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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Brigitte Lahaie "Madame", la directrice Cathy Stewart Suzy Jane Baker Nathalie Céline Galone Claudia Élodie Delage Nanette Dominique Aveline Charles, le surveillant Alban Ceray Lambert, le professeur Hubert Géral le commissaire Lambris Marilyn Jess la nouvelle Gil Lagardère Eric Jack Gatteau le plombier Guy Bérardant Franck, le fiancé de Suzy Karine Gambier une fille au bar Toni Morena Landrieux, le client travesti
Document sans nom
Réalisation : Claude Mulot (sous le nom de Frédéric Lansac)
Scénario : Claude Mulot
Chef opérateur : François About
Caméra : Thierry Arbogast
Montage : Pitof
Musique :Thomas Verchet
Assistants réalisateur : Michel Barny et Dominique Aveline
Maquillage : Eric Pierre
Production : Francis Mischkind - FFCM
Tournage Juillet 1980
Sortie le 29 octobre 1980
Alors qu’elle vient tout juste d’accueillir dans sa maison une pensionnaire très prometteuse, « Madame » est contrainte à la fermeture après l’intervention de la brigade des mœurs. Une suggestion ironique du commissaire Lambris lui donne une brillante idée de reconversion. Elle va transformer son établissement en cours privé, où des jeunes femmes viendront se perfectionner dans les choses du sexe. Quatre élèves viennent constituer la première promotion de la « Pension Mimosas » : Suzy est plutôt douée, mais, selon son petit ami, pourrait beaucoup mieux faire. Claudia, elle aussi peut beaucoup mieux faire, puisqu’elle est encore vierge à vingt ans. Nanette professeur de gymnastique souhaite se reconvertir et Nathalie, aspirante actrice, vient développer son sens du contact... Instruites par l’exemple de Madame, les petites écolières progressent rapidement. Toutes sont reçues à l’examen final. Comme il se doit, un petit spectacle vient conclure l’année scolaire.
CRITIQUE(S)
« Jamais Lansac n‘est tombé si bas : direction d‘acteurs inexistante, caméra scandaleusement paresseuse, gags rares et d‘une pauvreté affligeante. Il réussit le tour de force d‘éteindre des actrices aussi éblouissantes que Céline, Cathy Stewart ou Jane Baker. Les cours de perfectionnement sexuel sont d‘un érotisme de plâtre. Seuls échappent à l‘oubli les trois saynètes hard de bordel où l’on retrouve une certaine verve. (…) LES PETITES ECOLIERES ont été la deuxième meilleure recette des films X pour 1980/81 derrière l’inébranlable Tranbaree. Et dans le même temps de tournage, Lansac réalisait son chef d’œuvre : LA FEMME OBJET. » - Bruno Minard, La Saison cinématographique 1981.
« Brillant. La caméra multiplie les angles bizarres, assène des lumières trop crues sur les intérieurs (…) Seule Brigitte Lahaie paraît vivante : les autres actrices sont prises dans un cocon lumineux qui évoque celui que tissent les mygales autour de leurs proies. A s’en tenir aux apparences, l’une des meilleures illustrations du thème classique de l’école de l’amour. En réalité, un film incontournable dans la filmographie de Lansac. » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2016.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Celine Galone et Cathy Stewart
Hubert Geral et Brigitte Lahaie
Brigitte Lahaie "Madame", la directrice Cathy Stewart Suzy Jane Baker Nathalie Céline Galone Claudia Élodie Delage Nanette Dominique Aveline Charles, le surveillant Alban Ceray Lambert, le professeur Hubert Géral le commissaire Lambris Marilyn Jess la nouvelle Gil Lagardère Eric Jack Gatteau le plombier Guy Bérardant Franck, le fiancé de Suzy Karine Gambier une fille au bar Toni Morena Landrieux, le client travesti
Réalisation : Claude Mulot (sous le nom de Frédéric Lansac)
Scénario : Claude Mulot
Chef opérateur : François About
Caméra : Thierry Arbogast
Montage : Pitof
Musique :Thomas Verchet
Assistants réalisateur : Michel Barny et Dominique Aveline
Maquillage : Eric Pierre
Production : Francis Mischkind - FFCM
Tournage Juillet 1980
Sortie le 29 octobre 1980
Alors qu’elle vient tout juste d’accueillir dans sa maison une pensionnaire très prometteuse, « Madame » est contrainte à la fermeture après l’intervention de la brigade des mœurs. Une suggestion ironique du commissaire Lambris lui donne une brillante idée de reconversion. Elle va transformer son établissement en cours privé, où des jeunes femmes viendront se perfectionner dans les choses du sexe. Quatre élèves viennent constituer la première promotion de la « Pension Mimosas » : Suzy est plutôt douée, mais, selon son petit ami, pourrait beaucoup mieux faire. Claudia, elle aussi peut beaucoup mieux faire, puisqu’elle est encore vierge à vingt ans. Nanette professeur de gymnastique souhaite se reconvertir et Nathalie, aspirante actrice, vient développer son sens du contact... Instruites par l’exemple de Madame, les petites écolières progressent rapidement. Toutes sont reçues à l’examen final. Comme il se doit, un petit spectacle vient conclure l’année scolaire.
CRITIQUE(S)
« Jamais Lansac n‘est tombé si bas : direction d‘acteurs inexistante, caméra scandaleusement paresseuse, gags rares et d‘une pauvreté affligeante. Il réussit le tour de force d‘éteindre des actrices aussi éblouissantes que Céline, Cathy Stewart ou Jane Baker. Les cours de perfectionnement sexuel sont d‘un érotisme de plâtre. Seuls échappent à l‘oubli les trois saynètes hard de bordel où l’on retrouve une certaine verve. (…) LES PETITES ECOLIERES ont été la deuxième meilleure recette des films X pour 1980/81 derrière l’inébranlable Tranbaree. Et dans le même temps de tournage, Lansac réalisait son chef d’œuvre : LA FEMME OBJET. » - Bruno Minard, La Saison cinématographique 1981.
« Brillant. La caméra multiplie les angles bizarres, assène des lumières trop crues sur les intérieurs (…) Seule Brigitte Lahaie paraît vivante : les autres actrices sont prises dans un cocon lumineux qui évoque celui que tissent les mygales autour de leurs proies. A s’en tenir aux apparences, l’une des meilleures illustrations du thème classique de l’école de l’amour. En réalité, un film incontournable dans la filmographie de Lansac. » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2016.
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