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Daniel Gelin Gabriello et Yves Furet
Jean Debucourt et Jean Duvaleix
Louis Seigner et Jean Brochard
Monique Arthur Raymond Pellegrin
Pierre Larquey et Jean Brochard
Raymond Pellegrin et Monique Arthur
Yves Furet et Colette Fleuriot
Yves Furet Roland Gauthier, le journaliste enquêteur Louis Seigner M. Malvet propriétaire du tableau Monique Arthur Martine Malvet Raymond Pellegrin Jean Talais, un jeune peintre, fiancé de Martine Julienne Paroli la bonne des Malvet /Lucien Hector Le valet de chambre Jean Debucourt Imaneff, un riche collectionneur Ku Duyen Le chinois à la solde d'Imaneff Léon Walther Le Directeur des Beaux-Arts Jean Duvaleix Souliac, le propriétaire de la galerie Jacques Henley Le commissaire priseur Andrex le chef des gangster et patron d'un cabaret Simone Sylvestre Irmène, une chanteuse de cabaret Albert Lyjo Marcel, le petit frère d'Irmène Sylvain un gangster Jean Brochard Le commissaire Pierre Larquey Le père Simon André Gabriello Hector, le bistrotier Daniel Gélin Saladin, un restaurateur de tableau Paul Villé le peintre de Notre-Dame Fulbert Janin un convive, au cabaret José Arthur un convive au cabaret Germaine Stainval Une invitée à la galerie Colette Fleuriot La fleuriste Caroline Carone Marius David Pierre Réal Marcel Mérac
Voici une intrigue policière au très riche générique dont la résolution aurait très bien pu être confiée au Commissaire Maigret ou si l'on préfère au Commissaire Bourrel de notre jeunesse ! Mais là, c'est un jeune journaliste Roland Gauthier (Yves Furet) qui va trouver la clé de l'énigme.
Dans l'histoire, « La femme en rouge » est un tableau de grande valeur signée Renoir et qui représente Madame Malvet. Il appartient à son époux, Monsieur Malvet, collectionneur, (Louis Seigner) et bien sûr il est très convoité. Monsieur Malvet a une fille Martine (Monique Arthur), fiancée à un jeune peintre de talent Jean Talais (Raymond Pellegrin).
Monsieur Malvet avec chagrin doit se séparer du tableau car il n'a pas de fortune. C'est Imaneff, (Jean Debucourt) propriétaire de galerie de peinture, collectionneur, homme très riche, qui lui rachète.
Devant le désespoir de son futur beau-père, Jean Talais invente un stratagème. Un vol va être simulé, et Talais va, avec les précautions d'usage, peindre par dessus « La femme en rouge », un motif banal qui n'attire pas la convoitise. C'est compter sans une bande de gangsters, menée par un chef (Andrex) qui flaire le mauvais coup. Mais pour qui travaille-t-il ? Pour le marginal Père Simon (Pierre Larquey) ? Pour la troublante Irmène dont le journaliste Gauthier a sauvé le petit frère d'un accident ? Pour Saladin (Daniel Gélin) un restaurateur de tableau qui se noie dans l'alcool ? Et le puissant Imaneff ? Quel est son rôle dans toute cette affaire ? Je vous laisse le suspens !
Un film qui se laisse très facilement regarder, avec les « grosses pointures » de la Comédie Française qu'étaient Jean Debucourt et Louis Seigner. Daniel Gélin et Raymond Pellegrin débutaient leur carrière, Pierre Larquey et Andrex confirmaient leur indéniable talent et Simone Sylvestre était bien jolie. Un film de l'après-guerre à revoir pour passer un agréable moment avec du suspens jusqu'à la dernière réplique.
Donatienne Roby, Février 2020