Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Armen Godel Jean Francois Garreaud
Francoise Dorner Edith Garnier
Francoise Dorner Jean Francois Garreaud
Francoise Dorner Jean Francois Garreaud
Jacques Olivier Holzer A droite
Jean Francois Garreaud Chantal Poullain
Jean Francois Garreaud Edith Garnier
Jean Francois Garreaud Philippe Lemaire
Laurence Calame Nicolas Runuit
Michele Amoudruz et Michele Favet
Roland Armontel Philippe Lemaire
Jean-François Garreaud (Paul de Villars) Edith Garnier ( Louise de Landrizon) Françoise Dorner (Antoinette Galland) Ingeborg Schöner (Lotte Muller) Philippe Lemaire (Armand de Villars) Camille Fournier (Mme Nadal) André Falcon (Victor Galland) Daniel Fillion (Ferdinand de Villars) Charles Apotheloz (Léopold de Villars) Roland Armontel ( Le docteur Nadal) Claude Valérie (Berthe Galland) Pierre Pasquini (Paul enfant) Nicolas Runuit (Paul adolescent) Arlette Moranges (Isolde) Capucine (Mlle du Colombier) Chantal Poullain (Isabelle) Claire Dominique (Mlle Chevalier) Claude Evelyne (Mme Mandrel) Claudette Cotagnoud (Mme Welsch) Claudine Ikenazene (La fatma) Eva Langraf (Mme Muller) Gaby Klier (Anna Holz) Germaine Epierre (Elise, la servante de Mme Nadal) Gisèle Sallin (Marion) Isabelle Bonvin (Une infirmière) Jane Friedrich (Une cliente de la banque) Jane Savigny (Mme Landrizon) Katia Dieci (Antoinette adolescente) Laurence Calame (Cécile) Leslie Derrey (La dame en deuil) Lily Ducloz-Polla (Maria, la cuisinière) Lise Lachenal (Alice Bardin) Lya Sygalowsky (Infirmière du docteur Vanarian) Marie-Hélène Pellicer (Antoinette enfant) Maulde Coutau (Une infirmière) Neige Dolsky (Ellen Smith) Simone Petremand (La serveuse du café d'Auvernier) André Fiaux (Le professeur de français) André Neury (Le maitre d'école) André Talmes (Le docteur David) Armen Godel (Serge Tanef) Daniel Stuffel ( Samuel, le valet) Daniel Wolf (Henri Galland) Denis Michel (Le préfet de Thonon) Edgar Banderet (Le surveillant) Eduardo Luraschi (Wood) François Barrat (Général Henri Wilson) François Germond (Georges Thélusson) Georges-Henri Pantillon (Le directeur de la chorale) Gérard Carrat (Maurice Bardin) Gilbert Costa (Le professeur Larive) Gilles Udry (Max Galland enfant) Jacques Filoreau (Le bonimenteur) Jacques-Olivier Holzer (Edmond enfant) Jean Schleigel (Le 1° mime) Jean-Charles Simon (Alfred Roche) Jean-François Girod (Landrizon) Jean-Pierre Althaus (Fanfoué, le crétin) Jean-Pierre Moutier (Le docteur Jordan) Jean-René Clair (Wilfried Douglas, un blessé) Julien Mallier (Charles Le Foll, le déserteur) Lucien Seni (Le crieur de journaux) Lukas Ammann (Professeur Krazenstein) Mathieu Chardet (Le docteur Laversin) Mathieu Ortlieb (Un planton) Maurice Aufair (Jules, le jardinier) Maurice Jeannotat ou X (Max Galland adulte) Patrick Lapp (Robert Perrin) Pierre Maulini (Le 2° mime) Pierre Ruegg (Le professeur Gilbert) René Marc (Le pasteur) Robert Schmid (Colonel) Roland Jay (Le professeur Mandrel) Roland Pierrard (Tristan) Sacha Solnia (L'aubergiste du Lion d'Or) Thierry Otlet (Welsch) Walter Schochli (Le père Thorens) Michèle Amoudruz (Jacqueline Verdier) Michèle Favey (Thérèse de Lavigny)
Résumé: La vie de Paul de Villars de son enfance à l'âge d'adulte.
A la fin du XIX° siècle, Paul de Villars, enfant de l'aristocratie suisse, perd sa mère très jeune. Son père Armand de Villars vit des rentes de son domaine et se plait à faire du bateau sur le lac et à jouer du piano, va s'occuper de ses enfants. Paul qui vivait heureux avec son frère Edmond et sa cousine Antoinette est envoyé en pension où il ne se plait pas. La seule discipline qui l'intéresse est l'apprentissage du piano où il excelle auprès du professeur Krazenstein.
Arrivé à l'âge adulte, il continue, sans grand intérêt, des études de droit alors que sa passion pour le piano l'emporte de plus en plus. Son grand-père puis son père meurent. Etant mal conseillés, ils se sont faits escroqués et Paul perd une grande partie de son patrimoine. Il est principalement entouré de trois femmes:
- Lotte Muller, médecin allemand, qui est présente lors de ses joies et de ses peines, le fera venir dans son pays. Elle l'aime secrètement mais lui ne s'en aperçoit pas. La montée des sentiments anti français vont bientôt dégoûter Paul qui quittera l'Allemagne.
- Louise de Landrizon dont il tombe amoureux rapidement. Si Louise l'aime aussi, elle va subir l'influence de sa famille et épouser Robert Perrin. Son indifférence pour son mari se transformera progressivement en dégoût et elle avortera plutôt que d'avoir un enfant de lui. Elle continuera à voir Paul et à être amoureuse de lui mais elle ne se donnera jamais à lui malgré l'insistance de celui-ci. Elle sombrera progressivement dans une folie schizophrène et après une ultime visite de Paul ira se noyer dans le lac.
- Antoinette Galland, sa cousine. Dès l'enfance, elle se montre indépendante et s'oppose de plus en plus à sa famille. Elle s'engage comme infirmière. Son père spéculant sur le mark allemand plutôt que sur le franc, il finira ruiné. Ses sentiments pour Paul vont croitre avec le temps, et elle finira par gagner son amour.
Le mot d'Alain B. :
Que voilà un feuilleton difficile à pénétrer: au départ, on le trouve long, très long. Le rythme suisse toujours lent est encore davantage ralenti. Et lorsqu'on finit par s'habituer, on commence à l'apprécier car tout est fait en regards et en subtilités.
Jean-François Garreaud donne toute sa finesse et sa retenue à son personnage torturé entre les femmes de sa vie que se soit ses amoureuses ou sa grand-mère.
Edith Garnier, qui joue, d'après IMDb, son dernier rôle passe de l'amoureuse torturée à la folle avec un égal bonheur.
Beaucoup de personnages dans ce feuilleton mais beaucoup n'auront pas leur fiche BDFF pour plusieurs raisons: des comédiens allemands comme la charmante Ingeborg Schöner qui a fait plusieurs coproductions ou "Le comte Yoster" (Lukas Ammann) dans un petit rôle. des comédiens suisses souvent pas indiqués par IMDB comme Maurice Aufair, Sacha Solnia, Gérard Carrat ou la jolie Lise Lachenal. Je les vois dans presque tous les feuilletons suisses et ils ne sont indiqués qu'une fois sur deux.