Lorsque le travail put reprendre et que je visionnai les images enregistrée… A couper le souffle ! Nous n‘aurions jamais essayé, de sang-froid, d‘obtenir de tels clichés ! Ils illustrèrent magnifiquement la fantastique chevauchée, tandis que les insurgés, autour de leur égérie, chantaient avec ferveur l‘hymne de la délivrance… ».
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Edith Jehanne et Pierre Batcheff
Edith Jehanne et Pierre Batcheff
Jackie Monnier et Edith Jehanne
Pierre Blanchar et Edith Jehanne
Édith Jéhanne Sophie Worowska Charles Dullin Baron von Kempelen Pierre Blanchar Boleslas Worowsky Pierre Batcheff Serge Oblomoff Jackie Monnier Wanda Camille Bert Major Nicolaieff Marcelle Dullin Catherine II Alexiane la Folie Olga Armand Bernard Roubenko Fridette Fatton Pola Pierre Hot Roi Stanislas Poniatowsky James Devesa Prince Orloff Albert Préjean le courrier du Tsar Pierre de Canolle Boris de Fast Laurent Morléas Pierre Mindaist
SCENARIO Raymond Bernard et Jean-José Frappa d‘après le roman de Henri Dupuy-Mazuel ; IMAGES Marc Bujard, Joseph-Louis Mundwiller et Willy Faktorovitch ; DECORS Jean Perrier et Eugène Carré ; COSTUMES Lily Jumel ; MUSIQUE Henri Rabaud ; ASSISTANTS REALISATEURS Jean Hémard et Lily Jumel ; PRODUCTION Société des Films Historiques ; Tournage aux studios de Joinville, à Ostroleka (Pologne), à Saint-Moritz (Suisse) et à Fontainebleau de mars à octobre 1926 ; Sortie le 6 janvier 1927 au cinéma Le Marivaux ; Durée 136 min.
Boleslas et Sophie ont été élevés comme frère et sœur par le baron von Kempelen, un fabricant d’automate renommé dans toute l’Europe. Les deux jeunes gens sont aussi parmi les plus fervents partisans de l’indépendance de la Pologne, alors partagée entre la Prusse et l’Empire Russe. La situation n’empêche cependant pas Boleslas de se lier d’amitié avec Serge Oblomoff, un officier russe qui gagne aussi le cœur de Sophie. Après une tentative de révolte écrasée par l’armée impériale, Boleslas, gravement blessé, doit fuir le pays. Kempelen imagine alors un stratagème : cacher Boleslav à l’intérieur d’un automate qu’il animera et auquel il apportera sa science du jeu. L’automate devant à la fois apporter la gloire à son créateur tout en donnant à Boleslav le moyen d’échapper à ses poursuivants. Mais le succès de la création de Kempelen est tel qu’il finit par suscité la curiosité de Catherine II. Férue du jeu d’échec, l’impératrice convie l’automate à venir l’affronter devant toute la cour de Russie…
NOTE(S) :
Raymond Bernard écrit dans Échos de naguère : « En Pologne, nous filmions une charge de cavalerie. Nos appareils étaient disposés dans une plaine. Un détail m‘avait échappé : le sol, par endroits, était sablonneux. Et un escadron fonçant ventre à terre en frôlant les appareils souleva un tel nuage de poussière que l‘escadron suivant ne put les voir. Poussant leurs montures, hurlant, lance au poing, les cavaliers, sans même s‘en rendre compte, piétinèrent opérateurs, assistants et matériel. Lorsque le travail put reprendre et que je visionnai les images enregistrée… A couper le souffle ! Nous n‘aurions jamais essayé, de sang-froid, d‘obtenir de tels clichés ! Ils illustrèrent magnifiquement la fantastique chevauchée, tandis que les insurgés, autour de leur égérie, chantaient avec ferveur l‘hymne de la délivrance… ».