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Serenade au Texas
Andre Philip et Albert Michel
Bourvil et Luis Mariano
Bourvil
Germaine Damar et Sonja Ziemann
Germaine Damar Luis Mariano et Bourvil
Gil Delamare et Germaine Damar
Henri Arius
Inconnu
Jean Paqui et Sonja Ziemann
Jean Sylvain et Luis Mariano
Les Blue Bell Girls
Luis Mariano
Luis Mariano et Bourvil
Micheline Gary
Miguel Gamy debou au centret
Paul Mercey Gil Delamare et Arlette Poirier
Robert Rocca
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Sonja Ziemann et Luis Mariano
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Sonja Ziemann et Luis Mariano
Yves Deniaud
Luis Mariano Jacques Gardel, l'héritier des terrains pétroliers au Texas Bourvil Maître Jérôme Quillenoeuf, le notaire fantaisiste de Jacques Gardel Yves Deniaud Roderick, le propriétaire du théâtre ambulant au Texas Sonja Ziemann Sylvia, la fille rousse de Roderick attirée par Jacques Germaine Damar Rose, la fille blonde de Roderick amoureuse de Harry Gil Delamare Harry, un cow-boy, amoureux de Rose Jean Paqui Dawson, le chef des voleurs René Blancard Le Shériff de Big Bend Paul Mercier Bill, le propriétaire du saloon Arlette Poirier Dolorès, la tenancière du saloon Henri Arius L'épicier de Big Bend Miguel Gamy Clark, un fermier menacé Jean-François Martial Le fermier qui bégaie Robert Rocca Le fonctionnaire qui détaille l'héritage Albert Michel Le responsable du magasin en France Micheline Gary Denise, l'employée du magasin en France André Philip Le commissaire client du magasin en France Jean Sylvain Le serveur du restaurant en France Nicole Jonesco Rita Jacqueline Georges Dorothy Liliane Bell et les Blue Bell Girls du Lido Les danseuses de Big Bend
« Sérénade au Texas » est tout simplement une opérette filmée, signée Richard Pottier sur une musique, on s’en doutera, de Francis Lopez.
Son seul mérite aura été de nous permettre d’apprécier le générique , et de fêter ainsi de joyeuses retrouvailles avec Bourvil, Luis Mariano et toute une liste de talentueux seconds rôles très connus en cette fin des années 50.
L’intrigue est très légère, les décors sont loin d’être convaincants. Richard Pottier nous avait habitués à mieux avec « Violettes impériales ». A voir si l’on est inconditionnel du genre ; mais en ces temps bien sombres, on a la nostalgie de ces années où on aimait les spectacles du Châtelet ou de Mogador !
Donatienne Roby, Mars 2022
