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Bernard Hug Emmanuelle Pareze Richard Allan
Brigitte Lahaie et Karine Gambier
Danielle Troger Karine Gambier Elisabeth Bure
Esclaves sexuelles sur catalogue
Esclaves sexuelles sur catalogue
Esclaves sexuelles sur catalogue
Esclaves sexuelles sur catalogue
Esclaves sexuelles sur catalogue
Bernard Hug Philippe Richard Allan Jean-Pierre Erika Cool Irma Emmanuelle Parèze l’acheteuse Danielle Troger Françoise Karine Gambier une fille achetée par J.P Brigitte Lahaie une fille achetée par J.P Doris Wessoly Odile, la secrétaire Colette Mareuil la directrice des ventes Véronique Maugarski une amie de l’acheteuse Liliane Allan une amie de l’acheteuse Amanda Maude Carolle Muriel, la nouvelle Jacques Marbeuf le PDG Anna Douking la seconde commissaire priseur Gilbert Servien le père aux enchères Charlie Schreiner Charlie Sophie Bulle une fille en vente Corinne Valois une fille en vente Élisabeth Buré une fille en vente Gabriel Coez un client aux enchères
Réalisation : Claude Bernard-Aubert (comme Burd Tranbaree)
Scénario et dialogue : Claude Bernard-Aubert
Image : Claude Bécognée (comme Claude Labbé)
Montage : Gabriel Rongier
Musique : Alain Gorager (comme Paul Vernon)
Assistant réalisateur : Alain-Michel Blanc
Directeur de production : Martial Berthot
Production : Claude Bernard-Aubert - Shangrila Productions
Distribution : Shangrila Productions (1977), Alpha France (1983)
Sortie : 10 août 1977 - Ressortie : 20 juillet 1983
Autres titres : Esclaves sexuelles sur catalogue / Les esclaves sexuelles
Jean-Pierre fait découvrir à son ami Philippe un hôtel des ventes bien particulier. Des femmes viennent de leur propre chef se vendre comme esclaves sexuelles au plus offrant. Pendant le temps qu’il plaira à leur nouveau maître, elles répondront à leur moindre désir docilement et sans mot dire. Philippe fait une première acquisition, puis une seconde. Sa petite amie Françoise est d’abord choquée puis décide de se « mettre en vente » . C’est que, à bien y réfléchir, la situation « d’esclave » a ses avantages. Nourrie, logée, libérée des responsabilités et des contraintes matérielles, celle-ci n’a plus qu’a s’adonner à une sexualité heureuse et débridée. Mais appartient-il seulement aux femmes de savoir profiter d'une aussi confortable situation ?
CRITIQUE(S) :
« Le scénario s’organise comme un film à sketches qui permet de varier les partenaires des deux amis libertins. Il va de soi que l’esclavage consenti est essentiellement d’ordre sexuel, prétexte à de nombreuses scènes de fellation et d’accouplement. L’ensemble est relativement bien filmé, avec quelques heureuses touches d’humour. » - Raymond Lefèvre, La saison cinématographique 78.
« Roublard ce Tranbaree ! Pendant un heure, il fait semblant de nous livrer un brûlot misogyne, un film à faire retourner les « chiennes de garde » dans leur niche. Le maître trône dans son fauteuil Emmanuelle, son harem à ses pieds. (…) Et puis soudain, d’une pirouette, ces messieurs prennent la place de ces dames et deviennent de dociles valets de pied en livrée jaune et noire. La recette de l’épanouissement est simple : « On a découvert la libération de l’homme, enfin. Le bonheur dans l’esclavage ! » conclut Jean-Pierre. (…) » - Patrick Meunier, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017