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Bernard Musson Max Amyl
carton dedicace
carton generique
chauffeur de taxi
clients et prostituees
Evelyne corman brutalisee
Evelyne Corman
flics et traction arriere
Gaetan Panella
Goulven muller Sylvain et Lucas
la boite a Pandores
la petite Muriel Foucherouge
les filles
les trois amies prostituees
Louise Carletti et Philippe Lemaire
lutteur
mac brutal Rene Havard
marchand de tapis
Michel Ardan en attente
Nicole Courcel et Paul Demange
prostituee
prostituees au comptoir
prostituees
Raymond Pellegrin
Rita Stoya au centre
Rudy Lenoir Rene Havard Yoko Tani
Suzanne Guemard
trottoir
une prostituee
Giselle Pascal Marie-Thérèse Langeac Philippe Lemaire Pierre Larrieu Louise Carletti Marcelle Raymond Pellegrin René Nicole Courcel Maria Michel Ardan Fernand Cortedani René Blancard le commissaire Denys Gina Manès Mathilde Grigou Lisette Lebon Sophie [créditée Lisette Le Bon] Évelyne Corman la nouvelle prostituée Paul Demange : Gustave Cervetti, le marchand de couleurs Abel Jacquin le directeur du Nid René Havard le souteneur Jérôme Goulven l’inspecteur Martial Simone Berthier Monique, la prostituée au Prado Simone Logeart Rita Stoya Olga, dite la Grande Duchesse Yvette Vanmalle Suzanne Guémard la directrice du collège Sainte-Cécile Yette Lucas l’hôtelière Julien Maffre le barman du Prado Jacques Muller le secrétaire du commissaire Denys Gaëtan Panella Mathieu, le barman de la Boîte à Pandores Guy Moulinet Rudy Lenoir le type qui fait penser à McCarthy Jean Sylvain l’hôtelier [crédité Sylvain] La petite Muriel Foucherouge Jeannette, la fille de Maria Bernard Musson le client endormi [non crédité] Yoko Tani : Yoko, l'Eurasienne [non créditée] Marcel Portier l’agent qui sort de la loge des hôteliers [non crédité] Max Amyl le barman [non crédité] Marc Arian un type debout dans le bar [non crédité] Jacques Bertrand un consommateur attablé au bar [non crédité] Nicole Regnault la prisonnière au parloir [non créditée]
Marchandes d'illusions
Réalisation: Raoul André (1954)
Scénario et dialogues : Raymond Caillava
Photographie : Roger Fellous (N&N)
Cameraman : Noël Martin
Assistants opérateurs : Maurice Fellous et Jean-Paul Schwartz
Son : Pierre-Henri Goumy
Assistants son : Jean Bareille et Urbain Loiseau
Décors : Louis Le Barbenchon
Assistant décorateur : Pierre Duquesne
Accessoiriste : Alphonse Lebeuf [non crédité]
Montage : Gabriel Rongier
Assistant monteur : Fernand Manella
Musique : Daniel Lesur (Editions Transatlantiques)
Direction musicale : Marc Lanjean
La chanson « Dans les yeux des femmes » qu’interprète Francine Claudel est de Jacques Datin et Maurice Vidalin
Habilleuses : Renée Rouzeau et Anita Poirier [non créditées]
Maquillage : Louis Dor
Assistante maquilleuse : Maud Begon
Chef électricien : André Saucet
Premier assistant réalisateur : Tony Saytor
Deuxièmes assistants réalisateurs : Jean Léon et Marc Montagu Telli [Marc Monta au générique]
Script-girl : Brigitte Dubois
Régisseur général : Michel Mombailly
Régisseur d’extérieur : Pierre Lefait
Chef comptable : Marthe Karcher
Secrétaires de production : Micheline Robert et Edith Tertza
Production : Jean Lefait et Raymond Logeart, pour Vascos Films
Photographes de plateau : Dino et Serge Jacques
Mesdemoiselles Carletti et Courcel sont habillées par Almine
Production : Vascos Films
Distribution : Mondial Films
Studios : Paris-Studios Cinéma (Billancourt)
Extérieurs : Paris, Saint-Germain
Enregistrement : Western Electric
Laboratoires : S.I.M. (Saint-Maur)
Tournage : du 12 janvier au 15 février 1954
Format : Noir et blanc - 1,37:1 - 35 mm - Son mono
Durée : 88 minutes
Première corporative : 11/05/1954
Date de sortie : 4 août 1954
Visa de censure n° 15.143
Ce film est dédié au Missionnaires du "Nid" et à tous ceux qui les secondent dans leur tâche.
Drame prostitutionnel et moralisateur. La missionnaire du Nid, Marie-Thérèse, cherche à aider des filles du trottoir. Malgré quelques macs violents et une mort brutale, tout dégouline de bons sentiments. Il s’agit de rendre hommage au travail associatif du Nid, fondé en 1946 pour arracher les filles à la prostitution et les aider à leur réinsertion. Même les flics sont ici compréhensifs et admiratifs de cette noble mission. Belle camaraderie entre filles. L’amour est au bout de la route pour certaines. Mais le dialogue vient doucher l’optimisme général : « Toutes, affirme Marie-Thérèse au flic obtus qui commençait à s’attendrir (Jérôme Goulven, très bon), toutes sont désaxées par la vie qu’elles ont menée. »
Premier des trois films réalisés par Raoul André en 1954.
Christophe Bier, Janvier 2018
