Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Yves Deniaud L'abbé Pellegrin Lysiane Rey Lisette Cousinet Robert Arnoux Ernest Cousinet Raymond Bussières La Goupille Jean Debucourt Monseigneur Sibué Georges Tabet Le docteur Profilex Nora Costes Marianne Jean Danet Le vicomte Pierre de Sableuse Bernard Farrel Plumoiseau, le conseiller Marcel André Sableuse Germaine Reuver Valérie Léonce Corne Dupont-Mauvais Luc Andrieux Brochut Marianne Hardy Eugénie Denise Kerny Mme. Michaut France Asselin Béatrice (dans le car) Marcel Rouzé Baudoin Christiane Minazzoli La danseuse à la cape Edouard Rousseau Bernard Musson La Bidouille Michel Nastorg Le régisseur du cabaretSophie Sel La marchande de journaux dans le car Georges PAULAIS Jules Grégoire GROMOFF Le chasseur du cabaret Jacques BEAUVAIS Le serveur René WORMS Christiane MINAZZOLI
Document sans nom
L'abbé Pellegrin est un brave homme plein de bon sens. Il a fait la guerre, puis est entré dans les ordres, il est parti 10 ans en Afrique, mais le mal du pays a été le plus fort et dés que la place du curé de son village natal s’est libéré, ni une ni deux, il est rentré chez lui. Là, il est chaleureusement accueilli par le maire du village, le docteur, et quelques autres personnes.
Arrivé à la cure, il voit roulé vers lui une statue de Saint-Thomas, c’est en fait un cadeau du « nouveau riche » de la paroisse, un dénommé Cousinet. Or, quand l’employé se découvre après le transport de la statue, quelle n’est pas la surprise de Pellegrin, en voyant son vieil ami de régiment : La goupille. Passé les retrouvailles, notre bon curé, qui doit refaire la toiture de son église, accepte l’invitation de Cousinet de se rendre au château du village. Lors de leur entrevue, il fait appel à Pierre, le bricoleur du coin, pour un petit problème. Or le beau Pierre quitte momentanément le groupe, et surprise, séduit la châtelaine : Lisette ! L’entretien en lui-même entre l’abbé et Cousinet se passe mal, car Cousinet brigue le poste de député, et demande à Pellegrin d’appeler ses fidèles à voter pour lui, moyennant cependant un cadeau à la paroisse. L’abbé ne mange pas de se pain là, et ne veut plus revoir le châtelain.
Cependant, peu de temps après, le curé est convoqué par son évêque pour mettre de l’eau dans son vin (de messe). Et il obéit à l’ordre qui lui est donné d’aider Cousinet. Entre temps, Lisette Cousinet s’est fait la malle avec Pierre à Paris. Pour une fois l’abbé est pris de compassion pour Cousinet qui lui avoue que sa femme n’est pas toujours fidèle mais qu’il ne peut se passer d’elle, et il sait qu’il y a des chances qu’elle revienne à lui si Pellegrin accepte d’aller la chercher… Notre abbé fait donc le voyage, et sur place, il fait marcher une sorte de club d’ « ouvreurs de portière » qui s’occupe de la descente des clients des taxis parisiens. Bien vite il retrouve Lisette, qui entre temps avait repris son métier de danseuse de cabaret. Il va même carrément sur la scène où il se produit, et les spectateurs croient à un numéro comique quand ils voient un curé remettre sur le droit chemin une danseuse. Cependant la mission de l’abbé est réussie, car la jeune femme comme il était prévu, en avait déjà assez de son amant. Evidement tout se finit bien, sauf pour Cousinet, qui est finalement battu lors de l’élection, faut dire que Pellegrin avait toujours gardé un chien de sa chienne à ce parvenu qui devra même quitter la région. Mais il se vengera dans la suite du film « Mon curé chez les pauvres » (enfin pas tout à fait non plus…).
Alain S.
Août 2018
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Yves Deniaud
Georges Tabet
Jean Danet
.jpg "Lysiane Rey")
Lysiane Rey
.jpg "Lysiane Rey")
Lysiane Rey
.jpg "Lysiane Rey")
Lysiane Rey
Lysiane Rey et Robert Arnoux
Marcel Andre
Mon cure chez les riches
.jpg "Nora Costes")
Nora Costes
.jpg "Nora Costes")
Nora Costes
Raymond Bussieres
Robert Arnoux
.jpg "Yves Deniaud")
Yves Deniaud
.jpg "Yves Deniaud")
Yves Deniaud
Bernard Farrel
Gregoire Gromoff Rene Worms Christiane Minazolli
Yves Deniaud L'abbé Pellegrin Lysiane Rey Lisette Cousinet Robert Arnoux Ernest Cousinet Raymond Bussières La Goupille Jean Debucourt Monseigneur Sibué Georges Tabet Le docteur Profilex Nora Costes Marianne Jean Danet Le vicomte Pierre de Sableuse Bernard Farrel Plumoiseau, le conseiller Marcel André Sableuse Germaine Reuver Valérie Léonce Corne Dupont-Mauvais Luc Andrieux Brochut Marianne Hardy Eugénie Denise Kerny Mme. Michaut France Asselin Béatrice (dans le car) Marcel Rouzé Baudoin Christiane Minazzoli La danseuse à la cape Edouard Rousseau Bernard Musson La Bidouille Michel Nastorg Le régisseur du cabaretSophie Sel La marchande de journaux dans le car Georges PAULAIS Jules Grégoire GROMOFF Le chasseur du cabaret Jacques BEAUVAIS Le serveur René WORMS Christiane MINAZZOLI
L'abbé Pellegrin est un brave homme plein de bon sens. Il a fait la guerre, puis est entré dans les ordres, il est parti 10 ans en Afrique, mais le mal du pays a été le plus fort et dés que la place du curé de son village natal s’est libéré, ni une ni deux, il est rentré chez lui. Là, il est chaleureusement accueilli par le maire du village, le docteur, et quelques autres personnes.
Arrivé à la cure, il voit roulé vers lui une statue de Saint-Thomas, c’est en fait un cadeau du « nouveau riche » de la paroisse, un dénommé Cousinet. Or, quand l’employé se découvre après le transport de la statue, quelle n’est pas la surprise de Pellegrin, en voyant son vieil ami de régiment : La goupille. Passé les retrouvailles, notre bon curé, qui doit refaire la toiture de son église, accepte l’invitation de Cousinet de se rendre au château du village. Lors de leur entrevue, il fait appel à Pierre, le bricoleur du coin, pour un petit problème. Or le beau Pierre quitte momentanément le groupe, et surprise, séduit la châtelaine : Lisette ! L’entretien en lui-même entre l’abbé et Cousinet se passe mal, car Cousinet brigue le poste de député, et demande à Pellegrin d’appeler ses fidèles à voter pour lui, moyennant cependant un cadeau à la paroisse. L’abbé ne mange pas de se pain là, et ne veut plus revoir le châtelain.
Cependant, peu de temps après, le curé est convoqué par son évêque pour mettre de l’eau dans son vin (de messe). Et il obéit à l’ordre qui lui est donné d’aider Cousinet. Entre temps, Lisette Cousinet s’est fait la malle avec Pierre à Paris. Pour une fois l’abbé est pris de compassion pour Cousinet qui lui avoue que sa femme n’est pas toujours fidèle mais qu’il ne peut se passer d’elle, et il sait qu’il y a des chances qu’elle revienne à lui si Pellegrin accepte d’aller la chercher… Notre abbé fait donc le voyage, et sur place, il fait marcher une sorte de club d’ « ouvreurs de portière » qui s’occupe de la descente des clients des taxis parisiens. Bien vite il retrouve Lisette, qui entre temps avait repris son métier de danseuse de cabaret. Il va même carrément sur la scène où il se produit, et les spectateurs croient à un numéro comique quand ils voient un curé remettre sur le droit chemin une danseuse. Cependant la mission de l’abbé est réussie, car la jeune femme comme il était prévu, en avait déjà assez de son amant. Evidement tout se finit bien, sauf pour Cousinet, qui est finalement battu lors de l’élection, faut dire que Pellegrin avait toujours gardé un chien de sa chienne à ce parvenu qui devra même quitter la région. Mais il se vengera dans la suite du film « Mon curé chez les pauvres » (enfin pas tout à fait non plus…).
Alain S.
Août 2018
Vous pouvez déposer un commentaire :
