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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Françoise Rosay Louise Noblet Paul Bernard Pierre Lise Delamare Nelly André Alerme Gaston Noblet Jean-Max Romani Paul Azaïs Carlo Arletty Parasol Illa Meery Vilma Pierre Labry l'hôtelier Raymond Cordy Morel, un pensionnaire Héléna Manson la pensionnaire rentière Marie-Thérèse Sylviac la comtesse Eddy Debray le père de Pierre Bernard Optal Pierre enfant Georges Prieur un convive au banquet Germaine Reuver une convive au banquet Maurice Lagrenée un habitué du bar Nane Germon la bonne de la pension Jenny Burnay la femme de chambre de l'hôtel Titys le valet de chambre de la pension Gustave Hamilton un employé du casino Jean Daurand un groom Pierre Ferval le tapissier Anthony Gildès un joueur Paul Marthès un homme au casino Jean Kolb Roger Puylagarde Nestor Ariani Pierre Athon Andrée Canti Georges Benda Correa Harry Nestor René Worms Mademoiselle Roseraie
Document sans nom
SCENARIO Jacques Feyder et Charles Spaak ; DIALOGUES Charles Spaak ; IMAGE Roger Hubert ; MONTAGE Jacques Brillouin ; SON Hermann Storr ; MUSIQUE Armand Bernard ; DECORS Lazare Meerson ; PRODUCTION Société des Films Sonores Tobis ;
En 1924 sur la Côte d'Azur. Louise Noblet tient un hôtel, la Pension Mimosas. L’établissement accueille le tout-venant des joueurs qui vont tenter leur chance dans le casino voisin où travaille son mari Gaston. Le couple élève Pierre dont le père est en prison depuis cinq ans. Ce dernier, tout juste libéré, vient chercher son fils pour repartir avec lui. Dix ans passent. Pierre garde des liens étroits avec « parrain » et « marraine » qu’il sollicite régulièrement pour obtenir de l’argent. Une lettre annonce aux Noblet que Pierre, malade, a un besoin urgent d’argent. Inquiète, Louise se rend à Paris. Elle réalise qu’il évolue dans un milieu interlope entre casinos et petits voyous et qu’il a noué une liaison avec Nelly, une femme qui se laisse entretenir par d'autres hommes. Louise convainc son protégé de se mettre au vert à la Pension Mimosas. Celui-ci s’achète une conduite et trouve un emploi de vendeur dans un garage automobile. Nelly vient le rejoindre et une rivalité se développe entre les deux femmes. Nelly accuse Louise d’avoir pour Pierre plus que des sentiments maternels…
"Dans Pension mimosas, le rôle épisodique de la vieille comtesse désargentée, qui s'obstine à chercher une martingale, est tenu par Sylviac, la propre mère de Françoise Rosay. Ruinée lors de la crise financière de 1929, cette dernière vit depuis d'une pension mensuelle confortable que lui verse sa fille. Malgré cela, elle ne cesse de couvrir de reproches son enfant, prenant même Jacques Feyder à témoin. Afin de la calmer et de lui montrer sa bonne volonté, celui-ci lui écrit ce petit rôle, qui sera d'ailleurs écourté au montage."
Didier Griselain, Françoise Rosay / Une grande dame du Cinéma français, Paris, 2006.
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Jenny Burnay et Francoise Rosay
Françoise Rosay Louise Noblet Paul Bernard Pierre Lise Delamare Nelly André Alerme Gaston Noblet Jean-Max Romani Paul Azaïs Carlo Arletty Parasol Illa Meery Vilma Pierre Labry l'hôtelier Raymond Cordy Morel, un pensionnaire Héléna Manson la pensionnaire rentière Marie-Thérèse Sylviac la comtesse Eddy Debray le père de Pierre Bernard Optal Pierre enfant Georges Prieur un convive au banquet Germaine Reuver une convive au banquet Maurice Lagrenée un habitué du bar Nane Germon la bonne de la pension Jenny Burnay la femme de chambre de l'hôtel Titys le valet de chambre de la pension Gustave Hamilton un employé du casino Jean Daurand un groom Pierre Ferval le tapissier Anthony Gildès un joueur Paul Marthès un homme au casino Jean Kolb Roger Puylagarde Nestor Ariani Pierre Athon Andrée Canti Georges Benda Correa Harry Nestor René Worms Mademoiselle Roseraie
SCENARIO Jacques Feyder et Charles Spaak ; DIALOGUES Charles Spaak ; IMAGE Roger Hubert ; MONTAGE Jacques Brillouin ; SON Hermann Storr ; MUSIQUE Armand Bernard ; DECORS Lazare Meerson ; PRODUCTION Société des Films Sonores Tobis ;
En 1924 sur la Côte d'Azur. Louise Noblet tient un hôtel, la Pension Mimosas. L’établissement accueille le tout-venant des joueurs qui vont tenter leur chance dans le casino voisin où travaille son mari Gaston. Le couple élève Pierre dont le père est en prison depuis cinq ans. Ce dernier, tout juste libéré, vient chercher son fils pour repartir avec lui. Dix ans passent. Pierre garde des liens étroits avec « parrain » et « marraine » qu’il sollicite régulièrement pour obtenir de l’argent. Une lettre annonce aux Noblet que Pierre, malade, a un besoin urgent d’argent. Inquiète, Louise se rend à Paris. Elle réalise qu’il évolue dans un milieu interlope entre casinos et petits voyous et qu’il a noué une liaison avec Nelly, une femme qui se laisse entretenir par d'autres hommes. Louise convainc son protégé de se mettre au vert à la Pension Mimosas. Celui-ci s’achète une conduite et trouve un emploi de vendeur dans un garage automobile. Nelly vient le rejoindre et une rivalité se développe entre les deux femmes. Nelly accuse Louise d’avoir pour Pierre plus que des sentiments maternels…
"Dans Pension mimosas, le rôle épisodique de la vieille comtesse désargentée, qui s'obstine à chercher une martingale, est tenu par Sylviac, la propre mère de Françoise Rosay. Ruinée lors de la crise financière de 1929, cette dernière vit depuis d'une pension mensuelle confortable que lui verse sa fille. Malgré cela, elle ne cesse de couvrir de reproches son enfant, prenant même Jacques Feyder à témoin. Afin de la calmer et de lui montrer sa bonne volonté, celui-ci lui écrit ce petit rôle, qui sera d'ailleurs écourté au montage."
Didier Griselain, Françoise Rosay / Une grande dame du Cinéma français, Paris, 2006.
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