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Germaine Montero et Henri Cremieux
Henri Guisol et Raymond Souplex
Louis Jouvet Henri Cremieux et Suzy Delair
Louis Jouvet Monique Melinand et Suzy Delair
Louis Jouvet Vera Norman et Jane Marken
Paul Forget Camille Guerini Claire Olivier et Louis Jouvet
Raymond Souplex et Leon Berton
Jacques Dichamp debout derriere Marken
Suzy Delair Raymonde Bosset dite Caprice Louis Jouvet Gambier dit Bagnolet Jane Marken Mme Gambier Henri Guisol Jeff, le compositeur Claire Olivier Mme Bosset, la mère de Caprice Camille Guérini Auguste Bosset, le père de Caprice Pierre Trabaud Marcel Bosset Huguette Faget Claire, l'amie de Marcel Véra Norman Oseille, la copine de Caprice Monique Mélinand Costa, la pianiste de Jeff Mag Avril Blanche, l'habilleuse de Caprice Germaine Montero Mary-Flor Raymond Souplex Arsène Marval, le chanteur sur le retour Jane Helly La femme d'Arsène Marval Henri Crémieux Milson, directeur de l'Olympia Léon Berton Le régisseur Odette Laure La prostituée en habit marin Maurice Regamey Fred, le chef de bande des voyous Georges Douking L'envoyé de Fred Maurice Nasil M. Chacaton, le président de la ligue vertueuse René Pascal Landru Marcel Rouzé Le brigadier Odette Barencey La dame des toilettes Yette Lucas La marchande de journaux Jean-Paul Moulinot le spectateur incommodé par le bavardage des Bosset Judith Magre la prostituée qui drague Jeff au fond de la salle Sacha Briquet un spectateur au balcon / un spectateur au promenoir Albert Valsien Le chef d'orchestre Jean Sylvain l'ami de Caprice qui la félicite à la terrasse du café Batifol Marc Arian Un consommateur à la terrasse du café Max Martel Le chanteur qui organise ses rappels Roger Vincent un spectateur à l'orchestre Louis de Nalair un passant Gabriel Lordy Paul Forget Massicard Jacques Mercier le jeune spectateur enthousiaste Louis Geaiks Polytt Ginette Baudin Paule Launay la spectatrice incommodée par le bavardage des Bosset Patricia Solair une ouvreuse Les Appollos Gens du cirque
Ajouts
Eugène Stuber un passant René Campion l'imprésario Géo Valdy un homme qui discute sur le trottoir Raymond Pierson un spectateur à l'orchestre / un agent de police Jean-Paul Blonday un spectateur à l'orchestre Lucien Desagneaux le pompier dans les coulissesJacques Dichamp un spectateur à l'orchestre Jean Kolb le 1er critique Frank Maurice un client en terrase du café Batifol Olivier Mathot un acolyte de Fred
Lady Paname est un film signé Henri Jeanson qui reconstitue le tandem Louis Jouvet-Suzy Delair qui avait si bien fonctionné dans « Quai des Orfèvres » trois ans auparavant.
Il s'agit cette fois-ci d'un genre de chronique dans les coulisses d'un music-hall, « L'Olympia », dirigé par Milson (Henri Crémieux). Nous sommes dans le Paris de 1920. Se produisent sur scène des artistes confirmés, tels Mary-Flor (Germaine Montero) et Marval (Raymond Souplex), deux artistes qui commencent à décliner. Il faut de la jeunesse... Milson le sait et décide d'engager Caprice (Suzy Delair) ! Elle est fraîche, elle est piquante, elle est drôle... Si elle n'entonne pas le fameux « Avec son tralala », elle nous déclare tout de même en clin d'oeil chantant : « Moi j'ai du ça ! ». Le refrain est de Jeff, compositeur connu (Henri Guisol). Caprice est depuis longtemps très amoureuse de Jeff.
Parallèllement à ce monde des coulisses, nous entrons dans le cercle de la famille et des amis de Caprice : Ses parents (Claire Olivier et Camille Guérini) son frère Marcel (Pierre Trabaud) qui s'est fourré dans de sales combines, sa jeune copine Oseille (Vera Norman). Et, il y a surtout un personnage atypique, Bagnolet (Louis Jouvet). Homme attachant, photographe, anarchiste de façon douce, en opposition avec son frère député, il forme avec sa femme (Jane Marken) un couple voisin de la tribu de Caprice. Bagnolet est partout, y compris lors du premier passage sur scène de Caprice.
La jeune artiste fait un tabac, et un spectateur la baptise « Lady Paname ». Le directeur est ravi.
Mais les choses se compliquent... Marcel, le jeune frère est aux prises avec une bande de malfrats dont le chef est un certain Fred (Maurice Regamey). Quant à Jeff et Caprice, ils sont pris à partie par le Président d'une ligue vertueuse (Maurice Nasil). Jeff giffle le désagréable personnage et se voit obligé de se battre en duel. Bagnolet s'occupe de tout. Jeff et Caprice se sont rapprochés... Mais le compositeur a du mal à renoncer à sa liberté. Il préfère en rester là. Caprice fait mine de l'accepter mais songe au suicide. Bagnolet découvre le projet funeste de la jeune femme, et en sympathique magicien va régler tous les problèmes.
Il va chercher tous les artistes acrobates jongleurs et haltérophiles du théâtre, pour donner une leçon aux voyous, il réussit à ce que le duel n'ait pas lieu et se débrouille pour réconcilier Jeff et Caprice. Quant à Marcel, il s'est rapproché de la ravissante Oseille et il est descendu avec elle dans le midi. Tout est bien qui finit bien...
Gentille comédie, cette œuvre vaut pour ses dialogues savoureux, ses numéros d'acteurs, tous jouent à la perfection, même ceux qui ne font que de courtes apparitions comme Odette Laure, Jean-Paul Moulinot et bien d'autres.
A voir pour la nostalgie...
L'acteur qui tient le rôle du régisseur est Léon Berton qui est annoncé "Jean Berton", un autre comédien.
Une troisième inexactitude. La comédienne Huguette Faget se nomme "Claire" dans le film et non Janine, comme annoncé dans diverses filmographie. Janine ne correspond à aucun rôle.
Donatienne Roby, Juin 2019
Ajouts
Distributeur : DisCina
Scénario, adaptation et dialogues : Henri jeanson
Collaborateur technique : Hervé Bromberger
Directeur de la photographie : Robert Le Fèbvre
Caméraman : Léon Bellet
Assistants opérateurs : André Domage, Daniel Diot
Décors de Jean D’Eaubonne
Architecte décorateur adjoint : Jacques Gut
Assistant décorateur : Marc Frédérix
Chef monteur : Roger Dwyre
Assistante monteuse : Françoise Javet
Musique : Georges Van Parys
Editions musicales : Mondia
Ingénieur du son : Antoine Petitjean
Assistants au son : Gaston Demède, Gaston Ancessi
1er assistant réalisateur : Ulrich Picard
2ème assistant réalisateur : Robert Topart
Script-girl : Nicole Benard
Régie générale : André Hoss
Régisseurs adjoints : Pierre Beauchamps, Philippe Dubail
Ensembliers : Guy Maugin, Louis Seuret
Photographe : Walter Limot
Maquettes des costumes : Georges Annenkoff
Costumière : Madeleine Rabusson
Costumes exécutés par Bénédicte Rasimi, Alwynn, Irène Karinska
Chef maquilleur : Georges Bouban
Habilleuses : Paulette Ten-Have, Maryvonne Le Dantec, Gilberte Sponcet
Accessoiristes : Emile Dechelle, Marcel Dosnon
Directeur de production : Henri Baum
Direction générale : Michel Safra
Une production Speva Films – Michel Safra et André Paulvé
Filmé en noir et blanc
Studios : Studios de Boulogne
Système sonore : Optiphone
Laboratoires : Liano Film
Durée : 113 min.
Début du tournage le 11/10/1949
Date de sortie à Paris : 26/05/1950 aux cinémas Gaumont-Palace, Rex
Nombre d’entrées à Paris : 545.067
Nombre d’entrées en France : 2.066.086
Ni Harry-Max ni Max Harry ne sont dans le film
Jean-Pierre Pecqueriaux, Février 2025