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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Noël Roquevert Le colonel de la Ribodière Yves Deniaud Roméo Jacques Dynam Clotaire Dora Doll Flora Ginette Pigeon Annette Armand Bernard M. Grivier Jacqueline Cartier La femme du notaire Pauline Carton La femme du brigadier Max Dalban Le chef de la fanfare Lucien Frégis Le bistrotier Marius Gaidon Lucien Guervil Le notaire Jacques Hilling Auguste Jacques Jouanneau Le dentiste Maryse Martin Mme Auguste - la fermière Paul Mercey Albert Michel Un gendarme Émile Riandreys Le cafetier Jean Tissier Le brigadier Alice Tissot Élodie Grivier Louis Viret Le fils Donnadieu
Document sans nom
Une bonne petite comédie des années 50.
Quel plaisir de retrouver des acteurs en pleine forme, qui nous régalent dans leur façon de jouer : Roquevert, Deniaud, Dynam, et j’ai envie d’attribuer une palme à un acteur qui ne fait que passer : Jean Tissier, toujours drôle avec sa nonchalance, sa voix, que j'aime le retrouver dans ce genre de film.
L’histoire est cousue de fils blancs, mais qu’importe, on passe un bon moment.
Deux voleurs un peu nigauds (l’un est surnommé « Petit C ») pénètrent dans la villa d’un colonel à la retraite, ils le trouvent allongé sur son lit, un testament près de lui, il est donc mort. Sa filleule arrive sur les lieux et ils se font passer pour les nouveaux jardiniers. Comme la jeune femme ne peut payer les obsèques et qu’elle a une procuration, elle est conseillé par les 2 hommes de faire croire que le colonel est toujours vivant, et d’aller le lundi (nous sommes samedi) retirer tout l’argent du vieux et seulement après d’annoncer sa mort. Mais tout un tas de péripéties interviennent pour pimenter l’histoire et faire déplacer de pièces en pièces le faux mort, car entre temps on apprend que le colonel a échappé à une absorption de médicaments dangereux, et qu’il est maintenant en pleine forme, car il continue à jouer le mort pour d’une part s’amuser de la situation, comme dans la scène où on le met dans la salle de bain, ce qui lui permet de reluquer la femme de l’un des voleurs (qui les avait rejoint) qui prend une douche… Mais çà lui permet aussi de juger son entourage notamment quand un de ses cousins vient constater si il est mort ou pas suite à un coup de fil anonyme. Bref, le « déménagement du colonel » est amusant et tout se termine bien comme il se doit.
Alain S.
Mai 2018
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Ginette Pigeon et Alice Tissot
Jacques Dynam et Ginette Pigeon
Noël Roquevert Le colonel de la Ribodière Yves Deniaud Roméo Jacques Dynam Clotaire Dora Doll Flora Ginette Pigeon Annette Armand Bernard M. Grivier Jacqueline Cartier La femme du notaire Pauline Carton La femme du brigadier Max Dalban Le chef de la fanfare Lucien Frégis Le bistrotier Marius Gaidon Lucien Guervil Le notaire Jacques Hilling Auguste Jacques Jouanneau Le dentiste Maryse Martin Mme Auguste - la fermière Paul Mercey Albert Michel Un gendarme Émile Riandreys Le cafetier Jean Tissier Le brigadier Alice Tissot Élodie Grivier Louis Viret Le fils Donnadieu
Une bonne petite comédie des années 50.
Quel plaisir de retrouver des acteurs en pleine forme, qui nous régalent dans leur façon de jouer : Roquevert, Deniaud, Dynam, et j’ai envie d’attribuer une palme à un acteur qui ne fait que passer : Jean Tissier, toujours drôle avec sa nonchalance, sa voix, que j'aime le retrouver dans ce genre de film.
L’histoire est cousue de fils blancs, mais qu’importe, on passe un bon moment.
Deux voleurs un peu nigauds (l’un est surnommé « Petit C ») pénètrent dans la villa d’un colonel à la retraite, ils le trouvent allongé sur son lit, un testament près de lui, il est donc mort. Sa filleule arrive sur les lieux et ils se font passer pour les nouveaux jardiniers. Comme la jeune femme ne peut payer les obsèques et qu’elle a une procuration, elle est conseillé par les 2 hommes de faire croire que le colonel est toujours vivant, et d’aller le lundi (nous sommes samedi) retirer tout l’argent du vieux et seulement après d’annoncer sa mort. Mais tout un tas de péripéties interviennent pour pimenter l’histoire et faire déplacer de pièces en pièces le faux mort, car entre temps on apprend que le colonel a échappé à une absorption de médicaments dangereux, et qu’il est maintenant en pleine forme, car il continue à jouer le mort pour d’une part s’amuser de la situation, comme dans la scène où on le met dans la salle de bain, ce qui lui permet de reluquer la femme de l’un des voleurs (qui les avait rejoint) qui prend une douche… Mais çà lui permet aussi de juger son entourage notamment quand un de ses cousins vient constater si il est mort ou pas suite à un coup de fil anonyme. Bref, le « déménagement du colonel » est amusant et tout se termine bien comme il se doit.
Alain S.
Mai 2018
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