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Andre Le Gall et Louis Seigner
Jacques Dufilho et Andre Le Gall
L equipe technique a flanc de montagne
Maurice Baquet se donne a fond
Roger Pigaut en tournage avant son accident
Un tout jeune Jean Marc Thibault
Irène Corday Aline Lourtier André le Gall Pierre Servettaz Yves Furet Georges Vital (= Geymond Vital) Maxime Lucien Blondeau Jean Servettaz Mona Doll Marie Servettaz Andrée Clément Suzanne Servettaz Tosca De Lac l’acrobate au cirque Roger Blin Paul Mouny, un guide Eugène Chevallier le secrétaire du bureau des guides Guy Decomble le client de Jean Servettaz qui veut établir un record Jacques Dufilho Fernand Lourtier, le frère d’Aline Duvaleix (= Albert Duvaleix) l’oncle Paul Fernand René Napoléon Jérôme Goulven Alfred Louis Seigner le docteur Maurice Baquet Boule Marcel Delaitre Ravanat Jean Davy Hubert Hidois Claude Péran le 2d alpiniste qui veut grimper au Mont-Blanc (non crédité) Claude Martin Luc, un guide (non crédité) Richard Francoeur M. Faroule, un habitué chez Jean Servettaz (non crédité) Alain Nobis le réceptionniste de l’hôtel Alacazar (non crédité) Frédéric Moriss un majordome de l’hôtel Alcazar (non crédité) François Viguier un villageois (non crédité) Pierre Collet un guide (non crédité) Jean-Marc Thibault le jeune pensionnaire des Servettaz qui veut déjeuner plus tôt (non crédité)
Distributeur : Pathé-Consortium-Cinéma
Visa d’exploitation n°288 du 15/02/1946
Sous le haut patronage du Commissariat général à l’éducation générale et aux sports
d’après le roman de Roger Frison-Roche
Scénario de Paul Leclercq et Jacqueline Jacoupy
Découpage technique de Louis Daquin
Adaptation et dialogues d’Alexandre Arnoux
Images de Philippe Agostini
Opérateurs : André Bac, Maurice Pecqueux, Georges Tairraz
Décors de Lucien Aguettand
Assistant décorateur : Raymond Nègre
Montage : Suzanne de Troeye
Assistant réalisateur : Guy Decomble
Régie : Georges Testard
Photographie : Serge Allard
Musique : Henry Sauguet
Orchestre sous la direction de Roger Desormières
Système sonore R.C.A.
Ingénieur du son : Pierre Calvet
Tirage des laboratoires Pathé-Cinéma
Directeur de production : Louis Wipf
Production : Société d’exploitation des établissements Pathé-Cinéma
Directeur de la production : Raymond Borderie
Producteur associé : L’Ecran Français
Studios : Studios de Boulogne
Extérieurs : Chamonix et les environs
Filmé en noir et blanc
Durée : 99 min.
Date de sortie à Paris : 23/02/1944
Titre en Allemagne : Ruf der Berge
Date de sortie : 12/1945
Titre en Autriche : Ruf der Berge
Date de sortie : 31/05/1946
Titre au Brésil : Alma de Alpinista
Titre en Tchécoslovaquie : Závrat
Titre en Suède : Storm över fjället
Titre en Yougoslavie : Prvi iz Kordeje
Notes :
- Les comédiens et l’équipe technique se sont physiquement investis. Pour aller tourner en haute montagne, il a fallu porter tout le matériel à dos d’homme et s’installer à des emplacements dangereux, prenant de grands risques.
- Comédiens envisagés pour le rôle de Pierre Servettaz : Yves Furet (qui fut finalement retenu pour le rôle de Georges), Jacques Dacqmine, Claude Martin (qui hérita d’un second rôle de guide), mais ce fut Roger Pigaut qui fut choisit ; accidenté après quelques jours de tournage il fut remplacé au pied levé par André Le Gall.
- Comédiennes envisagées pour le rôle d’Aline : Hélène Vercors, Claude Nollier, Jacqueline Hervé, Liliane Bert.
- 1ère rôle de Jean-Marc Thibault qui avait alors tout juste 20 ans.
Résumé : Chamonix. Jean Servettaz, le guide le plus réputé de la région, sentant l’âge venir, décide d’arrêter cette activité et ouvre une pension de famille. Il tente de dissuader son fils Pierre de suivre ses traces mais celui-ci a également hérité de l’attirance pour la montagne et du goût pour les escalades. Au cours d’une sortie il est assez gravement accidenté puis hospitalisé. En convalescence, il se rend compte qu’il a désormais le vertige. Dépité il décide de partir pour la ville et travailler dans un hôtel, sans prévenir sa fiancée, la douce Aline. Mais l’appel du grand air est le plus fort et il revient au pays. Tentant une escalade avec Aline il se rend compte que son vertige n’a pas disparu, ce qui le désespère. De son côté, son père n’a pas complètement raccroché et part en haute montagne en compagnie de Paul, un autre guide, pour satisfaire un client exigeant qui veut absolument aller jusqu’au sommet malgré les conditions climatiques défavorables. Au cours d’un orage Jean Servettaz est foudroyé, Paul et le client arrivent à redescendre. Une cordée composée des meilleurs guides du coin décide d’aller rechercher le corps de Jean. Pierre se joint à eux et malgré son handicap il brave tous les dangers et retrouve la dépouille de son père. Revenu au village, il sait qu’il est guéri, qu’il peut désormais devenir guide et épouser Aline.
Jean-Pierre Pecqueriaux, Novembre 2018.