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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Annie DUCAUX Lucille Benoît André LUGUET Jérôme Benoît Pierre PALAU Monsieur Borel Marcelle PRAINCE Madame Chantelouve Jacques LOUVIGNY Dieutegard Yves DENIAUD Bianco Roland ARMONTEL Professeur Wonder Jean-Jacques LECOT Bobby Joyce Paul FAIVRE Pierre Benoît Eugène YVERNES Alexandre, le maître d'hôtel Pierre COLLET Firmin, le chauffeur André WASLEY l'inspecteur Lise FLORELLY Louise, la bonne Jean CHARPINI lui-même Antoine BRANCATO lui-même Robert LE FORT le photographe Victor TCHERNIAVSKY l'accusé Guy DECOMBLE un client du 'Firmament' Marguerite DE MORLAYE une dame au 'Firmament' Maurice REGAMEY Albert MONTIGNY
Document sans nom
Le succès de « L’inévitable Monsieur Dubois » en 1943 incita les producteurs à mettre en chantier « Florence est folle » sur un scénario de deux futurs cinéastes, Gilles Grangier et Alex Joffé. En vedette, on retrouve le couple Annie Ducaux – André Luguet dans un imbroglio sentimental destiné à renouer avec l’allant des comédies américaines d’avant-guerre.
Annie Ducaux joue de nouveau un personnage à deux facettes : épouse rigoriste, elle ne se permet aucune fantaisie jusqu’à ce qu’un accident la plonge dans un profond sommeil ; lorsqu’elle revient à elle, elle ne reconnaît plus son mari et prétend être Florence Bollero, une fameuse chanteuse de retour d’une tournée triomphale en Espagne ! Son époux Jérôme, un avocat célèbre, accepte de ne pas la détromper pour éviter un choc trop violent. Bianco, directeur de la boîte de nuit « Le Firmament », décide d’engager cette pseudo-vedette, au grand dam de Jérôme…
Le point de départ du film est amusant et l’interprétation réserve de bonnes surprises. Aux côtés des deux vedettes dans un numéro fantaisiste bien rodé, on aime retrouver Louvigny en médecin de famille, Palau en avocat sérieux qui court volontiers les boîtes de nuit, Yves Deniaud dans le rôle du patron du « Firmament » ou Armontel en Professeur Wonder, spécialiste du cerveau, portant de superbes moustaches. Marcelle Praince joue avec classe et humour Madame de Chantelouve, la mère d’Annie Ducaux, passablement perturbée par la situation : « Voilà une enfant qui vient demander à sa mère qu’elle prend pour sa belle-mère la main de son mari qu’elle prend pour son amant ! »
On n’aperçoit Paul Faivre que deux minutes et c’est dommage car son personnage était prometteur : « Pierre Benoît… représentant en champagne » ! En revanche, le numéro des duettistes Charpini et Brancato, dans leurs propres rôles, est d’une lourdeur pénible qui ne fait plus rire du tout et n'a d'ailleurs jamais été drôle !
Jean-Paul Briant, Février 2021
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Andre Luguet et Marcelle Praince
Armontel et Victor Tcherniavsky
Annie DUCAUX Lucille Benoît André LUGUET Jérôme Benoît Pierre PALAU Monsieur Borel Marcelle PRAINCE Madame Chantelouve Jacques LOUVIGNY Dieutegard Yves DENIAUD Bianco Roland ARMONTEL Professeur Wonder Jean-Jacques LECOT Bobby Joyce Paul FAIVRE Pierre Benoît Eugène YVERNES Alexandre, le maître d'hôtel Pierre COLLET Firmin, le chauffeur André WASLEY l'inspecteur Lise FLORELLY Louise, la bonne Jean CHARPINI lui-même Antoine BRANCATO lui-même Robert LE FORT le photographe Victor TCHERNIAVSKY l'accusé Guy DECOMBLE un client du 'Firmament' Marguerite DE MORLAYE une dame au 'Firmament' Maurice REGAMEY Albert MONTIGNY
Le succès de « L’inévitable Monsieur Dubois » en 1943 incita les producteurs à mettre en chantier « Florence est folle » sur un scénario de deux futurs cinéastes, Gilles Grangier et Alex Joffé. En vedette, on retrouve le couple Annie Ducaux – André Luguet dans un imbroglio sentimental destiné à renouer avec l’allant des comédies américaines d’avant-guerre.
Annie Ducaux joue de nouveau un personnage à deux facettes : épouse rigoriste, elle ne se permet aucune fantaisie jusqu’à ce qu’un accident la plonge dans un profond sommeil ; lorsqu’elle revient à elle, elle ne reconnaît plus son mari et prétend être Florence Bollero, une fameuse chanteuse de retour d’une tournée triomphale en Espagne ! Son époux Jérôme, un avocat célèbre, accepte de ne pas la détromper pour éviter un choc trop violent. Bianco, directeur de la boîte de nuit « Le Firmament », décide d’engager cette pseudo-vedette, au grand dam de Jérôme…
Le point de départ du film est amusant et l’interprétation réserve de bonnes surprises. Aux côtés des deux vedettes dans un numéro fantaisiste bien rodé, on aime retrouver Louvigny en médecin de famille, Palau en avocat sérieux qui court volontiers les boîtes de nuit, Yves Deniaud dans le rôle du patron du « Firmament » ou Armontel en Professeur Wonder, spécialiste du cerveau, portant de superbes moustaches. Marcelle Praince joue avec classe et humour Madame de Chantelouve, la mère d’Annie Ducaux, passablement perturbée par la situation : « Voilà une enfant qui vient demander à sa mère qu’elle prend pour sa belle-mère la main de son mari qu’elle prend pour son amant ! »
On n’aperçoit Paul Faivre que deux minutes et c’est dommage car son personnage était prometteur : « Pierre Benoît… représentant en champagne » ! En revanche, le numéro des duettistes Charpini et Brancato, dans leurs propres rôles, est d’une lourdeur pénible qui ne fait plus rire du tout et n'a d'ailleurs jamais été drôle !
Jean-Paul Briant, Février 2021
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