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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Victor Francen Jean Diaz Line Noro Edith Sylvie Gance Flo Marcel Delaître François Laurin Renée Devillers Hélène Jean-Max Henri Chimay Georges Saillard le docteur André Nox M. Pierrefonds Georges Cahuzac le capitaine Lecouvreur André Siméon un soldat Félix Clément le soldat Gilles Tenant Jean Brochard le soldat Staminal Sylvain Itkine le soldat Léotard Lucien Callamand le soldat Damaseau Georges Douking le soldat Rémuset Henri Darbrey un soldatRené Stern un soldatClaude Marty un soldat José Sergy un soldat Barral un soldat Hubert un soldat Paul Amiot un ami de Chimay Georges Rollin un ami de Chimay Jean Chevrier le secrétaire de Chimay Albert Malbert un gardien à Douaumont Georges Paulais un villageois Rivers Cadet un villageois Jean Daurand Jean-Pierre Thisse Lucien Walter Franck Maurice un soldat Lucien Bataille un soldat
Document sans nom
Réalisation : Abel Gance
Scénario : Abel Gance, Steve Passeur
Dialogue : Abel Gance
Image : Roger Hubert
Caméra : Raoul Aubourdier, Jean Charpentier
Son : René Louge, Louis Perrin
Montage : Madeleine Crétolle
Musique : Henri Verdun
Décors : Henri Mahé
Maquillage : Hagop Arakelian
Effets spéciaux : Paul Minine, Nicolas Wilcke
Assistant réalisateur : Jacques Saint-Léonard
Régie : Marcel Bryau
Scripte : Andrée Feix, Yette Vérité
Photographe de plateau : Léo Mirkine
Tournage : Studios G.F.F.A. à Paris
Administration générale : René Montis
Directeur de production : Jean Rossi
Production : Société Forrester - Parant Production
Distribution : Comptoir Français du Film
Sortie le 29 avril 1938
ANALYSE(S) :
« Plus réussi, plus convaincant que LA FIN DU MONDE avec lequel il a de nombreux points de ressemblance, J’ACCUSE est une œuvre non moins radicalement étrangère au cinéma de l’époque que l’était ce film. Ce cri pacifiste, enfanté dans un style baroque et halluciné, est proféré par un héros-martyr comparable à celui qu’interprétait Gance lui-même dans LA FIN DU MONDE. Jean Diaz qui sacrifie sa vie et son bonheur à la cause de l’humanité est interprété par un Victor Francen au jeu assez impressionnant dans le registre hagard et délirant. Il fournit à l’auteur un parfait porte-parole. S’il est prophétique et réaliste dans sa vision de l’état du monde en 1937, Gance donne par contre à son message une forme fantastique. Elle aboutit à une apothéose optimiste qui, elle, est totalement irréaliste. Les difficultés du tournage (…) n’ont altéré qu’en partie la force du film qui repose pour l‘essentiel sur sa virulence, sa sincérité, son lyrisme baroque et apocalyptique. A sa sortie, le film effraya ou dégoûta le public. Comment aurait-il pu en être autrement, alors que les spectateurs se précipitaient justement dans les salles pour fuir cette réalité que Gance leur jetait en pleine figure ? (…) » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma : Les Films, Coll. Bouquins, Robert Laffont, 1992
Compléments par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Victor Francen Jean Diaz Line Noro Edith Sylvie Gance Flo Marcel Delaître François Laurin Renée Devillers Hélène Jean-Max Henri Chimay Georges Saillard le docteur André Nox M. Pierrefonds Georges Cahuzac le capitaine Lecouvreur André Siméon un soldat Félix Clément le soldat Gilles Tenant Jean Brochard le soldat Staminal Sylvain Itkine le soldat Léotard Lucien Callamand le soldat Damaseau Georges Douking le soldat Rémuset Henri Darbrey un soldatRené Stern un soldatClaude Marty un soldat José Sergy un soldat Barral un soldat Hubert un soldat Paul Amiot un ami de Chimay Georges Rollin un ami de Chimay Jean Chevrier le secrétaire de Chimay Albert Malbert un gardien à Douaumont Georges Paulais un villageois Rivers Cadet un villageois Jean Daurand Jean-Pierre Thisse Lucien Walter Franck Maurice un soldat Lucien Bataille un soldat
Réalisation : Abel Gance
Scénario : Abel Gance, Steve Passeur
Dialogue : Abel Gance
Image : Roger Hubert
Caméra : Raoul Aubourdier, Jean Charpentier
Son : René Louge, Louis Perrin
Montage : Madeleine Crétolle
Musique : Henri Verdun
Décors : Henri Mahé
Maquillage : Hagop Arakelian
Effets spéciaux : Paul Minine, Nicolas Wilcke
Assistant réalisateur : Jacques Saint-Léonard
Régie : Marcel Bryau
Scripte : Andrée Feix, Yette Vérité
Photographe de plateau : Léo Mirkine
Tournage : Studios G.F.F.A. à Paris
Administration générale : René Montis
Directeur de production : Jean Rossi
Production : Société Forrester - Parant Production
Distribution : Comptoir Français du Film
Sortie le 29 avril 1938
ANALYSE(S) :
« Plus réussi, plus convaincant que LA FIN DU MONDE avec lequel il a de nombreux points de ressemblance, J’ACCUSE est une œuvre non moins radicalement étrangère au cinéma de l’époque que l’était ce film. Ce cri pacifiste, enfanté dans un style baroque et halluciné, est proféré par un héros-martyr comparable à celui qu’interprétait Gance lui-même dans LA FIN DU MONDE. Jean Diaz qui sacrifie sa vie et son bonheur à la cause de l’humanité est interprété par un Victor Francen au jeu assez impressionnant dans le registre hagard et délirant. Il fournit à l’auteur un parfait porte-parole. S’il est prophétique et réaliste dans sa vision de l’état du monde en 1937, Gance donne par contre à son message une forme fantastique. Elle aboutit à une apothéose optimiste qui, elle, est totalement irréaliste. Les difficultés du tournage (…) n’ont altéré qu’en partie la force du film qui repose pour l‘essentiel sur sa virulence, sa sincérité, son lyrisme baroque et apocalyptique. A sa sortie, le film effraya ou dégoûta le public. Comment aurait-il pu en être autrement, alors que les spectateurs se précipitaient justement dans les salles pour fuir cette réalité que Gance leur jetait en pleine figure ? (…) » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma : Les Films, Coll. Bouquins, Robert Laffont, 1992
Compléments par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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