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Agnes Duval completement a gauche
Albert Daumergue marque de rouge
Francoise Rasquin debout au fond
Madeleine Barbulee casse la croute
Pierre Vaudier agent de police a gauche
Rita Maiden et Francoise Rasquin
un client du cafe non identifie
Jean Gabin Maître André Gobillot Brigitte Bardot Yvette Maudet Edwige Feuillère Viviane Gobillot Nicole Berger Jeanine Franco Interlenghi Mazzetti Madeleine Barbulée Bordenave, la secrétaire d'André Gobillot Gabrielle Fontan Madame Langlois, la vieille couturière Jacques Clancy Duret, l'assistant de Gobillot Annick Allières Noémie, la copine d'Yvette Suzanne Grey La fleuriste Hubert de Lapparent L'avocat de la partie civile Georges Scey Monsieur Blondel, le bijoutier Julien Bertheau Le commissaire de police sur les lieux du crime Jacques Marin Le réceptionniste de l'Hôtel Trianon Claude Magnier Gaston, le barman Claire Nobis La vendeuse au magasin de jouets Julienne Paroli La femme du bijoutier (non créditée) Mathilde Casadesus La tenancière du restaurant du Palais de Justice (non créditée) Albert Michel Eugène, le patron du magasin de jouets (non crédité) Albert Rémy Un agent de police à la P.J. (non crédité) Madeleine Suffel La concierge de l'appartement où vit Yvette (non créditée) Germaine Delbat Une dame à la sortie de l'audience (non créditée) Henri-Jacques Huet Le standardiste de la P.J. (non crédité) Jean-Pierre Cassel Un copain trompettiste d'Yvette (non crédité) Roger Saget Le concierge de l'Hôtel du Midi (non crédité) Jean Daurand Un inspecteur de police (non crédité) Jacques Butin Un inspecteur de police (non crédité) Clément Harari Un homme révolté à l'audience (non crédité) Roger Lécuyer Un avocat dans les couloirs et le bureau des postes du Palais de Justice (non crédité) Andrès Un avocat au restaurant du Palais de Justice (non crédité) Pierre Durou Un avocat dans les couloirs et le bureau des postes du Palais de Justice (non crédité) Françoise Rasquin Un "dame" au bar et une témoin à l'audience (non créditée) Agnès Duval Un dame à la sortie de l'audience (non créditée) Albert Daumergue Un avocat à la sortie de l'audience (non crédité) Jacques Mutel Un badaud lors du cortège royal (non crédité) Jacques Brécourt Un agent de police lors du cortège royal et à l'Hôtel du Midi (non crédité) Marcel Rouzé Un agent de police lors du cortège royal (non crédité) Jean-Michel Rouzières Un journaliste à la sortie de l'audience (non crédité) Henri Rondel Un agent de police à la boîte de nuit (non crédité) Raymond Pierson Un barman à la boîte de nuit (non crédité) Marcel Bernier Un agent de police dans les couloirs du Palais de Justice (non crédité) Max Doria Un homme à la sortie de l'audience (non crédité) Marius Gaidon Un agent de police au Palais de Justice (non crédité) Émile Riandreys Un homme dans les couloirs du Palais de Justice (non crédité) Marcel Gallon Un consommateur au bar qui regarde le cortège royal à la télévision (non crédité) Gaston Meunier Un consommateur au restaurant de Palais de Justice et un passant devant chez la fleuriste (non crédité) Georges Demas Un agent de police à l'Hôtel du Midi (non crédité) Henri Guégan Un passant près de l'horlogerie (non crédité) Jean Lepage Un touriste qui visite le Palais de Justice (non crédité) Michel Thomass Un touriste qui visite le Palais de Justice (non crédité) Pierre Vaudier Un agent de police à l'Hôtel du Midi (non crédité) René Aranda Un agent de police à la Place de la Concorde (non crédité) Rita Maiden Une témoin à l'audience (non créditée) Maurice Villiod Un consommateur au restaurant du Palais de Justice (non crédité) Claude Darget Le commentateur à la télévision (non crédité)
Distributeur : CINÉDIS
Une co-production Iena Productions (Paris) et UCIL
Visa de contrôle cinématographique n°20.200
Adaptation et dialogues de Jean Aurenche et Pierre Bost
Adapté du roman homonyme de Georges Simenon
Directeur de la photographie : Jacques Natteau
Caméraman : Alain Douarinou
Décors : Max Douy
1er assistant décorateur : Jacques Douy
2ème assistant décorateur : Raymond Lemoigne
Ingénieur du son : René-Christian Forget
Assistant au son : Guy Villette
Mixage : Jean Nény
Montage : Madeleine Gug
Assistante au montage : Inès Collignon
Musique : René Cloërec
Editions musicales : Mercury
Disques : Versailles
1er assistant réalisateur : Ghislaine Autant-Lara
2ème assistant réalisateur : Michel Pezin
Script-girl : Claude Vériat
Maquillage : Yvonne Fortuna et Odette Berroyer
Coiffure : Carita
Costumes : Pierre Balmain, Louis Feraud et la Maison Opelka
Voix française de Franco Interlenghi : Michel Roux
Affichiste : Will Williams
Enregistrement : Poste Parisien
Système sonore : WESTREX
Laboratoires : L.T.C. (Saint-Cloud)
Effets spéciaux Lax
Studios : Franstudio (Joinville)
Extérieurs : Paris (Place de la Concorde, Quai Bourbon, ...)
Locations des caméras : Maison Chevreau
Photographe de plateau : Walter Limot
Régisseurs généraux : Michel Choquet et André Rameau
Administratrice de production : Jacqueline Leroux-Cabuis
Directeurs de production : Roger Debelmas et Yves Laplanche
Filmé en noir et blanc
Durée : 117 minutes
Tournage du 04/11/57 au 04/02/58
Date de sortie à Paris : 17/09/58 aux cinémas Colisée et Marivaux
Nombre d'entrées en France : 3 152 082
Nombre d'entrées à Paris : 1 000 000
Démarrage en France (entrées) : 46 636
Démarrage à Paris (entrées) : 43 440
Résumé : La jeune Yvette Maudet, avec la complicité de sa copine Noémie, commet une attaque à main armée dans une bijouterie. Le manque d'organisation et la panique provoquée chez le bijoutier et sa femme transforment le braquage improvisé par les deux amies en un fiasco intégral. Yvette assomme la pauvre dame puis les comparses se séparent. Noémie termine au commissariat mais Yvette réussit à semer la police. À la suite de la supercherie, la jeune délinquante se rend chez Maître André Gobillot, un avocat d'une grande éloquence et qui a la réputation de plaider gratuitement des affaires pour les filles qui le séduisent. Bien entendu, Yvette joue de son charme pour conquérir ce dernier. Viviane Gobillot, la femme d'André, au courant des relations de son mari, est résolue à ne pas perdre la face et à conserver l'image du couple qu'ils forment. Elle préfère souffrir en silence et essaye simplement de mettre son mari en garde contre les torts que de tels rapports pourraient lui provoquer. Après l'arrestation d'Yvette près d'un hôtel de passe, Gobillot reçoit un témoignage anonyme qui provient en fait de la vieille couturière dont le magasin est attenant à celui du bijoutier et qui lui donne des informations très précieuses. Grâce à cet échange téléphonique, il apprend que le bijoutier est un satyre. C'est sur la base de cette accusation qu'André Gobillot fonde toute sa plaidoirie et gagne le procès. Il retrouve ensuite sa protégée dans un hôtel près du Palais de Justice et commence leur idylle. C'est d'ailleurs Madame Gobillot, qui a bien compris les passions qui animaient son mari, qui le conduit au nouveau domicile d'Yvette. Mais Yvette n'était pas seule avant leur rencontre. Elle partageait déjà sa vie avec un jeune mécanicien du nom de Mazzetti. Bientôt, celui-ci est mis au courant de la situation délicate de sa copine et l'oblige à reconnaître sa faute en allant se faire pardonner auprès du bijoutier. Cependant, ces excuses ne se feront jamais puisque le magasin a fermé pour cause de décès. La fougue de ce jeune amant devient d'ailleurs très lourde et même dangereuse pour Yvette. Gobillot décide de mettre un terme à l'emprise de Mazzetti en emménageant avec sa nouvelle "créature" et Jeanine, une bonne que le couple engage et qui partage leur intimité. L'annonce de la grossesse d'Yvette provoque un tel enthousiasme au sein de la maisonnée qu'André propose à la future mère de partir aux sports d'hiver. Avant leur départ, Yvette retourne chez Mazzetti pour lui témoigner son amour. Malheureusement, le mécano ne supporte plus leur relation hésitante et décide de le faire comprendre à la jeune fille.
Notes :
- Ni René Berthier ni Bernard Musson n'apparaissent dans le film.
- Une séquence du film fut censurée à l'époque. Elle montre Brigitte Bardot se dévêtir devant Gabin. On comprend difficilement pourquoi la scène est coupée, elle est très suggérée et une autre scène du film montre Bardot entièrement nue (voir photos ci-dessus).