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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Julien Carette Félicien Léonard Denise Grey Bernardine l'épouse de Léonard Laure Paillette Une invitée de Bernardine Jean Meyer Tancrède l'amant de Bernardine Pierre Brasseur Bonenfant, qui fait chanter Léonard Jenny Burnay Madame Bonenfant Madeleine Suffel La maîtresse de Bonenfant Charles Trenet Ludovic l'héritier Jacqueline Pagnol Paulette, amoureuse de Ludovic Gaby Wagner Marguerite, la jolie voleuse dans le train Roger Vincent Le colonel dans le train Jean Didier Un voyageur dans le train Madame Chantel La mère du bébé dans le train Marcel Pérès Le patron du bistrot "La confiance" Yette Lucas La patronne du bistrot "La confiance" Yves Deniaud Le garçon de café Max Volle Le cuisinier Roger Blin Le chef bohémien Simone Signoret La gitane Georges Vitsoris Un bohémien Albert Rémy Le marchand d'oiseaux Guy Decomble Le rémouleur Edouard Delmont Le chemineau Louise Fouquet La bouquetière Edmond Van Daële Le graveur Jean Dasté Le raccommodeur de porcelaines Paul Frankeur Le cordonnier Jacques Dufilho Le marchand de marrons Charles Lavialle Le facteur Jean Leduc Le tondeur de chiens Fabien Loris L'allumeur de réverbères Jeanne Dussol La marchande de ballons Raymond Bussières Le peintre Pierre Collet Le marchand d'habits Marcel Mouloudji Le ramoneur Vitta Le second ramoneur Négery Le vitrier Cécyl Marcyl La marchande de mouron Sassia Le marchand de glaces Bernard Véron Le cireur Varillat Le photographe René Stern Un inspecteur Jean Gold Un inspecteur Talmont Le gendarme Louis Pénalair Le portier du cirque Eugène Yvernès Le docteur René Bourbon Le notaire Geneviève Morel La bonne Germaine Stainval Une vieille dame Maurice Hiléro Un voisin Lucien Raimbourg Lucienne Paroli Jane Morlet Robert Scipion Louis Daquin André Le Gall Pierre Latour Guy D'Arnoux Debaker Maray Rittner Schelsser
Document sans nom
« Adieu Léonard » est une oeuvrette signée des frères Prévert, qui aurait pu être sympathique et même poétique si l'on considère l'idée de départ. Hélas, tout est entremêlé, baclé et le choix du réalisateur nous laisse perplexes : nous avons droit à des gros plans de personnages qui ne jouent aucun rôle dans l'histoire et passons à côté de ceux qui pourraient être importants. Julien Carette, Denise Grey, Edouard Delmont s'en sortent bien ! Charles Trenet aussi avec une de ses chansons amusantes et où il énumère tous ses amis ouvriers, mais Pierre Brasseur et surtout Jean Meyer surjouent et rendent des passages bien lourds. Jean Meyer se révélera davantage dans la mise en scène dans de grands théâtres, mais là, il ne donne pas l'idée de son talent.
Jacqueline Pagnol qui se nomme encore Bouvier est égale à elle-même.
Tout le reste du générique, pourtant très riche, se résume à des apparitions furtives.
Léonard (Julien Carette), c'est un pauvre fabriquant de lampions et autres objets de fêtes dont le commerce était naguère florissant mais qui maintenant ne rapporte plus rien. Son épouse Bernardine (Denise Grey) joue la grande dame et tient salon. Léonard fait du mieux qu'il peut pour maintenir le train de vie de la maison, et pourvoir à l'éducation de ses deux petits garçons. Vient se mêler au couple, Tancrède (Jean Meyer), amant de Bernardine et vivant à ses crochets, snob, et prétentieux qui pousse ce brave Léonard à voler. Maladroit comme tout, ledit Léonard se fait prendre sur le fait au domicile d'un certain Bonenfant (Pierre Brasseur), individu peu recommandable. Mme Bonenfant revient de chez son riche oncle châtelain et apprend à son époux que le vieil homme est mort et qu'il a laissé tous ses biens à Ludovic, un cousin.
Ludovic (Charles Trenet) est un garçon charmant, bohème, peu intéressé, amoureux de la vie, ne voyant le mal nulle part ; Paulette (Jacqueline Pagnol) la jeune servante de l'auberge non loin du château est amoureuse de lui.
Ludovic a installé dans le château tous les petits métiers et travaille avec tous dans la joie ! Tout le monde a un toit, la table est commune et c'est le bonheur tout simple au château. Une troupe de romanichels est installée dans la cour, et fait partie du décor.
Bonenfant ne peut se résoudre à laisser l'héritage à Ludovic et ordonne à Léonard de le tuer sinon il le dénonce pour vol à la police. Voilà nos deux compères qui arrivent au château, et tout de suite Ludovic se prend d'amitié pour Léonard, ce qui complique les choses. Non Léonard ne tuera pas Ludovic. Tout se calmera quand le notaire apprendra à tous que le château est hypothéqué et qu'il ne reste que des dettes. Pas de problème pour Ludovic qui emmène Paulette rejoindre tous leurs amis et les Romanichels et il n'oublie pas le brave Léonard qui laisse sa Bernardine à Tancrède.
Des regrets de ne pas avoir de gros plans de Simone Signoret, la gitane, des regrets de ne pas ou si peu repérer Raymond Bussière, Mouloudji, Jacques Dufilho, et bien d'autres. Un film d'une autre époque...
Donatienne Roby, Mars 2020
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Madeleine Suffel et Pierre Brasseur
Julien Carette Félicien Léonard Denise Grey Bernardine l'épouse de Léonard Laure Paillette Une invitée de Bernardine Jean Meyer Tancrède l'amant de Bernardine Pierre Brasseur Bonenfant, qui fait chanter Léonard Jenny Burnay Madame Bonenfant Madeleine Suffel La maîtresse de Bonenfant Charles Trenet Ludovic l'héritier Jacqueline Pagnol Paulette, amoureuse de Ludovic Gaby Wagner Marguerite, la jolie voleuse dans le train Roger Vincent Le colonel dans le train Jean Didier Un voyageur dans le train Madame Chantel La mère du bébé dans le train Marcel Pérès Le patron du bistrot "La confiance" Yette Lucas La patronne du bistrot "La confiance" Yves Deniaud Le garçon de café Max Volle Le cuisinier Roger Blin Le chef bohémien Simone Signoret La gitane Georges Vitsoris Un bohémien Albert Rémy Le marchand d'oiseaux Guy Decomble Le rémouleur Edouard Delmont Le chemineau Louise Fouquet La bouquetière Edmond Van Daële Le graveur Jean Dasté Le raccommodeur de porcelaines Paul Frankeur Le cordonnier Jacques Dufilho Le marchand de marrons Charles Lavialle Le facteur Jean Leduc Le tondeur de chiens Fabien Loris L'allumeur de réverbères Jeanne Dussol La marchande de ballons Raymond Bussières Le peintre Pierre Collet Le marchand d'habits Marcel Mouloudji Le ramoneur Vitta Le second ramoneur Négery Le vitrier Cécyl Marcyl La marchande de mouron Sassia Le marchand de glaces Bernard Véron Le cireur Varillat Le photographe René Stern Un inspecteur Jean Gold Un inspecteur Talmont Le gendarme Louis Pénalair Le portier du cirque Eugène Yvernès Le docteur René Bourbon Le notaire Geneviève Morel La bonne Germaine Stainval Une vieille dame Maurice Hiléro Un voisin Lucien Raimbourg Lucienne Paroli Jane Morlet Robert Scipion Louis Daquin André Le Gall Pierre Latour Guy D'Arnoux Debaker Maray Rittner Schelsser
« Adieu Léonard » est une oeuvrette signée des frères Prévert, qui aurait pu être sympathique et même poétique si l'on considère l'idée de départ. Hélas, tout est entremêlé, baclé et le choix du réalisateur nous laisse perplexes : nous avons droit à des gros plans de personnages qui ne jouent aucun rôle dans l'histoire et passons à côté de ceux qui pourraient être importants. Julien Carette, Denise Grey, Edouard Delmont s'en sortent bien ! Charles Trenet aussi avec une de ses chansons amusantes et où il énumère tous ses amis ouvriers, mais Pierre Brasseur et surtout Jean Meyer surjouent et rendent des passages bien lourds. Jean Meyer se révélera davantage dans la mise en scène dans de grands théâtres, mais là, il ne donne pas l'idée de son talent.
Jacqueline Pagnol qui se nomme encore Bouvier est égale à elle-même.
Tout le reste du générique, pourtant très riche, se résume à des apparitions furtives.
Léonard (Julien Carette), c'est un pauvre fabriquant de lampions et autres objets de fêtes dont le commerce était naguère florissant mais qui maintenant ne rapporte plus rien. Son épouse Bernardine (Denise Grey) joue la grande dame et tient salon. Léonard fait du mieux qu'il peut pour maintenir le train de vie de la maison, et pourvoir à l'éducation de ses deux petits garçons. Vient se mêler au couple, Tancrède (Jean Meyer), amant de Bernardine et vivant à ses crochets, snob, et prétentieux qui pousse ce brave Léonard à voler. Maladroit comme tout, ledit Léonard se fait prendre sur le fait au domicile d'un certain Bonenfant (Pierre Brasseur), individu peu recommandable. Mme Bonenfant revient de chez son riche oncle châtelain et apprend à son époux que le vieil homme est mort et qu'il a laissé tous ses biens à Ludovic, un cousin.
Ludovic (Charles Trenet) est un garçon charmant, bohème, peu intéressé, amoureux de la vie, ne voyant le mal nulle part ; Paulette (Jacqueline Pagnol) la jeune servante de l'auberge non loin du château est amoureuse de lui.
Ludovic a installé dans le château tous les petits métiers et travaille avec tous dans la joie ! Tout le monde a un toit, la table est commune et c'est le bonheur tout simple au château. Une troupe de romanichels est installée dans la cour, et fait partie du décor.
Bonenfant ne peut se résoudre à laisser l'héritage à Ludovic et ordonne à Léonard de le tuer sinon il le dénonce pour vol à la police. Voilà nos deux compères qui arrivent au château, et tout de suite Ludovic se prend d'amitié pour Léonard, ce qui complique les choses. Non Léonard ne tuera pas Ludovic. Tout se calmera quand le notaire apprendra à tous que le château est hypothéqué et qu'il ne reste que des dettes. Pas de problème pour Ludovic qui emmène Paulette rejoindre tous leurs amis et les Romanichels et il n'oublie pas le brave Léonard qui laisse sa Bernardine à Tancrède.
Des regrets de ne pas avoir de gros plans de Simone Signoret, la gitane, des regrets de ne pas ou si peu repérer Raymond Bussière, Mouloudji, Jacques Dufilho, et bien d'autres. Un film d'une autre époque...
Donatienne Roby, Mars 2020
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