Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Charles Vanel et Pierre Blanchar
Gabriel Gabrio et Jean Francois Martial
Gabriel Gabrio et Pierre Blanchar
Geo Laby Paul Azais et Gabriel Gabrio
Pierre Blanchar et Charles Vanel
Rene Montis et Maurice Delaitre
Pierre Blanchar soldat Gilbert Demachy Charles Vanel caporal Breval Gabriel Gabrio soldat Sulphart René Montis lieutenant Morache Raymond Aimos soldat Fouillard Antonin Artaud soldat Vieublé Jean-François Martial soldat Lemoine Paul Azaïs soldat Broucke Pierre Labry soldat Bouffioux René Bergeron soldat Hamel Raymond Cordy soldat Vairon Jean Galland capitaine Cruchet Pierre Labry soldat Bouffioux Marcel Delaître soldat Berthier Geo Laby soldat Belin Marc Valbel soldat Maroux Christian-Jaque un lieutenant
SCENARIO Raymond Bernard et André Lang, d'après le roman éponyme de Roland Dorgelès ; IMAGE Jules Kruger et René Ribault ; MONTAGE Lucienne Grumberg ; SON Antoine Archimbaud ; DECORS Jean Perrier ; PRODUCTION Pathé-Natan ; Sortie le 17 mars 1932
Gilbert Demachy, étudiant en droit, part comme engagé volontaire alors que la guerre s'enlise dans les tranchées. Affecté dans un régiment qui combat en Champagne, le jeune homme voit vite s'envoler ses illusions. La camaraderie, les moments de détente ne pèsent pas lourd face aux dures réalités de la vie militaire et l'absurdité de la guerre. Il faut coûte que coûte tenir ses positions. Puis vient l'ordre que tous redoutaient et la grande offensive est lancée. La compagnie de Demarchy est envoyée à la mort pour reprendre quelques arpents de terre, un village en ruine.
CRITIQUE(S)
« LES CROIX DE BOIS se situe au antipodes du J’ACCUSE d‘Abel Gance. Raymond Bernard cherche avant tout à livrer une vision documentaire de l’hallucinant cauchemar que fut cette guerre afin d’en inspirer l’horreur au spectateur. Les faits doivent parler d’eux-mêmes : ceci qui parait banal aujourd’hui ne l’était pas du tout dans le cinéma français de l’époque. Pour atteindre son but, Raymond Bernard attacha autant d’importance aux ambiances sonores qu’aux images (…) » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma ; Les films, coll. Bouquins, 1992.