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Edwige Feuillere et Felix Claude
Felix Oudart et Edwige Feuillere
Jean Murat et Edwige Feuillere
Jean Murat et Edwige Feuillere
Jean Murat et Edwige Feuillere
Jean Tissier et Edwige Feuillere
Edwige Feuillère Véra Vronsky Jean-Max Désormeaux Jean Tissier Paulo Jean Murat Pierre Glorin Marguerite Moreno Tante Émilie Félix Oudart Rutherford Guillaume de Sax le marquis Koréani André Numès Fils le cousin Édouard Mona Goya la remplaçante Christian Argentin Van Kongen Max Dejean un inspecteur Paul Marcel le vieil habitué Félix Claude le groom Fernand Blot le barman Louis Vonelly Sur John Milly Mathis le paysanne Michel François le petit garçon Gaby André la vendeuse Génia Vaury la fille au petit chien
Réalisation: Raymond Bernard
Scénario original : Jacques Companeez
Adaptation : Hans Jacoby, Herbert Juttke
Dialogues : Michel Duran
Chef-opérateur: Michel Kelber
Caméra : Philippe Agostini
Décors : Jean Perrier, Léon Barsacq
Musique: Paul Misraki
Montage: Charlotte Guilbert
Son : William Robert Sivel
Décors: Léon Barsacq, Jean Perrier
Assistants réalisateur : Lucien Grunberg, Nicolas Bernard
Régie : Anne Hobé
Script : Madeleine Longue
Photographe plateau : Roger Forster
Directeur de production : Oscar Dancigers
Production : Grégor Rabinovitch - Ciné-Alliance
Sortie le 21 décembre 1938
La séduisante Véra Vronsky forme avec le pickpocket Paulo et le « cerveau » Désormeaux un trio d'escrocs agissant dans les hôtels de luxe. Le mode opératoire est bien rodé. Mais un jour, la belle machine déraille. L’opération échoue, et -plus grave- Véra tombe sous le charme de celui qui devait être sa « victime ». Elle décide alors de mettre fin à sa vie d’aventurière pour vivre son histoire d’amour avec Pierre. Tout va pour le mieux jusqu’au jours où ses anciens complices la retrouvent. Le chantage commence. Elle devra participer à un dernier coup avec eux, sans quoi Pierre apprendra tout de son passé...
CRITIQUE(S) :
« (…) production particulièrement élégante de Grégor Rabinovitch (…) Ce marivaudage léger, amusant, se laisse voir volontiers grâce au parfum kitsch qu‘il dégage et pour le duo crapuleux - mais cocasse - que forment Jean-Max et Jean Tissier. Madame Feuillère est éblouissante. » - Christian Gilles, Les écrans nostalgiques du cinéma français, Tome 1, l’Harmattan, 2002
Compléments par Stéphane Bruyère, pour BDFF, 2017