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Dorette Ardenne et Maximilienne
Jean Michel Rankovitch au centre
Jeanne Fusier Gir et Georges Coulonges
Jeanne Fusier Gir et Mona Monick
Jeanne Fusier Gr et Pierre Larquey
Pierre Larquey et Georges Rollin
Jeanne Fusier-Gir la baronne de Courtebise Pierre Larquey Anatole, le maire Georges Rollin Jacques Mona Monick Maria Annick Baugé Dominique de Courtebise Alain Baugé André Simone Max Madame Bonnichon Pierre Brebans René Jolisein Sidoux Joseph Maximilienne Madame Moucaille Jean-Michel Rankovitch Jean Dorette Ardenne Catherine Colette Régis Madame Guerchepinte Raymond Cordy le garde champêtre Marcel Roche Marcel Gloria Velasquez la chanteuse Georges Coulonges le baron de Courtebise Jacqueline Selva Madeleine Darnys Gilberte Sterlin Marthe Richard Paulette Rousseau Nadia Landry Paul Rousseau Jean-Louis Bacqué Roland Pujolle Jean Mille
Réalisation : Émile Couzinet
Scénario et dialogues : Émile Couzinet
Caméra : Arthur Raimondo
Son : Pierre-Henri Goumy
Décors : René Renneteau
Musique : Vincent Scotto, Paulette Zévaco
Maquillage : Nicole Duvergé
Script : Jacotte Ribot
Assistant réalisateur : André Sarthou
Directeur de production : Jean Cavaillès
Production : Émile Couzinet - Burgus Films (Bordeaux)
Distribution : Héraut-Film (Paris)
Tournage : du 8 juin 1954 au 3 août 1954 aux Studios de La Côte d'Argent (Bordeaux)
Format : Noir et blanc - Son mono - 1,37:1 - 35 mm
Durée : 90 minutes
Dates de sortie France : 15 décembre 1954
Edition DVD : René Chateau - 2009
Dans une petite bourgade de province, des belles-mères se groupent en association pour prendre le pouvoir sur les hommes en général et sur leurs gendres en particulier. Derrière des slogans comme "Eve avant tout!" ou "Belles-mères du monde entier, unissez-vous !" elles se lancent à la conquète de la mairie. A leur tête, la redoutable Madame Bonnichon qui a déjà expédié mari et gendre à la cuisine, et la baronne de Courtebise, une ancienne domestique qui a su "se faire épouser"...
CRITIQUE(S) :
« Pour mesurer la vertu du cinéma Couzinien, voir une salle entière trépigner de joie tout au long du CONGRES DES BELLES MERES assurément le chef-d'oeuvre de Couzinet car il s'agit de son film le plus trépidant, le plus hystéro, le plus allègrement vulgaire et le plus puissamment craignos. Les dialogues y sont d'une obscénité renversante, les gags d'une dinguerie épileptique. » - Jean-Pierre Bouyxou, éd. René Chateau
S.B. Février 2021