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La grande illusion
Dita Parlo et Jean Gabin
Dita Parlo et la petite Peters
Dita Parlo
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Erich von Stroheim
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Erich von Stroheim et Pierre Fresnay
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Erich von Stroheim et Pierre Fresnay
Gaston Modot et Jean Gabin
Inconnu 1
Inconnu 2 a droite
Inconnu 3 et Jean Gabin
Inconnu 4
Inconnu 5
Inconnu 6
Inconnu 7 et Inconnu 8
Jacques Becker a droite
Jean Daste
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Jean Gabin
Jean Gabin et Marcel Dalio
Jean Gabin et Pierre Fresnay
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Julien Carette
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Julien Carette
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La Grande Illusion
Marcel Dalio
Pierre Fresnay et Erich von Stroheim
Sylvain Itkine
Werner Florian
Claude Sainval
La Grande Illusion
Jean Gabin Maréchal Marcel Dalio Rosenthal Dita Parlo Elsa Pierre Fresnay Boëldieu Erich von Stroheim Rauffenstein Julien Carette Traquet, l'acteur Jean Dasté l'instituteur Gaston Modot l'ingénieur du cadastre Sylvain Itkine Demolder « Pindare » Georges Peclet Cartier Habib Benglia le Sénégalais Little Peters Lotte Werner Florian le sergent Arthur Claude Sainval Ringis Jacques Becker un officier anglais George Forster Maisonneuve Carl Koch Albert Brouett Georges Fronval Pierre Blondy Karl Heil Michel Salina Claude Vernier
Récompensée à la Ve Mostra de Venise (1937) et par le prix de la critique américaine (1938), "La Grande Illusion" figure régulièrement dans les classements des meilleurs films de tous les temps.
« Le film (...) s'appuie sur une construction superbe. Trois parties (...) présentent un nombre de plus en plus restreint de personnages (....) À mesure que l'intrigue progresse, elle se resserre et devient de plus en plus intime. » « Renoir met en avant son thème privilégié de la solidarité supra-nationale des classes à travers l'amitié des deux aristocrates et officiers de carrière Rauffenstein-Boeldieu. À l'inverse, Maréchal, le prolétaire et Boeldieu, quoique de même nationalité, s'estimant et se respectant mutuellement, ne seront jamais à l'aise ensemble. » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma ; Les Films
« Une des raisons qui me poussait à faire de cette histoire un film était mon irritation devant la manière dont étaient traités la plupart des sujets de guerre. (...) Les aviateurs étaient des veinards, des privilégiés. (...) Dans les camps de prisonniers(...) le grand luxe comparé aux conditions de vie du fantassin. Je n'ai pas voulu jouer des misères de ce dernier. Mon sujet principal n'était pas cela. Mon sujet principal était l'un des buts vers quoi je tends depuis que je fais des films, à savoir la réunion des hommes. »
Jean Renoir qui avait servi dans l'aviation lors de la première guerre mondiale s'est adjoint son ami Carl Koch pour « veiller à l'authenticité de la partie allemande ». « Nous avions fait la guerre ensemble. Nous avions combattu dans deux camps opposés, mais ça, c'était un détail. (...) C'est une preuve de plus à l'actif de ma théorie de la division du monde en frontières horizontales et non plus en chambres fermées par des frontières verticales. » - Jean Renoir, "Ma vie et mes films"
