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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Yvonne Sergyl Jeanne Fouquet, future Jeanne Hachette Charles Dullin Louis XI Romuald Joubé Robert Cottereau Gaston Modot Comte du Lau, sire de Châteauneuf Armand Bernard Bische Philippe Hériat Tristan L'Ermite Édith Jéhanne la Beauvaisienne violée Ernest Maupain Fouquet Fernand Mailly Philippe le Bon Francis Halma Olivier le Daim Robert Guilbert Duc de Bourbon Pierre Denols Coitier Emilien Richaud Commines Pierre Hot Dieu dans Le Jeu d'Adam Arlette Genny une servante de Jeanne Colette Darfeuil une servante de JeanneSuzanne Delprato Germaine Vallée Line Doré Hietta Stella Pierrette Houyez une petite Beauvaisienne Albert Préjean un soldat Pierre de Canolle Lucien Bataille Rémond Emile Engeldroff les loups du cirque Amar dressés par Jim Rhio
Document sans nom
SCENARIO Raymond Bernard, Jean-José Frappa et André-Paul Antoine d‘après le roman de Henri Dupuy-Mazuel ; IMAGES Robert Batton, Marc Bujard, Franck Daniau-Johnston, Maurice Forster, Réné Gaveau et Julien Ringel ; DECORS Robert Mallet-Stevens et Jean Perrier ; COSTUMES Jacques Onfroy de Bréville ; MUSIQUE Henri Rabaud ; ASSISTANT REALISATEUR Jean Hémard ; PRODUCTION Société des Films Historiques ; Tournage aux studios de Joinville, au Col de Porte, Col du Galibier et à Carcassonne de novembre 1923 à mai 1924 ; Première à l’Opéra de Paris le 13 novembre 1924. Sortie publique le 28 novembre 1924 ; Durée 130 min.
Jeanne Fouquet, filleule du dauphin Louis, aime Robert Cottereau, porte-bannière de Charles le Téméraire. L’ambitieux duc de Bourgogne s’oppose ouvertement au pouvoir royal. Dès qu’il monte sur le trône, Louis XI, cherche a affirmer sa suzeraineté. Ses provocations envers le Téméraire et ses alliés aboutissent à la guerre. Jeanne et Robert se retrouvent dans des camps ennemis. Si Robert combat par devoir au côté des Bourguignons, il sait qu’une victoire de son seigneur signifierait la fin de ses espérances amoureuses, Le Téméraire ayant promis de donner Jeanne en mariage à un autre de ses vassaux, l’intrigant seigneur de Châteauneuf. Après avoir sauvé la vie du Roi au péril de sa propre vie, Jeanne prend la tête de la résistance de Beauvais attaquée par les Bourguignons. Elle contribue ainsi à sauvegarder la couronne et passe à la postérité sous le nom de Jeanne Hachette.
NOTE(S) :
Le film bénéficie d’un budget de millions de francs qui en fait alors la production la plus importante jamais réalisée en France. Le film triomphe aussi bien en France qu’à l’étranger. En 1930, LE MIRACLE DES LOUPS ressort en version sonorisée. Jeanne Hachette/Yvonne Sergyl peut haranguer la foule à son aise. Les son remplacés par une leçon d’histoire donnée par Jean Joffre au jeune Jimmy Gaillard…
Raymond Bernard écrit dans Échos de naguère : « Le morceau le plus important du film était le siège de Beauvais. Les remparts de la ville n‘existant plus, les historiens avaient admis qu’on pouvait les remplacer par ceux de Carcassonne. Cadre immense qui, pour être bien utilisé, nécessitait de très larges déploiements de troupes et des mouvements de la population sur la défensive… J’utilisais chaque jour de mille à quatre mille figurants. Parfois venaient s’y intégrer des unités de troupes en garnison dans la région. Je disposais de trois à quinze appareils de prises de vue. Le plus complexe était de bien synchroniser les mouvements que j’avais fait répéter par fragments. J’y parvins au moyen de signaux optiques et d’un réseau téléphonique. On voulu bien me dire que les effets obtenus étaient parfois saisissants. Ma mère, venue deux jours, écrivit à mon père Tristan : « Raymond est le Foch de Carcassonne ! »».
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Philippe Heriat et Francis Halma
Romuald Joube et Yvonne Sergyl
Yvonne Sergyl et Charles Dullin
Yvonne Sergyl Jeanne Fouquet, future Jeanne Hachette Charles Dullin Louis XI Romuald Joubé Robert Cottereau Gaston Modot Comte du Lau, sire de Châteauneuf Armand Bernard Bische Philippe Hériat Tristan L'Ermite Édith Jéhanne la Beauvaisienne violée Ernest Maupain Fouquet Fernand Mailly Philippe le Bon Francis Halma Olivier le Daim Robert Guilbert Duc de Bourbon Pierre Denols Coitier Emilien Richaud Commines Pierre Hot Dieu dans Le Jeu d'Adam Arlette Genny une servante de Jeanne Colette Darfeuil une servante de JeanneSuzanne Delprato Germaine Vallée Line Doré Hietta Stella Pierrette Houyez une petite Beauvaisienne Albert Préjean un soldat Pierre de Canolle Lucien Bataille Rémond Emile Engeldroff les loups du cirque Amar dressés par Jim Rhio
SCENARIO Raymond Bernard, Jean-José Frappa et André-Paul Antoine d‘après le roman de Henri Dupuy-Mazuel ; IMAGES Robert Batton, Marc Bujard, Franck Daniau-Johnston, Maurice Forster, Réné Gaveau et Julien Ringel ; DECORS Robert Mallet-Stevens et Jean Perrier ; COSTUMES Jacques Onfroy de Bréville ; MUSIQUE Henri Rabaud ; ASSISTANT REALISATEUR Jean Hémard ; PRODUCTION Société des Films Historiques ; Tournage aux studios de Joinville, au Col de Porte, Col du Galibier et à Carcassonne de novembre 1923 à mai 1924 ; Première à l’Opéra de Paris le 13 novembre 1924. Sortie publique le 28 novembre 1924 ; Durée 130 min.
Jeanne Fouquet, filleule du dauphin Louis, aime Robert Cottereau, porte-bannière de Charles le Téméraire. L’ambitieux duc de Bourgogne s’oppose ouvertement au pouvoir royal. Dès qu’il monte sur le trône, Louis XI, cherche a affirmer sa suzeraineté. Ses provocations envers le Téméraire et ses alliés aboutissent à la guerre. Jeanne et Robert se retrouvent dans des camps ennemis. Si Robert combat par devoir au côté des Bourguignons, il sait qu’une victoire de son seigneur signifierait la fin de ses espérances amoureuses, Le Téméraire ayant promis de donner Jeanne en mariage à un autre de ses vassaux, l’intrigant seigneur de Châteauneuf. Après avoir sauvé la vie du Roi au péril de sa propre vie, Jeanne prend la tête de la résistance de Beauvais attaquée par les Bourguignons. Elle contribue ainsi à sauvegarder la couronne et passe à la postérité sous le nom de Jeanne Hachette.
NOTE(S) :
Le film bénéficie d’un budget de millions de francs qui en fait alors la production la plus importante jamais réalisée en France. Le film triomphe aussi bien en France qu’à l’étranger. En 1930, LE MIRACLE DES LOUPS ressort en version sonorisée. Jeanne Hachette/Yvonne Sergyl peut haranguer la foule à son aise. Les son remplacés par une leçon d’histoire donnée par Jean Joffre au jeune Jimmy Gaillard…
Raymond Bernard écrit dans Échos de naguère : « Le morceau le plus important du film était le siège de Beauvais. Les remparts de la ville n‘existant plus, les historiens avaient admis qu’on pouvait les remplacer par ceux de Carcassonne. Cadre immense qui, pour être bien utilisé, nécessitait de très larges déploiements de troupes et des mouvements de la population sur la défensive… J’utilisais chaque jour de mille à quatre mille figurants. Parfois venaient s’y intégrer des unités de troupes en garnison dans la région. Je disposais de trois à quinze appareils de prises de vue. Le plus complexe était de bien synchroniser les mouvements que j’avais fait répéter par fragments. J’y parvins au moyen de signaux optiques et d’un réseau téléphonique. On voulu bien me dire que les effets obtenus étaient parfois saisissants. Ma mère, venue deux jours, écrivit à mon père Tristan : « Raymond est le Foch de Carcassonne ! »».
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