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Catherine Allegret Jacques Perrin
Christian Marin Bernadette Lafont
Jacques Perrin Catherine Allegret
Jean Francois Gobbi sur la moto
Jean Louis Trintignant Simone Dignoret
Lionel Vitrant en bas a droite
Lucien Desagneaux tres amoureux
Maria Rosa Rodriguez Jean Pierre Cassel avec Signoret et X
Maurice Chevit face a Pierre Mondy
Serge Marquand Pascale Roberts
Simone Signoret Jean Louis Trintignant
Yves Montand Jean Francois Gobbi
Catherine Allégret Benjamine Bombat dite ‘Bambi’ Jacques Perrin Daniel Roy Simone Signoret Eliane Darrès Michel Piccoli René Cabourg Pascale Roberts Yves Montand l’inspecteur Grazziani dit ‘Grazzi' Pierre Mondy le commissaire Tarquin Claude Mann l’inspecteur stagiaire Jean-Lou Gabert Charles Denner Bob Vatsky, l’amant de Georgette Thomas Jean-Louis Trintignant Eric Grandin Nadine Alari Mme Grazziani Monique Chaumette Mme Rivolani Maurice Chevit la voix de l’inspecteur Félix et l’inspecteur Moutard Jacques Dynam l’inspecteur Malec Bernadette Lafont la sœur de Georgette Thomas Tanya Lopert Mme Garaudy Christian Marin le beau-frère de Georgette Thomas Jenny Orléans la sœur de René Cabourg Paul Pavel Marcel Rivolani Philippe Rouleau l’inspecteur Antoine Serge Rousseau le contrôleur du train André Valmy un inspecteur de police Claude Berri un porteur à la gare de Lyon Charles Millot le médecin légiste dans le train Dominique Bernard l’employé de la gare de Lyon Jean Droze un homme interrogé à la P.J. André Weber l’ivrogne à la P.J. Christian Rémy un inspecteur de police José Artur le journaliste à la P.J. Louis Jojot le mendiant quai des Célestins Lucien Desagneaux un amoureux au restaurant Francis Terzian un inspecteur de police Petar Martinovitch l'exhibitionnsite de la gare de Lyon Serge Marquand le 2d amant imaginaire de Georgette Thomas Bernard Paul le conducteur qui chante en décapotable Maria Rosa Rodriguez (en photo) une actrice avec Eliane Darrès Jean-Pierre Cassel (en photo) un acteur avec Eliane Darrès Daniel Gélin un professeur de l’école vétérinaire Françoise Arnoul une élève de l’école vétérinaire Pierre Réal un inspecteur de police sur la scène du meurtre de Rivolani Roland Malet un agent de police sur la scène du meurtre de Rivolani Marcel Bozzuffi le 1er agent de police en bas de l’immeuble d’Eliane Darrès Georges Géret le 2d agent de police en bas de l’immeuble d’Eliane Darrès Nicole Desailly la concierge de l’immeuble d’Eliane Darrès Lionel Vitrant l’inspecteur de police qui interroge le producteur Marcel Rouzé un inspecteur de police Claude Dauphin le frère d’Eliane Darrès La voix d’Edmond Ardisson la voix de l’inspecteur de Marseille Albert Michel le patron du café-tabac de la place de Rungis Jacqueline Staup la chef du pool de dactylos Clément Harari la femme qui regarde Daniel à travers la vitre de la cabine téléphonique au café-tabac de la place de Rungis Denise Péron une poivrote au café-tabac de la place de Rungis Maurice Auzel l’inspecteur avec le ciré et le chapeau noirs au café-tabac de la place de Rungis Dominique Zardi l’inspecteur avec l’imper clair au café-tabac de la place de Rungis William Sabatier le commissaire Zoufi Josée Steiner la réceptionniste de l’hôtel Arizona Jean-Pierre Périer le client dans les toilettes de l’hôtel Arizona Jean-François Gobbi le 1er motard qui accompagne la police
Distributeur : 20th Century Fox
D’après le roman de Sébastien Japrisot publié en 1962 aux Editions Denoël
Adaptation de Costa-Gavras
Directeur de la photographie : Jean Tournier
Caméraman : Charles-Henri Montel
Musique : Michel Magne
Editions musicales : Hortensia – P.E.C.F.
Chef décorateur : Rino Mondellini
Ingénieurs du son : Jo de Bretagne, Jacques Carrère
Mixages : Jean Nény
Chef monteur : Christian Gaudin
Premier assistant réalisateur : Bernard Paul
Assistant réalisateur : Jean-Pierre Périer-Pillu
Script-girl : Annie Maurel
Costumes : Jacqueline Moreau
Maquillage : Janine Jarreau
Photographe : Dolly Schmidt
Direction de production : Jean-Paul Delamotte, Serge Lebeau
Studios : Studios de Saint-Maurice
Extérieurs : Paris, Ecole vétérinaire de Maisons-Alfort (Val de Marne)
Auditorium : S.I.M.O.
Filmé en noir et blanc avec le procédé Franscope
Enregistrement son : Système Westrex
Laboratoires : Franay L.T.C. St. Cloud
Effets optiques : LAX
Visa de contrôle cinématographique n°29.845
Produit par Julien Derode pour Productions et Editions Cinématographiques Françaises
Durée : 92 min.
Tournage du 30/11/1964 au 27/01/1965
Date de sortie à Paris : 17/11/1965 aux cinémas Normandie, Rex, Rotonde
Nombre d’entrées à Paris : 352.258
Nombre d’entrées en France : 1.079.154
Titre en Allemagne de l’ouest : Mord im Fahrpreis inbegriffen
Date de sortie : 02/09/1966
Titre flamand en Belgique : Compartiment voor doders
Date de sortie : 22/04/1966
Titre au Brésil : Crime no Carro Dormitório
Titre au Danemark : Mord i natekspressen
Date de sortie : 14/01/1966
Titre en Espagne : Los raíles del crimen
Titre aux Etats-Unis : The Sleeping Car Murder
Date de sortie : 07/03/1966
Titres en Finlande : Mord i sovvagn
Mord i sovvagnet
Murha makuuvaunussa
Date de sortie : 14/01/1966
Titre en Grande-Bretagne : The Sleeping Car Murder
Date de sortie : 09/1966
Titre en Hollande : Moord in de slaapwagen
Date de sortie : 31/03/1966
Titre en Hongrie : A tökéletes buntény
Date de sortie : 07/11/1966
Titre en Irlande : The Sleeping Car Murder
Date de sortie : 04/08/1967
Titre en Italie : Vagone letto per assassini
Titre au Mexique : Crimen en el coche cama
Date de sortie : 10/10/1968
Titre en Pologne : Przedzial morderców
Titre au Portugal : 6 ª. Testemunha
Titre en Suède : Dödens kupé
Date de sortie : 19/11/1965
Titre en Turquie : Caniler treni
Date de sortie : 12/1967
Titre en Yougoslavie : Kupe za ubice
Notes :
- 1er film de Costa-Gavras qui s’est entouré d’amis acteurs qu’il retrouvera à plusieurs reprises.
- Certaines sources mentionnent Jean Lefèbvre et Robert Sabatier, il ne sont pas dans le film.
Résumé : Daniel Roy, jeune homme désargenté, monte à Avignon dans un train qui va à Paris. Voyageant sans billet, il sympathise avec une
jeune fille, Bambi, qui lui propose de venir occuper la seule place libre de son compartiment couchettes. En arrivant à la gare de Lyon
Daniel s’esquive de bonne heure mais sur le quai de la gare il s’aperçoit que Bambi a oublié de lui amener sa valise, il retourne la
chercher, remarque une silhouette sortant du wagon et constate qu’une des occupantes, Georgette Thomas est morte. Il n’en dit rien à Bambi
qui l’emmène dans un studio prêté par sa cousine. La police judiciaire, sous la conduite du commissaire Tarquin et de l’inspecteur
Grazziani, s’attache d’abord à identifier tous les occupants du compartiment et commence par enquêter sur la famille et les relations de
la victime qui a été étranglée. René Cabourg, un des passagers du compartiment au comportement plutôt trouble, téléphone à l'inspecteur
Grazziani qui lui demande de passer le voir, puis il se rend à un match de boxe où il est abattu de 2 coups de feu dans les toilettes. En
fouillant dans les affaires de Daniel, Bambi trouve un portefeuille appartenant à une femme du compartiment, Eliane Darrès, une actrice, et
la jeune fille propose de le ramener à la police. C’est alors que Daniel lui fait part de la mort de Georgette Thomas et de la silhouette
qu’il a aperçue. Afin de ne pas s’attirer d’ennuis ils décident de ramener eux-mêmes le portefeuille à sa propriétaire mais se présentent
chez elle juste au moment où la police arrive. Eliane Darrès n’a que le temps de renvoyer son gigolo, Eric Grandin, avant de recevoir les
enquêteurs. Peu de temps après, elle puis Marcel Rivolani, un autre passager, sont à leur tour abattus. Tarquin et Grazziani constatent
qu’étrangement l’assassin retrouve les passagers du compartiment avant eux. Ayant trouvé une photo d’Eric Grandin dans l’appartement
d’Eliane Darrès, Grazziani va l’interroger, il leur révèle qu’il était son amant depuis 6 mois et qu’elle devenait envahissante mais il a
un parfait alibi lorsqu’elle a été tuée. Un après-midi, Daniel évite de justesse la venue de 2 hommes venus pour tuer Bambi à son domicile,
dont l’un est la silhouette aperçue par le jeune homme dans le train. La jeune fille étant à son travail, Daniel fonce lui téléphoner dans
un café afin de lui conseiller de ne pas rentrer chez elle et de se réfugier dans un hôtel, puis il appelle la police désirant parler à
l’inspecteur Grazziani mais celui-ci étant occupé par ailleurs c’est son adjoint Gabert qui répond, prétendant être Grazziani. Daniel
raconte tout ce qu’il sait, dit où se trouve Bambi et décide d’attendre dans le café. Grazziani apprenant que l’on a essayé de le joindre
et que c’est Gabert qui a répondu comprend tout. La police intervient d’abord à l’hôtel où est cachée Bambi et y trouve Eric Grandin venu
pour tuer la jeune fille, il avoue sans peine que lui et Gabert étaient amants mais ce dernier se montrant jaloux de la liaison d’Eric avec
Eliane Darrès a échafaudé un plan permettant de l’éliminer : tuer une personne au hasard dans le compartiment afin d’orienter d’abord la
police sur une fausse piste, puis supprimer d’autres occupants – dont Eliane - en pensant faire croire qu’ils n’étaient que des témoins
gênants. Pendant ce temps Gabert arrive au café où l’attend Daniel et essaie de le tuer, le jeune homme réussit à se sauver, Gabert
parvient à s’échapper avec la police à ses trousses. La course poursuite s’achève sur le quai de la Seine, Gabert coincé et réalisant qu’il
n’a aucune chance de s’en sortir retourne son arme contre lui. L’affaire est close.
Compléments réalisés par Jean-Pierre Pecqueriaux, avril 2017
Article de presse en 1973 .
Costa-Gavras : "Dans compartiment tueurs, je n'ai fait monter que des amis"
«COMPARTIMENT TUEURS », est le premier film de CostaGavras, mais le second repris par la télévision, après « Un homme de trop ». « Compartiment tueurs » fut tourné en 1964, en huit semaines, pour cent dix millions d'anciens francs. Un petit budget, même pour l'époque, compte tenu d'une distribution réunissant Yves Montand, Simone Signoret, Michel Piccoli, Pierre Mondy, Daniel Gélin, Jean-Louis Trintignant, Jacques Perrin. Sans l'amitié qui lie tous ces comédiens, composer un générique aussi prestigieux eût été d'autant plus impossible pour un débutant que Daniel Gélin, pour ne parler que de lui, ne fait pratiquement que passer dans le film. Costa Gavras n'était alors qu'un simple « premier assistant » de trente et un ans, ancien de l'I.D. H.E.C., venu à dix-neuf ans de Grèce pour terminer ses études à Paris. « Pour mes débuts, reconnaît-il, j'ai eu vraiment toutes les chances. Des amis qui, non seulement ont lu mon scénario et m'ont encouragé à le tourner, mais ont tenu à le jouer ; un producteur entreprenant et honnête, Julien Derode ; une station de radio, RTL, qui s'est offerte à en assurer le lancement ; enfin l'adhésion immédiate du grand public. » Toutes ces chances n'étaient pas le seul fait du hasard. Costa-Gavras était considéré comme un professionnel accompli par tous les grands metteurs en scène avec qui il avait travaillé, René Clair et René Clément entre autres, qui portent une part de responsabilité dans ce coup de maître de leur cadet. René Clément, qui venait d'avoir Costa-Gavras comme assistant pour « Le Jour et l'Heure », lui avait demandé de ne pas entreprendre un nouveau travail durant les quatre mois qui le séparaient de son prochain film. Et René Clair lui répétait : « Un assistant ne doit jamais rester inactif. Un film terminé, s'il n'a pas trouvé d'autre engagement, il doit s'intéresser au montage ou bien penser au film qu'il ferait pour son propre compte s'il en avait les moyens... »
Cinq millions ou rien
De ces recommandations apparemment contradictoires, Costa-Gavras tint compte à la fois en s'offrant quatre mois de vacances et en cherchant un sujet pour lui-même. Il le trouva dans le roman de Sébastien Japrisot, « Compartiment tueurs », dont il entreprit l'adaptation. Très vite emballé, il chercha à en acquérir les droits. L'éditeur en demandait cinq millions, chiffre qui dépassait évidemment les disponibilités d'un premier assistant. Costa-Gavras proposa, alors, une option, mais l'éditeur voulait cinq millions ou rien. Costa n'en poursuivit pas moins son travail, mais à peine l'avait-il terminé qu'il apprit qu'Henri Verneuil s'intéressait, lui aussi, à « Compartiment tueurs », Costa avait été l'assistant de Verneuil, il alla le trouver. « C'est vrai, admit Verneuil. Audiard et moi travaillons sur ce bouquin, mais nous n'arrivons pas à nous en sortir. Nous allons abandonner... » Rassuré, Costa porta son « script » à Simone Signoret pour avoir son avis. Dans le milieu du cinéma, la sûreté du jugement de la grande comédienne est connue, et c'est souvent qu'elle rend ce genre de service. Costa en avait un autre à lui demander ; il voulait confier le principal rôle féminin à sa fille, Catherine Allégret. Simone Signoret trouva excellente l'adaptation du roman de Japrisot, mais commença par refuser la participation de Catherine, qui avait son bac à préparer. En revanche, elle revendiqua, pour elle-même, le rôle secondaire de la mère Darrès.
Son préféré : Montand
Pressenti pour le rôle de l'inspecteur, Yves Montand se montra réticent parce que Costa tenait à le faire parler avec l'accent marseillais. Il finit, néanmoins, par accepter, et Simone Signoret ne put maintenir très longtemps son refus pour Catherine, « à condition qu'elle continue de travailler pour passer son bac. Catherine rata son bac, mais réussit avec éclat son entrée dans le cinéma. Dans cette entreprise née sous le signe de l'amitié, le reste de la distribution ne souleva aucune difficulté. Pierre Mondy et Gélin durent même insister pour « en être ». Julien Derode. aujourd'hui directeur des Studios de Boulogne, s'entendit avec l'éditeur de Japrisot et produisit le film ; comme il ne pouvait être question d'assurer à toutes ces vedettes un cachet à la mesure de leur notoriété, chacune accepta d'être rémunérée au pourcentage. « Compartiment tueurs » fut. ainsi, l'un des premiers films français financés en participation. Depuis, Yves Montand est resté l'interprète préféré de Costa-Gavras. Le sens de l'amitié aussi est resté : « Etat de siège ». son dernier film, a été produit par la société fondée par l'ami Jacques Perrin, qui n'a pas de vrai rôle dans l'action mais qu'on aperçoit dans deux silhouettes anonymes. A l'inverse de son confrère Marin Karmitz, qui déclare se servir du cinéma pour faire de la politique, Costa-Gavras ne se réclame d'aucun parti : « Je ne pense pas, dit-il, que telle ou telle idéologie puisse assurer le bonheur des hommes simplement parce qu'elle le réclame. Toutes les idéologies ont besoin d'être critiquées et le cinéma peut servir à le faire... » Position dont il s pu mesurer l'inconfort avec « L'Aveu », sévèrement accueilli par les communistes français et soviétiques. « Etat de siège », qu'il a écrit avec Franco Salinas d'après l'histoire authentique de l'exécution, après enlèvement, d'un agent américain par les Tupamaros urugayens a rencontré moins de réticences. Le critique de « Literaturnaia Gazeta » ne trouve à lui reprocher que d'avoir montré les Tupamaros « trop gentils». Costa-Gavras n'entend pas se consacrer exclusivement au cinéma politique. Si on lui proposait un sujet comique ou satirique, il l'accepterait d'enthousiasme. De même, il serait enchanté de travailler pour la télévision. Mais il a eu un aperçu assez décevant de la façon dont les choses se passent, quelquefois, d.ans les projets de coproduction avec l'O.R.T.F. On lui avait demandé une idée de « grande dramatique ». Il proposa un roman-fresque d'un célèbre écrivain français, mais ce projet fut jugé « d'inspiration trop sociale » pour le public de la TV. Le roman en question, c'était « Les Thibault », de Roger Martin du Gard...
Elle va être la fille de sa mère.
CATHERINE ALLEGRET (notre photo) est la fille de Simone Signoret et d'Yves Allégret, metteur en scène de « Manèges » (et frère de Marc, le réalisateur de « Lac aux dames »). Elle avait dix-huit ans et la seule expérience de quelques cachets de figuration, lorsqu'elle tourna « Compartiment tueurs », qui fit d'elle la révélation de l'année 1965. Depuis, après avoir été l'hôtesse du « PopClub », de José Artur, elle a tourné une quinzaine de films, en particulier « Carré de dames pour un as », de Jacques Poitrenaud. « Le Temps de vivre », de Bernard Paul, « Smic, smac, smoc », de Claude Lelouch, « Sex-shop », de Claude Berri et, tout récemment, « Le Dernier Tango à Paris », de Bernardo Bertolucci, et « Les Volets clos », de Jean-Claude Brialy. On l'a vue également au théâtre, à l'Atelier, où le regretté André Barsacq l'avait choisie pour sa dernière reprise de « Ce soir, on improvise », de Pirandello. Catherine a aussi créé la curieuse pièce du douanier Rousseau, « La Vengeance d'une orpheline russe ». « C'est une des comédiennes les plus douées de sa génération, témoigne Costa-Gavras. Il est regrettable qu'on ne lui confie pas des emplois plus consistants... » Costa-Gavras, pour sa part, ne tourne que des films « d'hommes ». Mais Catherine, mariée au comédien Jean-Pierre Castaldi, de qui elle a un enfant de trois ans, a trouvé un rôle qui, pour une fois, n'est pas une composition : dans « Les granges brûlent », de Jean Chapot. elle sera la fille... de Simone Signoret.