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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Ded Rysel Piédalu Félix Oudart Le ministre de la Rénovation Nationale Armand Bernard M. Finnois Catherine Alba Marcelle Arnold La boulangère Jacques Berlioz Le général Jean Borodine Olivier Raymond Cordy L'huissier-chef Max Dalban Étienne René Génin Le curé René Hell Le notaire Jean Kolb L'évêque Charles Lemontier Le préfet Julien Maffre Le brigadier Yannick Muller Nathalie Nattier Gloria Lamar Georges Paulais L'instituteur Germaine Reuver Mme. Piédalu Jane Sourza Mlle. Isabelle Micheline Valmonde Madeleine Baudoin Robert Le Fort Un employé au ministère Georges Questiau Andreas Max Dunand Ketty Pierson Emile Ronet Pierre Still Valbert Les duettistes Monique et Josette Les compagnons de la musique
Document sans nom
Piédalu est un râleur né, modeste paysan plein de bon sens, il montera à Paris présenter au ministre un « plan » de modernité visant à plus de simplicité dans les rapports Etat-Agriculteurs.
Le film commence par une scène très drôle, probablement un sketch de l’excellent Ded Rysel, le héros du film. Alors qu’il attend son tour dans un bureau de poste, il ne peut s’empêcher de critiquer tout ce qu’il croise, les commerçants notamment en prennent pour leur grade, mais aussi le notaire, le facteur, l’instituteur, et finalement la postière à qui il voulait acheter un timbre à 15 francs mais qui n’en a plus ce qui déclenche une énième et mémorable crise de ce cher Piédalu.
La seconde scène forte du film est celle où il attend son tour dans le ministère, là c’est le clergé, l’armée qui sont critiqués, souvent à juste titre, le clou étant le numéro qu’il fait à un préfet car ce coup de gueule me semble toujours d’actualité…
Le reste du film est « gentiment » moins bon, mais se laisse regarder avec plaisir.
Après le « scandale » à la poste, Piedalu rentre chez lui pour récupérer sa lettre car il l’avait oublié.
Il s’agit d’une lettre au ministre de la Rénovation Nationale. Il subit d’abord les moqueries de sa femme qui ne croit pas que sa lettre arrivera à la bonne personne, puis ensuite dans le bistrot largement fréquenté, on lui fait les mêmes remarques. Il demande alors conseil au facteur pour savoir comment être sûr qu’une lettre arrive à bon port. Comme il lui répond que le mieux c’est de remettre la missive en main propre, aussitôt il annonce son voyage à Paris. En sortant du bistrot, il est interpellé par un jeune homme dont la fiancée a préféré quitter le village pour devenir danseuse légère dans la capitale sous le nom de Gloria Lamar, Piédalu est chargé d’en savoir plus.
Au ministère il est reçu par un sous-fifre qui lit quand même le P.P. (Plan Piédalu) et qui, surprise, le trouve très intéressant. On n'en sait pas plus car Piédalu doit se diriger vers sa deuxième mission : Retrouver la danseuse.
Il se rend à l’Alhambra, et arrive facilement dans la loge de Gloria Lamar. Mais en fait elle n’a rien à voir avec Madeleine Baudoin, la villageoise, cependant une habilleuse connait cette dernière : c’est une des girls. Il la rencontre mais sans parvenir à la ramener au village. Une fois revenu à Marboué-Chambourcy, Piédalu raconte son escapade à Paris mais à sa façon, en mentant sur tout, en racontant notamment qu’il a été reçu comme un roi partout. Puis, quelques jours après, il recueille un automobiliste en panne, et (nous sommes vraiment dans un film) il s’avère qu’il s’agit du vrai ministre qu’il voulait rencontrer. Il lui expose ses idées, qui sont bien sûr favorablement accueillies. On retrouve le ministre à Paris, et surprise le Plan Piédalu a été présenté par le fameux sous-fifre du début comme étant son propre dossier. Evidemment on ne l’a fait pas au ministre qui connait maintenant personnellement Piédalu. Ce dernier fait son apparition pour confirmer la tentative de supercherie, mais curieusement il refusera les honneurs qu’on lui propose. Comme il est à Paris il va à nouveau rendre visite à Madeleine, qui lui avoue qu’elle ne veut pas rentrer au village à cause de l’opinion publique qui est contre elle. Mais notre Piédalu, de retour au village, et avec ses mensonges habituels aura vite fait de retourner l’opinion en faveur de la danseuse qui finalement sera accueillie en grandes pompes au village...
Alain S. BDFF Novembre 2017
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Ded Rysel et Micheline Valmonde
Ded Rysel Piédalu Félix Oudart Le ministre de la Rénovation Nationale Armand Bernard M. Finnois Catherine Alba Marcelle Arnold La boulangère Jacques Berlioz Le général Jean Borodine Olivier Raymond Cordy L'huissier-chef Max Dalban Étienne René Génin Le curé René Hell Le notaire Jean Kolb L'évêque Charles Lemontier Le préfet Julien Maffre Le brigadier Yannick Muller Nathalie Nattier Gloria Lamar Georges Paulais L'instituteur Germaine Reuver Mme. Piédalu Jane Sourza Mlle. Isabelle Micheline Valmonde Madeleine Baudoin Robert Le Fort Un employé au ministère Georges Questiau Andreas Max Dunand Ketty Pierson Emile Ronet Pierre Still Valbert Les duettistes Monique et Josette Les compagnons de la musique
Piédalu est un râleur né, modeste paysan plein de bon sens, il montera à Paris présenter au ministre un « plan » de modernité visant à plus de simplicité dans les rapports Etat-Agriculteurs.
Le film commence par une scène très drôle, probablement un sketch de l’excellent Ded Rysel, le héros du film. Alors qu’il attend son tour dans un bureau de poste, il ne peut s’empêcher de critiquer tout ce qu’il croise, les commerçants notamment en prennent pour leur grade, mais aussi le notaire, le facteur, l’instituteur, et finalement la postière à qui il voulait acheter un timbre à 15 francs mais qui n’en a plus ce qui déclenche une énième et mémorable crise de ce cher Piédalu.
La seconde scène forte du film est celle où il attend son tour dans le ministère, là c’est le clergé, l’armée qui sont critiqués, souvent à juste titre, le clou étant le numéro qu’il fait à un préfet car ce coup de gueule me semble toujours d’actualité…
Le reste du film est « gentiment » moins bon, mais se laisse regarder avec plaisir.
Après le « scandale » à la poste, Piedalu rentre chez lui pour récupérer sa lettre car il l’avait oublié.
Il s’agit d’une lettre au ministre de la Rénovation Nationale. Il subit d’abord les moqueries de sa femme qui ne croit pas que sa lettre arrivera à la bonne personne, puis ensuite dans le bistrot largement fréquenté, on lui fait les mêmes remarques. Il demande alors conseil au facteur pour savoir comment être sûr qu’une lettre arrive à bon port. Comme il lui répond que le mieux c’est de remettre la missive en main propre, aussitôt il annonce son voyage à Paris. En sortant du bistrot, il est interpellé par un jeune homme dont la fiancée a préféré quitter le village pour devenir danseuse légère dans la capitale sous le nom de Gloria Lamar, Piédalu est chargé d’en savoir plus.
Au ministère il est reçu par un sous-fifre qui lit quand même le P.P. (Plan Piédalu) et qui, surprise, le trouve très intéressant. On n'en sait pas plus car Piédalu doit se diriger vers sa deuxième mission : Retrouver la danseuse.
Il se rend à l’Alhambra, et arrive facilement dans la loge de Gloria Lamar. Mais en fait elle n’a rien à voir avec Madeleine Baudoin, la villageoise, cependant une habilleuse connait cette dernière : c’est une des girls. Il la rencontre mais sans parvenir à la ramener au village. Une fois revenu à Marboué-Chambourcy, Piédalu raconte son escapade à Paris mais à sa façon, en mentant sur tout, en racontant notamment qu’il a été reçu comme un roi partout. Puis, quelques jours après, il recueille un automobiliste en panne, et (nous sommes vraiment dans un film) il s’avère qu’il s’agit du vrai ministre qu’il voulait rencontrer. Il lui expose ses idées, qui sont bien sûr favorablement accueillies. On retrouve le ministre à Paris, et surprise le Plan Piédalu a été présenté par le fameux sous-fifre du début comme étant son propre dossier. Evidemment on ne l’a fait pas au ministre qui connait maintenant personnellement Piédalu. Ce dernier fait son apparition pour confirmer la tentative de supercherie, mais curieusement il refusera les honneurs qu’on lui propose. Comme il est à Paris il va à nouveau rendre visite à Madeleine, qui lui avoue qu’elle ne veut pas rentrer au village à cause de l’opinion publique qui est contre elle. Mais notre Piédalu, de retour au village, et avec ses mensonges habituels aura vite fait de retourner l’opinion en faveur de la danseuse qui finalement sera accueillie en grandes pompes au village...
Alain S. BDFF Novembre 2017
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