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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Odette Joyeux Corysande dite Chiffon André Luguet le duc d'Aubières Jacques Dumesnil Marc de Bray Suzanne Dantès Mme de Bray Louis Seigner Philippe de Bray Pierre Larquey Jean Robert Le Vigan l'huissier Monette Dinay Mme de Liron France Ellys Sophie Richard Francoeur Léon Georges Vitray Van Doren Raymond Bussières Marcel Fére Bernard Blier Le garçon d'hôtel Pierre Jourdan l'officier Marthe Mellot la marchande de journaux Germaine Stainval la dame de l'hôtel Yvonne Yma la cuisinière Max Doria le caporal Jean Boissemond le clerc ? Paul Frankeur un mecano
Document sans nom
Réalisation : Claude Autant-Lara
Scénario : Jean Aurenche, Maurice Blondeau, d'après le roman de Gyp
Dialogue : Jean Aurenche
Image : Jean Isnard, Philippe Agostini
Assistant opérateur : Robert Blondy, Robert Ruth
Montage : Raymond Lamy
Son : Ivonnet
Musique : Roger Désormière
Décors : Jacques Krauss
Costumes : Claude Autant-Lara
Régie générale : Fred Herold
Assistant réalisateur : Ghislaine Aubouin
Directeur de production : René Montis
Production : Pierre Guerlais - L'Industrie Cinématographique
Distribution : Gaumont
Sortie le 6 août 1942
Chiffon est une jeune aristocrate rebelle aux conventions de son milieu. Il n’y a guère autour d’elle que sa mère pour s’en offusquer et s’obstiner encore a l’appeler Corysande. Le reste de la maisonnée lui est toute acquise, de Jean, le vieux serviteur qui couvre ses incartades, à son beau-père qui n’a de cesse de tempérer la sévérité de sa mère. Mais c’est encore du frère de celui-ci, « l’oncle Marc », dont Chiffon se sent la plus proche. C’est que, lui aussi est un original, un fou qui englouti toute sa fortune dans sa passion pour les aéroplanes. Par son intermédiaire, Chiffon retrouve un homme dont elle a fait la conquête à la faveur d’une rencontre aussi brève que fortuite. Séduisant quadragénaire, le duc d’Aubières apparaît aussitôt comme un parti idéal pour Chiffon. C’est du moins l’avis de la mère de Chiffon. Mais d’Aubières n‘est pas homme à profiter de la situation. Il comprend que, sans se l‘avouer, Chiffon est éprise de Marc. Faisant fi de ses sentiments, il aide la jeune fille à voir clair dans son cœur et à trouver le chemin du bonheur.
Compléments par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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France Ellys et Richard Francoeur
Jacques Dumesnil et Andre Luguet
Pierre Jourdan et Raymond Bussieres
Pierre Larquey et Louis Seigner
Odette Joyeux Corysande dite Chiffon André Luguet le duc d'Aubières Jacques Dumesnil Marc de Bray Suzanne Dantès Mme de Bray Louis Seigner Philippe de Bray Pierre Larquey Jean Robert Le Vigan l'huissier Monette Dinay Mme de Liron France Ellys Sophie Richard Francoeur Léon Georges Vitray Van Doren Raymond Bussières Marcel Fére Bernard Blier Le garçon d'hôtel Pierre Jourdan l'officier Marthe Mellot la marchande de journaux Germaine Stainval la dame de l'hôtel Yvonne Yma la cuisinière Max Doria le caporal Jean Boissemond le clerc ? Paul Frankeur un mecano
Réalisation : Claude Autant-Lara
Scénario : Jean Aurenche, Maurice Blondeau, d'après le roman de Gyp
Dialogue : Jean Aurenche
Image : Jean Isnard, Philippe Agostini
Assistant opérateur : Robert Blondy, Robert Ruth
Montage : Raymond Lamy
Son : Ivonnet
Musique : Roger Désormière
Décors : Jacques Krauss
Costumes : Claude Autant-Lara
Régie générale : Fred Herold
Assistant réalisateur : Ghislaine Aubouin
Directeur de production : René Montis
Production : Pierre Guerlais - L'Industrie Cinématographique
Distribution : Gaumont
Sortie le 6 août 1942
Chiffon est une jeune aristocrate rebelle aux conventions de son milieu. Il n’y a guère autour d’elle que sa mère pour s’en offusquer et s’obstiner encore a l’appeler Corysande. Le reste de la maisonnée lui est toute acquise, de Jean, le vieux serviteur qui couvre ses incartades, à son beau-père qui n’a de cesse de tempérer la sévérité de sa mère. Mais c’est encore du frère de celui-ci, « l’oncle Marc », dont Chiffon se sent la plus proche. C’est que, lui aussi est un original, un fou qui englouti toute sa fortune dans sa passion pour les aéroplanes. Par son intermédiaire, Chiffon retrouve un homme dont elle a fait la conquête à la faveur d’une rencontre aussi brève que fortuite. Séduisant quadragénaire, le duc d’Aubières apparaît aussitôt comme un parti idéal pour Chiffon. C’est du moins l’avis de la mère de Chiffon. Mais d’Aubières n‘est pas homme à profiter de la situation. Il comprend que, sans se l‘avouer, Chiffon est éprise de Marc. Faisant fi de ses sentiments, il aide la jeune fille à voir clair dans son cœur et à trouver le chemin du bonheur.
Compléments par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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