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Jacques Charon LA VALSE DE PARIS avec Yvonne Printemps
Andre Roussin et Alexandre Astruc
Jacques Charon et Pierre Fresnay
Jacques Dynam et Pierre Fresnay
Michel Salina Pierre Dux et Robert Lombard
Noelle Norman et Robert Manuel
Pierre Fresnay Andre Wasley et Pierre Dux
Raymonde Allain Jacques Castelot et Lucien Nat
Yvonne Printemps et Claude Sainval
Pierre Fresnay Jacques Offenbach Yvonne Printemps Hortense Schneider Denise Provence Brigitte, soubrette d'Hortense Robert Manuel José Dupuis, artiste Noëlle Norman Marie, chanteuse avec Hortense Jacques Charon Berthelier, amoureux d'Hortense et artiste Lucien Nat Napoléon III Raymonde Allain L'Impératrice Eugénie Jacques Castelot Le duc de Morny Léa Gray La duchesse de Morny Paul Villé Le majordome des Morny Claude Sainval Le prince, soupirant d'Hortense Pierre Dux Le Général Danicheff André Wasley L'ordonnance du général André Roussin Henri Meilhac Alexandre Astruc Ludovic Halévy Jean Hebey Le convive au dîner Jacques Dynam Le calife de Ramsoun Michel Salina Le Tsar Robert Lompard L'officier aux côtés du tsar Max Dalban Un déménageur Marcel Rouzé Le souffleur Géo Forster Un invité Lisette Lebon Une dame d'honneur Pierre Juvenet L'arbitre du duel Gabriel Gobin Le régisseur Jean Sylvère Le patron de l'hôtel qui craint la casse Georges Pally Jacques Berlioz Joé Davray
"La Valse de Paris", c’est un film ancien en noir et blanc, mais pétillant comme du Champagne et comme les airs les plus connus de Jacques Offenbach. Paru en 1950, avec comme têtes d’affiche le couple à la ville comme sur l’écran, Pierre Fresnay et Yvonne Printemps, il obtint un vif succès et les spectateurs de l’époque ressortaient des salles obscures en fredonnant.
La valse de Paris dont il est question dans cette œuvre musicale, c’est celle de "la Belle Hélène" : « Ce n’est qu’un rêve » ; mais on retrouve aussi les fameux « Je suis veuve d’un colonel », « Feu partout », « La Périchole », « Dites lui » « Ah que j’aime les militaires », ou encore « Que les hommes sont bêtes ». Elle narre de façon romancée les amours du talentueux compositeur Jacques Offenbach et de sa célèbre interprète Hortense Schneider. Même si l’intrigue est conçue par l'imagination de Marcel Achard, l’auteur de la fiction, il reste vrai que la fameuse cantatrice aura inspiré le musicien et l’on se demandera longtemps quel plaisir trouve Vénus "à faire cascader la vertu !"
Trois sociétaires de la Comédie Française y apportent leur concours de façon truculente : Pierre Dux, Robert Manuel et Jacques Charon, auxquels viennent s’ajouter des valeurs sûres telles Lucien Nat, Jacques Castelot, Denise Provence et bien d’autres.
Un opus à revoir pour la joyeuse musique, pour le riche générique et pour la bonne humeur qu’il engendre.
Donatienne Roby, Juillet 2024