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Clotilde Joanno et Jacques Dacqmine
Denise Gence et Francois Chaumette
Denise Gence et Patrick Lemaitre
Jacques Daqmine et Edmond Beauchamp
Marcel Bozzuffi et Sylviane Margolle
Marius Laurey et Georgette Anys
Jacques Dacqmine Rodolphe Edmond Beauchamp L'aide de camp et allié de Rodolphe Robert Liensol David le médecin et allié de Rodolphe Clotilde Joano Fleur de Marie Maria Mauban Sarah, l'ancienne épouse de Rodolphe Robert Postec son frère Tom Marcel Bozzufi Le Chourineur François Chaumette Le Maître d'Ecole Denise Gence La chouette Patrick Lemaître Tortillard, leur souffre douleur Maria Mériko La mère Martial Victor Lanoux Son fils Martial Jean-Pierre Jaubert Son deuxième fils Nicolas Evelyne Istria Calebasse sa fille Sylviane Margollé la petite Amandine, son autre fille François Maistre Le notaire Lucienne Le Marchand Mme Séraphin Claude Piéplu Bras Rouge Jean Laugier Pique Vinaigre Georgette Anys La Mère Ponisse, bistrotière Armand Meffre Gros Boîteux Marius Laurey Barbillon Geneviève Bray La surveillante des détenues Odette Picquet La détenue enceinte Véronique Silver La Louve, chef des détenues Dominique Chautemps Une détenue Clara Daquin Une détenue Anne-Marie Cofinet Une détenue Dominique Dauge Une détenue
Adaptation par Claude SANTELLI de l'oeuvre célèbre d'Eugène SUE.
Mots clés : classe sociale (pègre) ; jeune fille ; amour ; Paris
Chronique de François Mauriac du 06/01/1962 (« Figaro littéraire »).
Les Mystères de Paris
Je suis un peu honteux d’avouer qu’aucun film de nos plus grands cinéastes ne m’aura touché comme cette simple adaptation d’un illustre feuilleton, que la pègre ressuscitée par Santelli et Cravenne m’a paru d’une vérité hallucinante, quoique irréelle, et donc poétique : les personnages d’Eugène Sue vivaient intensément pour nous, tels qu’il les avait conçus ; le noir et blanc des images donnait sur le petit écran ce que les maîtres de la gravure obtiennent quelquefois.
Que dire des acteurs ? On n’a jamais mieux joué qu’aujourd’hui : Denise Gence (la Chouette), en tête, et François Chaumette, et le jeune Patrick Lemaître (Tortillard) qui est à la perfection un enfant monstrueux, mais il faudrait les louer tous et reconnaitre que le maquillage, ici, participe de l’art le plus raffiné.
Compléments par Donatienne Roby, juin 2019.