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Emile Genevois et Raymond Bussieres
Jean Buquet Jean Marie Boyer et une gosse
Liane Dayde et ses tout debuts de danseuse
Liane Dayde future danseuse etoile de l opera
Louis Seigner et les instituteurs
Pierre Larquey et Louise Carletti
Louis Seigner Le directeur de l'école Gilbert Gil L'instituteur M. Morin André Zibral L'instituteur grincheux Louise Carletti Mariette Roset, la fleuriste amoureuse de l'instituteur Jean-Pierre Geoffroy Pierre Roset, jeune frère de Mariette et trésorier de la bande Pierre Larquey Le père Finot Anthony Gildès Le père Castor qui rachète les jouets Raymond Bussières Gaston, le voleur de la cagnotte Emile Genevois Gros Charles, le complice de Gaston André Brunot Le commissaire Paul Frankeur L'assistant du commissaire Jean Clarieux Un agent Franck Maurice Un agent Martial Rèbe Le père de Fernand Madeleine Geoffroy La mère de Fernand Henri Legoullon Fernand, un gamin Léonce Corne M. Briochet, l'ami de la famille de Fernand Lucien Coëdel Le père de Jeannot Jeanne Pérez La mère de Jeannot André Lancel Jeannot, un gamin Marcel Pérès Victor Lemoine, père de Nicolas Lucy Kieffer La mère de Nicolas Michel Dancourt Nicolas Lemoine, le gamin qui a brisé la verrière François Viguier Le mendiant André Barvel Le camelot bègue Jean Buquet Tom Mix, le chef de la bande des gamins Jean-Marie Boyer Lucien le gamin endormi devant la dame au camélia Robert Arpin Gégène, le neveu du père Finot Jean Samson Robert, un gamin Bernard Daydé Doudou, un gamin Montgomery Gilbert, un gamin Serge Bedez Un gamin Marcelle Suire Georgette, une gamine Geneviève Cadix Mélie, une gamine Liliane Barnassin Une gamine Liane Daydé La gamine qui danse maladroitement Renée Thorel La dame charitable
« Nous les gosses » est une touchante histoire de bandes de jeunes enfants, filles et garçons qui s'affrontent dans les rues avec des pistolets-jouets ; on y fait la connaissance des chefs de bande qui se font respecter, et on mesure les affrontements parfois musclés entre les « soldats » presque ennemis ! La cloche de l'école interrompt immédiatement tout et l'instituteur sait maintenir les limites. C'est un peu une « guerre des boutons » avant l'heure ! Tourné pendant la guerre et sorti en 1946, cet opus au riche générique, est très attachant et nous fait réaliser qu'une certaine violence a toujours existé même entre gamins en culottes courtes. Le changement par rapport a aujourd'hui c'est le « code d'honneur » qui dominait dans leurs échanges parfois rudes ! Les parents, les maîtres, le Directeur de l'école, le Commissaire, tous étaient respectés.
L'intrigue : Des gamins se font la guerre, sur le thème d'attaque de diligence ; tout est bon pour s'affronter, y compris un ballon que le jeune Nicolas (Michel Dancourt) lance et qui vient briser la verrière de l'entrée de l'école. Le directeur (Louis Seigner) est impitoyable ! Qui casse paie... M. Morin l'instituteur (Gilbert Gil) soumet un problème à ses élèves qui leur permet de calculer le prix de la verrière : 18000 francs ! Une somme énorme pour l'époque... Nicolas n'ose annoncer à son père (Marcel Pérez) qu'il est l'auteur du fait. Ce serait la Maison de correction ! Son chef de bande rappelle le code d'honneur : le Code de l'entr'aide pour un copain dans le besoin ! La verrière, c'est eux tous qui l'ont cassée … Et voilà les deux bandes rivales, réunies pour l'occasion, s'évertuant à réunir la somme afin d'éviter la pension à Nicolas. L'instituteur regarde avec indulgence ses élèves et devient discrètement leur complice. Un escroc mal intentionné (Raymond Bussières) vole la cagnotte mais est vite repéré... Tout rentre dans l'ordre et les enfants peuvent reprendre leurs jeux...
Donatienne Roby, Mars 2021.