Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Fernandel Alfred Puc Antonin Berval Grand Charles Berthe Bovy Mme Léa Lobligeois Germaine Kerjean Mme Couffignal, la concierge de M. Puc Albert Dinan P'tit Louis Maximilienne le Commandant de l'armée du Salut Paul Demange le Frisé Louis Florencie le notaire Jean Toulout Richaud, le comédien Pauline Carton Mme Ovide, la concierge des Piégois André Bervil un truand de l’hôtel des Innocents Nina Myral une commère, voisine de M. Puc Jean Temerson un truand de l’hôtel des Innocents Christiane Sertilange Mme Piégois, la jeune mariée Jean Daurand M. Piégois, le jeune marié Katherine Kath Cora, la comédienne avec le sandwich Gaston Modot le voleur du camion Jacques Tarride le commissaire-priseur Georgé René Hell le metteur en scène de la pièce L’Armoire tragique Noël Robert le cafetier du bottin téléphonique Zélie Yzelle [créditée Izelle] une commère voisine de M. Puc Luc Andrieux un truand de l’hôtel des Innocents Tristan Sévère le partenaire de Richaud François Richard le commissaire interrogeant les voleurs du camion Marcel Melrac un complice du voleur du camion Les déménageurs Bedel des déménageurs Marcelle Monthil la cliente de M. Puc se plaignant des frais de succession de sa tante décédée Marcel Pérès Fréjus, le premier déménageur Henry Charrett Caillol, le second déménageur Robert Pizani le docteur Rastouin Annette Poivre Mimi, la servante de l'hôtel des Innocents Yves Deniaud Martinet, le patron de l'hôtel des Innocents Marcel Loche M. Cornu, un employé du fisc [non crédité] Odette Barencey Mme Pouladoux, une employée du fisc [non créditée] Edmond Beauchamp le commissaire lors de la perquisition [non crédité] Frédéric O'Brady un inspecteur [non crédité] Rivers Cadet le patron des Déménagements Boirot [non crédité] Pierre Duncan un déménageur de la chambre n° 7 de l’hôtel des Innocents [non crédité] Charles Lavialle le cafetier à côté de l’hôtel des Innocents [non crédité] Albert Michell’agent cycliste qui aide M. Puc à arrimer la malle sur la voiture [non crédité] Albert Malbert l’employé des consignes [non crédité] René Lacourt le salutiste avec le Commandant [non crédité] Emile Riandreys l’enchérisseur à 180 000 Frs à la salle des ventes [non crédité] Palmyre Levasseur une vieille actrice [non crédité] Edouard Francomme l’accessoiriste du théâtre [non crédité] Albert Broquin un inspecteur au sandwich [non crédité]
Document sans nom
L’ARMOIRE VOLANTE
France, 1948
Réalisation : Carlo Rim
Scénario, Adaptation & dialogues : Carlo-Rim
Directeur de la photographie : Nicolas Hayer
Caméraman : Noël Martin
Assistants opérateurs : Paul Souvestre et Pierre Charvein
Musique : Georges Van Parys
Son : Jean-Roger Bertrand
Montage : Henri Taverna
Décors : Emile Alex
Assistant décorateur : Eugène Delfau
Maquillage : Basile Goreff
Assistant réalisation : Bernard Borderie
Script-girl : Mildred Pease
Régie d’extérieurs : Albert Volper
Régie générale : André Michaud
Administration : Léon Canel
Directeur de production : Jean Darvey
Production : Raymond Borderie, pour Compagnie Industrielle Commerciale Cinématographique [C.I.C.C.]
Distribution : Les Films Corona
Tournage : du 10 mars au 26 juin 1948
Studios : studios de Boulogne
Extérieurs : Paris et région parisienne
Laboratoires : L.T.C. (Saint-Cloud)
Enregistrement sonore : Western Electric
Format : 35 mm - 1,37:1 - Noir et blanc - Son mono
Durée : 90 min
Sortie nationale : 29 octobre 1948, à Paris aux cinémas Eldorado, Le Lynx, Napoléon et Paramount
Visa de contrôle cinématographique n° 7.485
Premier titre : M. Puc aux enfers
La vieille tante acariâtre d’Alfred Puc est morte de froid pendant le déménagement qu’elle avait décidé de surveiller, malgré l’avis défavorable de son neveu. Sur le chemin du retour, les déménageurs installent son cadavre dans une armoire à glace de modèle courant. Le temps de prévenir Puc, le camion s’est volatilisé. Affolé, ne pouvant démontrer légalement le décès de sa tante, Alfred Puc se met à la recherche de l’armoire, épuisant toutes les pistes jusqu’à l’obsession.
Cette farce macabre est sans doute le meilleur film de Carlo-Rim et l’un des rôles les plus étonnants de Fernandel, débarrassé de tous ses trucs habituels, composant un petit fonctionnaire timoré, se noyant dans une aventure kafkaïenne. Ce pourrait aussi bien être un drame, impression renforcée par le noir et blanc expressif de Nicolas Hayer et la galerie des personnages secondaires. Un chef-d’œuvre.
Fiche établie par Christophe Bier, avril 2020.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Pauline Carton et le telegraphiste
Zelie Yzelle Germaine Kerjeanet NIna Myral
Fernandel Alfred Puc Antonin Berval Grand Charles Berthe Bovy Mme Léa Lobligeois Germaine Kerjean Mme Couffignal, la concierge de M. Puc Albert Dinan P'tit Louis Maximilienne le Commandant de l'armée du Salut Paul Demange le Frisé Louis Florencie le notaire Jean Toulout Richaud, le comédien Pauline Carton Mme Ovide, la concierge des Piégois André Bervil un truand de l’hôtel des Innocents Nina Myral une commère, voisine de M. Puc Jean Temerson un truand de l’hôtel des Innocents Christiane Sertilange Mme Piégois, la jeune mariée Jean Daurand M. Piégois, le jeune marié Katherine Kath Cora, la comédienne avec le sandwich Gaston Modot le voleur du camion Jacques Tarride le commissaire-priseur Georgé René Hell le metteur en scène de la pièce L’Armoire tragique Noël Robert le cafetier du bottin téléphonique Zélie Yzelle [créditée Izelle] une commère voisine de M. Puc Luc Andrieux un truand de l’hôtel des Innocents Tristan Sévère le partenaire de Richaud François Richard le commissaire interrogeant les voleurs du camion Marcel Melrac un complice du voleur du camion Les déménageurs Bedel des déménageurs Marcelle Monthil la cliente de M. Puc se plaignant des frais de succession de sa tante décédée Marcel Pérès Fréjus, le premier déménageur Henry Charrett Caillol, le second déménageur Robert Pizani le docteur Rastouin Annette Poivre Mimi, la servante de l'hôtel des Innocents Yves Deniaud Martinet, le patron de l'hôtel des Innocents Marcel Loche M. Cornu, un employé du fisc [non crédité] Odette Barencey Mme Pouladoux, une employée du fisc [non créditée] Edmond Beauchamp le commissaire lors de la perquisition [non crédité] Frédéric O'Brady un inspecteur [non crédité] Rivers Cadet le patron des Déménagements Boirot [non crédité] Pierre Duncan un déménageur de la chambre n° 7 de l’hôtel des Innocents [non crédité] Charles Lavialle le cafetier à côté de l’hôtel des Innocents [non crédité] Albert Michell’agent cycliste qui aide M. Puc à arrimer la malle sur la voiture [non crédité] Albert Malbert l’employé des consignes [non crédité] René Lacourt le salutiste avec le Commandant [non crédité] Emile Riandreys l’enchérisseur à 180 000 Frs à la salle des ventes [non crédité] Palmyre Levasseur une vieille actrice [non crédité] Edouard Francomme l’accessoiriste du théâtre [non crédité] Albert Broquin un inspecteur au sandwich [non crédité]
L’ARMOIRE VOLANTE
France, 1948
Réalisation : Carlo Rim
Scénario, Adaptation & dialogues : Carlo-Rim
Directeur de la photographie : Nicolas Hayer
Caméraman : Noël Martin
Assistants opérateurs : Paul Souvestre et Pierre Charvein
Musique : Georges Van Parys
Son : Jean-Roger Bertrand
Montage : Henri Taverna
Décors : Emile Alex
Assistant décorateur : Eugène Delfau
Maquillage : Basile Goreff
Assistant réalisation : Bernard Borderie
Script-girl : Mildred Pease
Régie d’extérieurs : Albert Volper
Régie générale : André Michaud
Administration : Léon Canel
Directeur de production : Jean Darvey
Production : Raymond Borderie, pour Compagnie Industrielle Commerciale Cinématographique [C.I.C.C.]
Distribution : Les Films Corona
Tournage : du 10 mars au 26 juin 1948
Studios : studios de Boulogne
Extérieurs : Paris et région parisienne
Laboratoires : L.T.C. (Saint-Cloud)
Enregistrement sonore : Western Electric
Format : 35 mm - 1,37:1 - Noir et blanc - Son mono
Durée : 90 min
Sortie nationale : 29 octobre 1948, à Paris aux cinémas Eldorado, Le Lynx, Napoléon et Paramount
Visa de contrôle cinématographique n° 7.485
Premier titre : M. Puc aux enfers
La vieille tante acariâtre d’Alfred Puc est morte de froid pendant le déménagement qu’elle avait décidé de surveiller, malgré l’avis défavorable de son neveu. Sur le chemin du retour, les déménageurs installent son cadavre dans une armoire à glace de modèle courant. Le temps de prévenir Puc, le camion s’est volatilisé. Affolé, ne pouvant démontrer légalement le décès de sa tante, Alfred Puc se met à la recherche de l’armoire, épuisant toutes les pistes jusqu’à l’obsession.
Cette farce macabre est sans doute le meilleur film de Carlo-Rim et l’un des rôles les plus étonnants de Fernandel, débarrassé de tous ses trucs habituels, composant un petit fonctionnaire timoré, se noyant dans une aventure kafkaïenne. Ce pourrait aussi bien être un drame, impression renforcée par le noir et blanc expressif de Nicolas Hayer et la galerie des personnages secondaires. Un chef-d’œuvre.
Fiche établie par Christophe Bier, avril 2020.