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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Georges Chamarat Louis Irène Boyer-Louba Monique Jacques Marin Verdier, le patron de Louis Henri Virlogeux Albert, le contremaître de Verdier Albert Médina le marchand aux Puces Jacques Seiler le curé au bureau de main d’oeuvre Renée Barell la mère de Monique Jeanne Fusier-Gir la marquise de Mappas France Asselin la 2de employée du bureau de main d’œuvre qui s’occupe de Louis Max Amyl le 1er inspecteur de police Philippe Chauveau le 3ème inspecteur de police Jacques de Langlade le 2ème inspecteur de police Georges Demas l’agent de police au feu rouge Hubert de Lapparent le commissaire de police Viviane Méry la patronne du magasin ‘’Tout pour l’enfant’’ Jackie Rollin (= Jackie Sardou) la boulangère Max Montavon l’employé du commissariat Jean-Jacques Steen l’employé du bureau de placement Le chien Bijou Arthur Christian Brocard Gaston Max Doria un homme sandwich Louis Jojot un homme sandwich René Hell un homme sandwich Jean Filliez l'aveugle Henri Coutet l’agent de police au carrefour Christian Chevreuse l’agent de police au commissariat Jean-Marie Bon l’employé au guichet des étrangers du bureau de main d’œuvre Marcel Loche l’employé au guichet fermé du bureau de main d’œuvre Edouard Francomme l’employé du bureau de main d’œuvre qui rejette Louis Nicole Desailly la 1ère employée du bureau de main d’œuvre qui s’occupe de Louis Pierre Gualdi un employé aux entrepôts ‘’Bières de Lutèce’’
Document sans nom
Une coproduction : Lisandry Films
Océans Films (René Bianco)
CO. GE. CO. (Compagnie Générale de Commerce et de Technique)
D.B. Films
Visa n°23.256
Scénario : Pierre Gautherin
Adaptation de Nils Tiffeneau et Pierre Gautherin
Dialogues de Nils Tiffeneau
Directeur de la photographie : André Germain
Architecte décorateur : Maurice Colasson
Assistant-décorateur : Jacques Paris
Ingénieur du son : Jacques Gallois
Musique : Edgar Bischoff
Orchestre sous la direction de Raymond Chevreux
Harmonica solo : Jean Wetzel
Editions musicales : Continental
Montage : Gabriel Rongier
Assistant-monteur : Bob Wade
Assistant réalisateur : Yannick Andrei
Caméraman : Guy Suzuki
Script-girl : Janine Seri
Directeur de production : Pierre Jouffre
Producteur délégué : Lise Andrieux
Régie générale : Louis Manella, Georges Herel
Assistant-monteur : Bob Wade
Laboratoires : S.I.M. Saint-Maur
Pellicule : Gevaert – France
Studios : Pathé-Cinéma
Extérieurs : Paris, Issy-les-Moulineaux
Caméras : Alga – Cinéma
Son : S.E.M.S.
Réenregistrement : Poste Parisien
Filmé en noir et blanc
Durée : 80 min. 10 sec.
Date de sortie en France : 11/04/1960 (?)
Note :
- Certaines sources indiquent une sortie de ce film le 21/02/1968. Il semble y avoir confusion avec le film de Robert Enrico intitulé
AU CŒUR DE LA VIE, sorti précisément à cette date là. Dans son volume 1955-1960 de l’Histoire du cinéma français , Raymond Chirat précise
même que ce film fut inexploité. Par conséquent, la date de sortie indiquée ici et que l’on retrouve dans plusieurs sources est donnée
sous toutes réserves. C’est donc inespéré de pouvoir visionner ce film grâce à l’éditeur belge Belfilm.
- Unique film de Georges Chamarat en vedette.
Résumé : Louis, la soixantaine passée, travaille en tant qu’homme sandwich, menant une existence bien terne, vivant en banlieue parisienne
avec son chien dans une masure près d’une voie ferrée. Un soir, alors qu’il est sur le quai de la Seine, il retient de justesse une
fillette qui voulait se jeter à l’eau et la ramène chez lui. Bien que l’enfant refuse d’abord de donner son prénom et d’expliquer son
geste, Louis commence à s’attacher à elle et reprend goût à la vie. Un jour, il décide de voler une poupée. Découvert, il est appréhendé
par la police mais vite libéré grâce à la bienveillance du commissaire, contraint simplement à payer l’objet qu’il a tenté de dérober et
qu’il se fait une joie d’offrir à la petite qui dit s’appeler Monique. Négligeant son travail, son patron, un brave homme compréhensif se
voit dans l’obligation de le mettre à la porte. Pendant ce temps, alertés par la mère de Monique, la police est sur les traces d’un homme
sandwich aperçu avec une fillette. Louis se présente à un bureau de main d’œuvre mais ne trouve pas d’emploi. En consultant les petites
annonces il parvient à trouver un poste de gardien dans un château. Pendant ce temps, la police a réussi à retrouver sa trace, pensant
qu’il est un kidnappeur et s’apprête à venir l’arrêter à son domicile. C’est alors que Monique avoue à Louis qu’elle a perdu le
porte-monnaie de sa mère en allant chercher le pain, de peur de se faire gronder elle n’a pas osé rentrer à la maison et a voulu se jeter
à l’eau. Louis comprend alors qu’il ne peut garder l’enfant plus longtemps et décide de la ramener chez elle. En voyant la mère et la
fille s’étreindre il est désespéré à l’idée de se retrouver seul, il renonce à l’offre d’emploi et retourne à sa vie triste et médiocre,
ignorant que la police l’attend chez lui.
Jean-Pierre Pecqueriaux, août 2017
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Georges Chamarat Jacques Seiler
Jacques Marin Georges Chamarat
Philippe Chauveau Jacques de Langlade
Georges Chamarat Louis Irène Boyer-Louba Monique Jacques Marin Verdier, le patron de Louis Henri Virlogeux Albert, le contremaître de Verdier Albert Médina le marchand aux Puces Jacques Seiler le curé au bureau de main d’oeuvre Renée Barell la mère de Monique Jeanne Fusier-Gir la marquise de Mappas France Asselin la 2de employée du bureau de main d’œuvre qui s’occupe de Louis Max Amyl le 1er inspecteur de police Philippe Chauveau le 3ème inspecteur de police Jacques de Langlade le 2ème inspecteur de police Georges Demas l’agent de police au feu rouge Hubert de Lapparent le commissaire de police Viviane Méry la patronne du magasin ‘’Tout pour l’enfant’’ Jackie Rollin (= Jackie Sardou) la boulangère Max Montavon l’employé du commissariat Jean-Jacques Steen l’employé du bureau de placement Le chien Bijou Arthur Christian Brocard Gaston Max Doria un homme sandwich Louis Jojot un homme sandwich René Hell un homme sandwich Jean Filliez l'aveugle Henri Coutet l’agent de police au carrefour Christian Chevreuse l’agent de police au commissariat Jean-Marie Bon l’employé au guichet des étrangers du bureau de main d’œuvre Marcel Loche l’employé au guichet fermé du bureau de main d’œuvre Edouard Francomme l’employé du bureau de main d’œuvre qui rejette Louis Nicole Desailly la 1ère employée du bureau de main d’œuvre qui s’occupe de Louis Pierre Gualdi un employé aux entrepôts ‘’Bières de Lutèce’’
Une coproduction : Lisandry Films
Océans Films (René Bianco)
CO. GE. CO. (Compagnie Générale de Commerce et de Technique)
D.B. Films
Visa n°23.256
Scénario : Pierre Gautherin
Adaptation de Nils Tiffeneau et Pierre Gautherin
Dialogues de Nils Tiffeneau
Directeur de la photographie : André Germain
Architecte décorateur : Maurice Colasson
Assistant-décorateur : Jacques Paris
Ingénieur du son : Jacques Gallois
Musique : Edgar Bischoff
Orchestre sous la direction de Raymond Chevreux
Harmonica solo : Jean Wetzel
Editions musicales : Continental
Montage : Gabriel Rongier
Assistant-monteur : Bob Wade
Assistant réalisateur : Yannick Andrei
Caméraman : Guy Suzuki
Script-girl : Janine Seri
Directeur de production : Pierre Jouffre
Producteur délégué : Lise Andrieux
Régie générale : Louis Manella, Georges Herel
Assistant-monteur : Bob Wade
Laboratoires : S.I.M. Saint-Maur
Pellicule : Gevaert – France
Studios : Pathé-Cinéma
Extérieurs : Paris, Issy-les-Moulineaux
Caméras : Alga – Cinéma
Son : S.E.M.S.
Réenregistrement : Poste Parisien
Filmé en noir et blanc
Durée : 80 min. 10 sec.
Date de sortie en France : 11/04/1960 (?)
Note :
- Certaines sources indiquent une sortie de ce film le 21/02/1968. Il semble y avoir confusion avec le film de Robert Enrico intitulé
AU CŒUR DE LA VIE, sorti précisément à cette date là. Dans son volume 1955-1960 de l’Histoire du cinéma français , Raymond Chirat précise
même que ce film fut inexploité. Par conséquent, la date de sortie indiquée ici et que l’on retrouve dans plusieurs sources est donnée
sous toutes réserves. C’est donc inespéré de pouvoir visionner ce film grâce à l’éditeur belge Belfilm.
- Unique film de Georges Chamarat en vedette.
Résumé : Louis, la soixantaine passée, travaille en tant qu’homme sandwich, menant une existence bien terne, vivant en banlieue parisienne
avec son chien dans une masure près d’une voie ferrée. Un soir, alors qu’il est sur le quai de la Seine, il retient de justesse une
fillette qui voulait se jeter à l’eau et la ramène chez lui. Bien que l’enfant refuse d’abord de donner son prénom et d’expliquer son
geste, Louis commence à s’attacher à elle et reprend goût à la vie. Un jour, il décide de voler une poupée. Découvert, il est appréhendé
par la police mais vite libéré grâce à la bienveillance du commissaire, contraint simplement à payer l’objet qu’il a tenté de dérober et
qu’il se fait une joie d’offrir à la petite qui dit s’appeler Monique. Négligeant son travail, son patron, un brave homme compréhensif se
voit dans l’obligation de le mettre à la porte. Pendant ce temps, alertés par la mère de Monique, la police est sur les traces d’un homme
sandwich aperçu avec une fillette. Louis se présente à un bureau de main d’œuvre mais ne trouve pas d’emploi. En consultant les petites
annonces il parvient à trouver un poste de gardien dans un château. Pendant ce temps, la police a réussi à retrouver sa trace, pensant
qu’il est un kidnappeur et s’apprête à venir l’arrêter à son domicile. C’est alors que Monique avoue à Louis qu’elle a perdu le
porte-monnaie de sa mère en allant chercher le pain, de peur de se faire gronder elle n’a pas osé rentrer à la maison et a voulu se jeter
à l’eau. Louis comprend alors qu’il ne peut garder l’enfant plus longtemps et décide de la ramener chez elle. En voyant la mère et la
fille s’étreindre il est désespéré à l’idée de se retrouver seul, il renonce à l’offre d’emploi et retourne à sa vie triste et médiocre,
ignorant que la police l’attend chez lui.
Jean-Pierre Pecqueriaux, août 2017
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