• Accueil
  • Films
  • Acteurs
  • Réalisateurs
  • Nouveautés
  • Contact
  • Equipe
  • La Kermesse héroïque 
    Jacques Feyder - 1935
    Partager cette page sur Facebook :
    Achetez "La Kermesse héroïque" sur
    Amazon
    En cas de non disponibilité me contacter


    Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo


    Distribution :


     Françoise Rosay dans La Kermesse héroïque
     
     
    Françoise Rosay 


     André Alerme dans La Kermesse héroïque
     
     
    André Alerme 


     Bernard Lancret dans La Kermesse héroïque
     
     
    Bernard Lancret 


     Jean Murat dans La Kermesse héroïque
     
     
    Jean Murat 


     Louis Jouvet dans La Kermesse héroïque
     
     
    Louis Jouvet 


     Alfred Adam dans La Kermesse héroïque
     
     
    Alfred Adam 


     Ginette Gaubert dans La Kermesse héroïque
     
     
    Ginette Gaubert 


     Lyne Clevers dans La Kermesse héroïque
     
     
    Lyne Clevers 


     Marguerite Ducouret dans La Kermesse héroïque
     
     
    Marguerite Ducouret 


     Pierre Labry dans La Kermesse héroïque
     
     
    Pierre Labry 


     Arthur Devère dans La Kermesse héroïque
     
     
    Arthur Devère 


     Marcel Carpentier dans La Kermesse héroïque
     
     
    Marcel Carpentier 


     Yvonne Yma dans La Kermesse héroïque
     
     
    Yvonne Yma 


     Roger Legris dans La Kermesse héroïque
     
     
    Roger Legris 


     Georges Spanelly dans La Kermesse héroïque
     
     
    Georges Spanelly 


     Franck Maurice dans La Kermesse héroïque
     
     
    Franck Maurice 

    Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
    Images du film :
    Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.

    Francoise Rosay Francoise Rosay

    La kermesse heroique La kermesse heroique

    Le kermesse heroique Le kermesse heroique

    La kermesse heroique La kermesse heroique

    Alexander d Arcy et Ginette Gaubert Alexander d Arcy et Ginette Gaubert

    Alfred Adam Alfred Adam

    Bernard Lancret et Micheline Cheirel Bernard Lancret et Micheline Cheirel

    Bernard Optal Bernard Optal

    Claude Sainval et Lyne Clevers Claude Sainval et Lyne Clevers

    Delphin Delphin

    Delphin Delphin

    Delphin et Lynn Clevers Delphin et Lynn Clevers

    Enrico Glori et Raphael Medina Enrico Glori et Raphael Medina

    Francoise Rosay Francoise Rosay

    Francoise Rosay Francoise Rosay

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    La Kermesse heroique La Kermesse heroique

    Louis Jouvet Louis Jouvet

    Lynn Clevers Alexander d Arcy Marguerite Ducouret Lynn Clevers Alexander d Arcy Marguerite Ducouret

    Maryse Wendling a gauche Maryse Wendling a gauche

    Maryse Wendling Maryse Wendling

    Micheline Cheirel Micheline Cheirel

    Micheline Cheirel Micheline Cheirel

    Pierre Labry et Ginette Gaubert Pierre Labry et Ginette Gaubert

    Raphael Cailloux a gauche Raphael Cailloux a gauche

    X1 servante bourgemestre X1 servante bourgemestre

    X2 servante auberge X2 servante auberge

    X3 courrier espagnol X3 courrier espagnol

    X4 et X5 Des Espagnols X4 et X5 Des Espagnols


    Document sans nom
    Françoise Rosay Cornélia, la femme du bourgmestre André Alerme le bourgmestre de Boom Micheline Cheirel Siska, la fille du bourgmestre Bernard Lancret Jean Brueghel, le jeune peintre amoureux de Siska Jean Murat le duc d'Olivarès, ambassadeur d'Espagne Louis Jouvet le chapelain Alfred Adam le boucher et premier échevin Lyne Clevers la poissonnière Arthur Devère le poissonnier Maryse Wendling la boulangère Marcel Carpentier le boulanger Ginette Gaubert l'aubergiste Pierre Labry l'aubergiste Marguerite Ducouret la femme du brasseur Alexandre d'Arcy le premier lieutenant Espagnol Claude Sainval le second lieutenant Espagnol Delphin le nain Roger Legris le mercier Bernard Optal Ambroise, le fils de Cornélia Matt Mattox un danseur Will Dohm  Rolla Norman  Enrico Glori le mercenaire piémontais Raphaël Médina le mercenaire suissePierre Athon  Georges Spanelly l'occupant de la chambre 7Francine Bessy  Yvonne Yma la femme au canard Marianne Hardy  Molly Robert  Myrillis  Eugène Stuber un bourreau
    Document sans nom
    Réalisation : Jacques Feyder
    Assistant réalisateur : Marcel Carné
    Assistant artistique : Charles Barrois
    Conseiller historique : M. Sterling
    Scénario : Charles Spaak, Robert A. Stemmle et Jacques Feyder
    Dialogue : Bernard Zimmer
    Musique : Louis Beydts
    Chef opérateur : Harry Stradling Sr.
    Opérateur : Louis Page, assisté d'André Thomas
    Costumes : Georges K. Benda, J. Muelle
    Décors : Lazare Meerson, assisté d'Alexandre Trauner et Georges Wakhévitch
    Son : Hermann Storr
    Montage : Jacques Brillouin
    Directeur de production : Pierre Guerlais
    Production : Société des films sonores Tobis
    Distribution : Filmsonor
    Durée : 109 minutes
    Tournage dans les studios d'Epinay
    Sortie le 3 décembre 1935

    « L’action se déroule dans les Flandres, en 1616, dans le moment où la domination espagnole, sous le règne de Philippe III, s’exerçait moins sévèrement. Mais le souvenir des horreurs de la guerre ne s’était pas effacé de la mémoire des paisibles populations, de l’Escaut la Mer du Nord. Le sujet de LA KERMESSE HEROIQUE n’est pas emprunté à l’histoire. C’est une farce imaginée de toutes pièces, une farce héroï-comique à laquelle on a donné pour cadre une ville qui somnole au bord de son canal, des maisons aux vieilles boiseries lustrées, et , pour atmosphère, la liesse populaire à la veille d’une kermesse. S’ils ont choisi ce cadre c’est que les auteurs ont pu, afin d’embellir leurs images, demander aux chefs d’œuvre des grandes peintres flamands, à toutes ces vies immobiles sur les murs des musées, le secret de leur vérité humaine et de leur gaîté. Et c’est sans doute parce que LA KERMESSE HEROIQUE a su réunir à des qualités d’imagination et d’invention un rayonnement de joie et de bonne humeur, que le jury du Grand Prix du Cinéma lui a décerné sa haute récompense. »

    Au début du XVIIe siècle en Flandres. L’excitation règne dans la petite ville de Boom qui se prépare à célébré sa grande kermesse. Revêtus de leurs plus beaux atours et bouffis de vanité, les notables posent pour le jeune peintre Jean Breughel. Celui-ci à noué une idylle avec Siska, la fille du bourgmestre. Mais l’orgueilleux bourgeois à d’autres projets pour sa fille. Il souhaite la marier avec le boucher, son principal partenaire en affaires et premier échevin de la cité. Cornélia, la femme du bourgmestre, prend le parti de Siska reprochant vertement à son mari de sacrifier le bonheur de sa fille à des intérêts bassement mercantiles. C’est finalement un événement imprévu qui va favoriser l’union de Siska et de Jean. Un courrier vient annoncer l’arrivée dans la ville du duc d’Olivarès, ambassadeur du roi d’Espagne, et de ses troupes. La nouvelle provoque la panique des notables qui se remémorent les exactions passées. Plutôt que d’envisager la moindre résistance, ceux-ci décident de se coucher devant l’occupant. Littéralement pour le bourgmestre qui choisit de faire le mort. Révoltée par la couardise de des hommes, Cornélia appelle les femmes à prendre les choses en main. Celles-ci utiliseront les armes qui leur sont propres pour faire en sorte que le séjour des soldats dans la ville se passe pour le mieux…

    CRITIQUE(S) :
    « (…) C’est dans l’inversion des rôles et des situations que réside le comique de cette « farce » que revendique Feyder. Aux gros hommes vantards, couards et pantouflards s’opposent des femmes énergiques, sensibles et sensuelles. Tandis que la morgue et la brutalité espagnoles, qui provoquaient les fantasmes de terreur du bourgmestre, se muent en civilité et élégance (…) On sent, derrière la caricature traditionnelle des femmes qui portent la culotte, un féminisme réel, qui laisse le dernier mot à Françoise Rosay, la seule à être sensible et intelligente. Et surtout, au-delà de la satire d’une « collaboration » entre occupants et occupés, persiste la trace d’un pacifisme qui prône la nécessaire entente entre nations et la fonde sur une meilleure connaissance des us et coutumes de chacune. » - Michéle Lagny, Dictionnaire mondial des Films, Larousse, 1991

    « Ce classique assez surfait a plus l’apparence de talent que de talent réel, riche budget, riche figuration, l’image est soignée, comme les costumes et les décors dus à Lazare Meerson assisté d’Alexandre Trauner et de Georges Wakhevitch (Ainsi les trois plus célèbres décorateurs français auront travaillé sur ce film). Mais la verve manque, où bien elle est très éteinte, dans ce qui aurait dû être la plus picaresque et la plus truculente des farces. L’introduction dure la moitié du film. Dans l’autre moitié, l’action progresse peu et lentement (…) C’est sans doute à cause de ce film et de certains films de René Clair, considérés après guerre comme les grands classiques du cinéma français, que le cinéma des années 30 mis si longtemps à être redécouvert (…) On n’avait pas envie d’y aller voir, de peur de n’y trouver - au mieux - que d’autres Kermesse héroïque. Plus tard, on s’aperçut qu’outre Renoir les vrais classiques de cette époque étaient Pagnol, Guitry, Mirande et les autres. » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma ; Les Films, Coll. Bouquins, Robert Laffont, 1992

    « La raison pour laquelle ce film est entré dans la légende tient surtout à son étonnante évocation de la peinture flamande, à laquelle Lazare Meerson, le grand décorateur, fait directement allusion, plus qu’à son scénario, à mon avis assez faible. C’est en somme l’achèvement d’un art servi par toute une équipe en pleine possession de ses moyens à laquelle on décerne à l’unanimité le Grand prix du Cinéma Français. L’unanimité d’un jury de professionnels est pour une fois reconnue par le public qui accueille avec chaleur cette chronique pittoresque, qui avait coûté cher… » - Christian Gilles, Les écrans nostalgiques du cinéma français, Tome 1, L’Harmattan, 2002


    Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017

    Vous pouvez déposer un commentaire :

     pseudo
     E-mail   (Non-publié)

     Votre commentaire